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Vinch

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Messages posté(e)s par Vinch

  1. Depuis, il m'arrive de remettre en route en circuit de piste, mais je le fais beaucoup plus tard (base ou finale) sous un angle qui me permet de faire la piste quoi qu'il arrive, et après avoir au préalable sorti le train.

    Tatave, ça a l'air tellement bien rodé comme procédure que je suis sûr que tu t'entraînes plus souvent que tu veux bien nous le dire à la radio ;):D

    (pas taper, pas taper)

  2. Comment se comporteraient les batteries dans ces conditions? D'autant plus que pour chaque 100 m d'altitude on perd 1°C.

    ISA n'est pas si froide !!! Je crois me souvenir que c'est plutôt une décroissance de 6,5°c / 1000m chez ISA. Le 1°c /100m correspondrait plutôt à l'adiabatique sèche.

  3. Une fois dans l'air les batteries sont chauffees automatiquement pour assurer la disponibilite immediate du moteur. La consommation pour garder la temperature n'est pas tres important (l'aile est un bon isolateur termique).

    Donc si le chauffage des batteries marche en permanence dès qu'il fait moins de 20°c à l'extérieur, même avec une faible consommation, après 15 heures de vol en onde à très haute altitude, on n'a plus d'énergie pour utiliser le moteur !!! Et même en volant à 290 km/h, il faut quand même du temps pour aller faire 4000 km dans les Andes :angry::(

  4. As-tu essayé chez Tom Knauff ?

     

    10 $US je crois...

    oui c'est le premier lien qu'on trouve en faisant une recherche google :) mais ils n'en ont plus aucun exemplaire. Par contre ils ont Winning II, est-ce que quelqu'un sait si ce bouquin est aussi complet que le premier Winning on the Wind ?

     

    J'ai trouvé la critique suivante sur Winning II, qui tendrait à indiquer que c'est une mise à jour enrichie de Winning on the Wind:

     

    George Moffat is a double world soaring champion (Open Class, 1970 and 1974), a frequent U.S. national champion and one of the most skilled, experienced and courageous sailplane pilots who ever flew. Better still, he is a writer of formidable power and purpose. When he 'speaks,' pilots should pay attention. We ignore him at--literally--our peril.

     

    His first book, WINNING ON THE WIND (1975) traced his early soaring and contest flying from the era of 'sticks and glue' gliders (Ka-6, Standard Austria, Elfe) to his triumphs with the early composite birds such as the Nimbus crafted by a young genius, Klaus Holighaus, and beyond. Comprised primarily of his articles in SOARING magazine, the book reviewed the principles by which glider pilots learn to fly better, faster, safer and more competitively. You didn't have to be a contest pilot, a glider pilot or even a pilot to enjoy it. The writing alone was worth the reader's time.

     

    Now Moffat has done it again, updating his masterwork into a new book no pilot or reader can afford to ignore. In fact, as he points out, every flight in any airplane should be used to improve one's skills, not just stooge about in the sky.

     

    The book, with typically whimisical but insightful introduction by Michael ('Platypus') Bird, is divided usefully into sections similar to the original, from 'Changes in Competitive Soaring,' to 'Contest Flying Techniques' to a series of compelling 'Soaring Stories,' which will interest pilots and non pilots at many levels. Moffat updated his new book to October 2004, but it will be many more years before anyone writes with equal clarity about the marvelous, difficult, frustrating but inspiring sport and art of soaring. This is writing of the highest order, yet rendered in the style of the man: low key and unassuming, despite its tremendous punch and importance.

     

    Winning, Moffat writes, comes out of personal energy that is focused and applied efficiently. This is a metaphor for life itself but it is more: a lovely coincidence, since extracting energy from Nature is the essence of the act of soaring.

  5. Bonjour,

     

    quelqu'un sait-il où il est encore possible de trouver ce bouquin (en anglais de préférence) ? Une recherche sur Amazon et autres sites m'a vite découragé car il ne se trouve que d'occasion à des prix hallucinants !!!! :lol: :mdr::mdr:

     

    http://s1-images.amazon.com/images/A/Y04Y2751626Y1948182.0001.04.LZZZZZZZ.jpg

  6. Pourquoi le championnat du Monde en montagne... pour faire gagner les pilotes du coin ? pas trés sportif ça... moi suis pilote de plaine  et la montagne, mis à part Issoire le Broc, connais pas...

    Il n'est pas non plus interdit de venir s'entraîner un peu à Vinon avant le championnat pour se désangoisser face aux montagnes. L'AAVA est une association ouverte toute l'année même quand le ciel est si bas qu'il fait l'humilité dans le plat pays qui est le tien... :wacko:

  7. Imaginons le planning suivant (bien connu des concours régionaux ou même de certains championnats du Monde) :

    - Brefing d'arrivée le samedi soir

    - Epreuve du dimanche au samedi inclus (soit 7 epreuves possibles)

    - Remise des prix le samedi soir pdt le repas de fin de championnat

    => total : 7 epreuves possibles et seulement une semaine de présence nécessaire

    100% d'accord avec ce raisonnement breton !

     

    Je me dis même des fois qu'un championnat qui durerait que 2 jours ça aurait du bon aussi :lol: :lol:

     

    -- ;) Un tocard des CDF classe club qui s'y est quand même trop bien amusé :lol: --

  8. Je suis bien d'accord avec toi Damien: les décollages matinaux en onde sont toujours calmes et magiques ! Les levers de soleil sur la face est du Mont Vallier dans les Pyrénées avec +5 au vario sous le vent de la frontière espagnole, les brumes dans le fond des vallées vosgiennes en motoplaneur pour aller chercher l'onde à 60km en SF28 au décollage de Sarrebourg, sont parmis mes plus beaux souvenirs de vol d'onde. Ca doit être chouette de décoller aux aurores de St Crep, mais y doit faire vachement plus sombre qu'à Vinon au jour aéro :D

     

    Ce 15 août j'ai eu la joie, pour ma part, de prendre une fantastique leçon de vol à voile avec Monsieur G. Herbaud en Duo. Un de ces vols qui donnent envie de commencer le vol à voile... :1er::D

  9. C'est un article très intéressant, mais il est bon de rappeler qu'une grande partie des informations qu'il contient se trouve aussi dans la phase 3 du livre bleu du vélivole français :

    -acuité visuelle maxi d'environ 1 minute d'angle pour un individu à 10/10

    -acuité visuelle maxi seulement en vision centrale dans un cône d'environ 2° d'ouverture

    -faible perception des détails par la vision périphérique

    -ratio 20/3 meilleur compromis entre temps d'observation ext/int du planeur

    -taille apparente de la menace longtemps assez faible pour être masquée par un insecte écrasé sur la verrière

    -balayage visuel avec "micro-fixations" de l'oeil sur certaines zones

    -circuit visuel

    etc...

     

    Le bouquin bleu apporte d'autres éléments complémentaires au sujet des mécanismes de l'observation visuelle, qui peuvent être intéressants également:

    -vision du relief

    -spécialisation de la vision périphérique dans la perception des mouvements et contrastes + référence d'horizontalité

    -vision périphérique première dégradée en cas de facteur de charge

    -statistiques réelles de collisions détectées par la vision: 56% (on pense au FLARM en lisant ça)

    etc...

     

    Bons vols en sécurité !!

  10. Pour ceux qui ont commencé le planeur par le modélisme, de tels délires donnent envie de s'y remettre.... ;)

    Je veux les plans ! C'est trop terrible ce truc ! Par contre, les pilotes doivent être des brutes pour réussir à faire ce qu'il font dans la vidéo à la vitesse ou ça va...

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