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Guillaume Varlet

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Tout ce qui a été posté par Guillaume Varlet

  1. Ouais, merci ! Une autre, encore plus cool : http://www.aeroklaus.de/Bilder_Holz/ULF1_2.jpg Un autre planeur de mes rêves c'est le goat de Mike Sandlin : J'aime les bêtes de courses !
  2. Salut. J'y ai pensé quand je cherchait un GPS VàV. Au final, je me suis bricolé la Kobo Glo pour l'utiliser avec XcSoar. Elle fait 6" et c'est je pense la limite à ne pas dépasser. 7", j'ai bien peur que ça ne le fera pas ! L'avantage de la Kobo est la lisibilité en plein soleil, à toute épreuve. Par contre, ça reste du bricolage, donc avec quelques limitations (reactivité, fonctionnalités...) Mais ça fonctionne bien.
  3. Mais je ne sais pas qui c'est ... Si tu nous lis, cf http://wiki.glidernet.org/receiver-naming-convention pour le nommage des récepteur. Merci & A+ -- Seb Salut, En effet, on essaye, mais pour le moment on a pas encore l'antenne qui va bien. Mais du coup on a inscrit les planeurs sur FLARMNet et on arrive a voir nos planeurs de temps en temps grâce au récepteur du Cern et de Cluses. Merci du tuyau !
  4. Bonjour. Pas façile d'avoir un gabari hors normes en planeur... Je fais dans les 1m92/93 et je n'arrive pas à rentrer dans un Pégase équipé de sa sellerie. Du coup je vole avec le dossier mais sans coussin et ça devient pénible pour la sciatique et les lombères au bout de 3h et très dur au bout de 4h. Tu dis voler en enlevant le dossier. Je viens de réessayer de virer le dossier ce WE, mais ça ne conviens pas, le puis de roue me remontant dans les lombères me casse le dos et l'utilisation du coussin, pourtant pas plus épais que 2 à 3 cm reste impossible. Y a-t-il une solution que je n'ai pas entrevue pour voler plus confortablement en pégase ? Et voler sans dossier n'est-il pas dangeureux pour le dos en cas d'atterissage dur, avec ce puis de roue seillant ? Pour le moment le seul planeur dans lequel je suis bien reste le K21. J'ai volé sur K21, Astir CS77, pegase et Janus C. Je rentre dans tous ces planeurs mais avec aucun confort à part pour le K21.
  5. Bonjour. Cette histoire est édifiante, et en plus ça se passe dans ma région natale. Mais je n’ai pas bien compris pourquoi il a été condamné. Est-ce juste parce qu’il a pris la décision d’atterrir à Courchevel alors qu’il n’en avais pas le droit ? Si je comprends bien la zone de Courchevel est très réglementé, c’est ça ?
  6. Ah, ça a finalement intéressé des gens ma question ? Je ne sais pas vous, mais moi, je pense que la pollution au CO2 est finalement quelque chose de moindre importance par rapport à d’autres composés polluant rejeté par divers source de pollutions. Un moteur comme notre vieux treuil de 400ch, fonctionnent au fioul domestique produit surement une quantité de particule de carbone ainsi que des composés anhydre de souffre et d’azote assez significative. N’oubliez pas les maladies respiratoires que cela peut entrainer. Il brule 1 litre de fioul par treuillée, plus tous les allées retours avec les voitures de pistes on doit être pas loin de consommer une 20aine de litres par jours… Plus le trajet des pilotes pour venir voler, qui viennent parfois d’assez loin. Je trouve pas ça anodin. C’est sûr, ç’est surement bien moins que la conso sur un aérodrome en vol moteur. Ensuite, je ne pense pas que le nucléaire soit une bonne solution, et la motorisation électrique des moyens de transport non plus, d’ailleurs. (rendement de la chaine complète d’énergie pas forcement viable). A propos, même si le methane et la vapeur d'eau on des pouvoirs de réchauffement plus élevé que le CO2, ils se dissipent bien plus rapidement que les autres gaz à effet de serre : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gaz_%C3%A0_effet_de_serre voir chapitre "Le potentiel de réchauffement global"
  7. Bonjour. Après calcul du facteur de correction de la détente adiabatique en fonction de l’humidité donné par l’UVED, voici ce qu’il apparait : Un rapport de mélange de 4g/kg (apparemment, ceci correspond à de l’air sec), le facteur de correction est de 0,999032 soit 0,1% de diminution du gradient adiabatique. Une variation de 1% correspond à un rapport de mélange de 40g/kg (air très humide) Pour arriver à ~2% de diminution, il faut plus de plus de 50g/kg, ce qui semble correspondre à de l’air extrêmement humide. Pour ne pas saturer un tel rapport de mélange, il faut une masse d’air très chaude, et je doute que cela puisse se produire sous nos latitudes tempérés. (si je calcul bien, il faut une masse d’air à plus de 30°C pour ne pas saturer un rapport de mélange de 20g/kg) Je me demande d’ailleurs si c’est possible d’avoir un tel rapport de mélange sur terre… Peut-être sur l’équateur ?… D’après ces réflexions, je reste persuadé que l’humidité ne joue un rôle favorable pour les pompes que pour ce qui est de leurs matérialisations. D’ailleurs, je voulais savoir si quelqu’un aurait la méthode et les calculs qui permettraient de calculer la vitesse moyenne des pompes (pas en saturé, si possible, car je connais la méthode avec le CAPE, mais c’est pour les vitesses dans le nuage…) Peut-être une méthode similaire avec le calcul de l’aire entre l’adiabatique sèche et la courbe d’état et changer ça en vitesse verticales ?
  8. Bonjour à tous. Merci, Mr CTP, pour ces confirmations. J’ai dégoté un site qui semble bien, expliquant que l’humidité ne joue pas un rôle prépondérant dans la détente adiabatique tant qu’il n’y a pas de changement d’état de la parcelle d’air en question : http://sup.ups-tlse.fr/uved/Ozone/BasesScientifiques/projet/site/html/ThermodynamiqueAtmosphere_3.html#InfluenceVapeur L’origine semble sérieuse : http://sup.ups-tlse.fr/ Je vais devenir un parfait météorologue, bientôt
  9. Sur cette table à 1013 hPa en gardant ton exemple à 20°C la variation de masse volumique entre 50% et 100% d'humidité est la même que de 20 à 21°C en restant à 50% d'humidité : Je ne trouve pas cela négligeable car je ne pense pas que la différence de température entre le centre d'un thermique et l'air extérieur soit supérieure à 1°C La première réponse de JdeM, avec la température virtuelle, se retrouve bien là Bonjour. Bon, comme je disais, j’ai pas forcement juste… Comme j’ai affaire à des spécialistes, j’aimerai savoir si j’ai bien compris : Je ne sais pas si j’ai bien compris le principe de convection, mais il me semblait que tant l’ascendance n’atteignait pas le point de condensation, la parcelle d’air soulevée se détendait selon la détente adiabatique sèche, car l’humidité n’entrait pas en compte dans ce type de détente. Et lorsque le niveau de condensation est atteint, la détente se fait selon le modèle adiabatique saturé car ici, l’humidité joue un rôle important, et donc le refroidissement de la parcelle soulevée est beaucoup plus lent. C’est bien ça ? Et si je comprends bien, l’EPCD et le NCL sont calculés pour une parcelle d’air saturée, car si j’ai bien compris, c’est l’énergie du nuage crée qui est mesurée, donc on est en condition saturé, c’est bien ça ? Merci.
  10. Bonjour. Alors, je n’ai pas eu le courage de tout lire, je ne sais donc pas si la question a été posé par quelqu’un : Comment vous situez-vous en tant que "pollueur" vélivole ? • Responsable, car volant sans moteur. • Coupable, l’accès aux aérodromes, la mise en vol, la production et l’entretient des machines ne sont pas vraiment éco-responsable. • Indifférent, Ce n’est pas la pratique du VàV qui changera la donne. Je suis nouveau dans le milieu, mais je suis sensible à l’écologie. Le VàV est une activité fantastique, cependant je culpabilise, car même si l’on vol sans moteur, on produit des rejets polluants relativement important à mon goût.
  11. Bonjour. Je vais tenter une analyse, je ne garantit pas sa justesse, c’est juste que le sujet m’intéresse… Je tiens à préciser que je pratique la météo uniquement en dilettante. Il ne me semblerait pas que l’humidité joue un rôle important dans la stabilité d’une masse d’air : En effet, selon les tables en lien on voit que pour une parcelle d’air à 20°C la masse volumique varie peu, ~1% d’augmentation, ce qui est presque négligeable. http://www.thermexcel.com/french/tables/massair.htm On voit sur le calcul du Nb de Rayleigh (http://fr.wikipedia.org/wiki/Nombre_de_Rayleigh, http://fr.wikipedia.org/wiki/Convection) que le gardian thermique entre la surface chauffé et la température loin de cette surface à une importance bien plus prépondérante que des variations de l’ordre de 1% de la masse volumique… Peut-être que le facteur favorisé par une masse d’air humide ne serait que la visibilité des ascendances ? En effet, si la masse d’air est humide, le point de rosée est assez élevé, ce qui favorisera la formation des cumulus. Par contre si la masse d’air est sèche, il y a risque que la parcelle d’air soulevée par une ascendance n’aille pas jusqu’à la condensation si la convection est stoppée par une inversion, car la température du point de rosée s’abaisse considérablement => thermiques purs => plus difficile de cheminer ? Merci de me corriger si je dis des bêtises.
  12. Merci pour toutes ces réponses. Je comprends mieux les tenants et aboutissants du truc, maintenant.
  13. Bonjour. J’ai une petite question de débutant : J’ai entendu dire que les empennages en T avaient un avantage en terme de trainée sur les empennages cruciformes. A quoi cela serait-il dû ? Une interaction négative entre le fuselage et le stab ? Merci Guillaume.
  14. Il me semble que c'était un ASK21, sinon il y a aussi un Janus mais je ne suis plus sûr duquel des 2 j'ai volé avec.
  15. Bonjour à tous. Je fais remonter le sujet 1 ans et demis après pour dire que je suis finalement passé à l'action, un peu tard mais mieux vaut tard que jamais, hein ? Je viens donc inscrit à Habère-poche ce WE pour un stage 6 jours, mais plus j'y réfléchis plus je me dis qu'il va se transformé en stage à l'année ce stage... J'ai fait mon premier vol, un petit tour de piste, en fin d'aprèm, mais ça tenait plus. C'était super et je suis impatient de commencer à revoler et piloter. Niveau accueil, j'ai trouvé ça très bien. Bon, c'est peut-être parce-que je venais pour m'inscrire. Mais on m'a tout de suite intégré dans l'équipe et j'ai trouvé ça super. A bientôt et bons vols. Guillaume.
  16. Bonjour les planeux. Petite question de parapentiste, c'est-à-dire d'un qui n'y connait rien à ce mouvement aérologique... J'ai lu dans un bouquin de vol à voile datant de 53 , héritage ancestral de mon grand-père, que l'onde de ressaut se caractérise ainsi : L'onde est généré par l'effet Venturi de la pente au vent du relief, qui déstabilise la linéarité du vent. Cela crée une succession de vagues dont l'amplitude va en s'affaiblissant à mesure que l'on s'éloigne du relief générateur. Si j'ai bien compris, à l'époque du moins, on exploitait plutôt exclusivement la 1ere vague. Puis au sommet de la 1ere vague on essaye d'accroché le train d'onde de la couche supérieur qui est déphasé par rapport à la vague du dessous. Ainsi de suite jusqu'à atteindre 15000m. Ai-je bien compris le phénomène ? La vison de l'époque (qui peut-être aussi faussé par ma compréhension) est-elle toujours valable ? Disposeriez-vous de littérature "online" sur ce sujet ? A quelle distance moyenne se trouve la 1ere vague de l'onde par rapport à son relief générateur ? Merci d'éclairer le néophyte que je suis malheureusement encore. Guillaume.
  17. Merci. Est-ce que beaucoup de planeurs sont équipés ou est-ce assez aisé d'équiper un planeur de ce type de pilotage ?
  18. Bonjour. Il est écrit dans l'article que le club possède un planeur adapté aux personnes paraplégiques. Ca m'intéresse de savoir comment est piloté ce type de planeur. Merci.
  19. Bonjour tous. Petite question de néophyte (ou presque) : Est-on souvent proche du décrochage en planeur ? De ma culture aéromodeliste, j'ai lu des articles sur l'aérodynamique qui montrait que les ailes à cordes minces, comme les planeurs ont besoin de voler vite du fait de leur faible longueur. Le vol en spirale doit amener l'aile intérieur à fortement ralentir par rapport à l'aile extérieur, et de ce fait la ramener vers sont point de décrochage ? J'ai juste ??? :rolleyes: Merci pour ma lanterne Guillaume
  20. 10 morts / an. Vous faites aussi bien que nous en parapente... Parcontre, vous devez avoir moins de blessés handicapé, je pense. l'accident de planeur c'est tout ou rien, non ?
  21. Bonjour à tous. Guillaume 24ans. J'habite à Ambilly, dans l'agglomération Annemacienne. Je suis technicien en électronique. Je suis l'auteur du message sur le Chant du Vario mis en lien par BlancNougat. L'aéronautique m'attire depuis mon plus jeune âge, mon père m'a inoculé le virus, qu'il tenait lui-même de son père. J'ai commencer ma pratique aérienne par l'aéromodélisme, puis le parapente, qui est je pense le plus essentiel engin volant qui soit. La pratique du parapente (Je suis débutant dégrossi) me permet aussi d'associer à ce "sport" une autre passion familial : la montagne. Pourtant, et d'autant plus depuis que je vol, j'ai toujours eu envie de voler sur une vrai machine. Et le planeur est pour moi la machine aérienne suprême, capable de voler longtemps vite et loin sans aucune autre énergie que celles fournies par les éléments. C'est aussi une machine beaucoup plus technique, ce qui n'est pas pour déplaire à ma qualité de technicien. Ces derniers temps, j'ai visionner quelques vidéo sur le net... Ce qui m'a bien plus donner envie d'essayer. Je pense pouvoir m'offrir une formation complète pour 2 ans au club d'Habère-Poche en Haute Savoie (2700€ pour les -25ans). Par-contre, je ne sais pas si j'aurais suffisamment de disponibilité pour que cela soit intéressant. Disons que je serai dispo les WE + 1,5 RTT par mois et 15 à 20 jours de congés. Voici, à cette heure-ci les questions que je me pose au sujet de votre si fantastique activité : Est-ce judicieux de faire un vol d'essai en automne, sachant que c'est pas vraiment des conditions bien fumantes et peut-être se sentir frustré par un vol un peu court ? Existe-t-il, comme en parapente, un moyen plus économique de découvrir l'activité que directement par un instructeur ? Je m'explique : Il existe en parapente une qualification biplace associative, c'est-à-dire que le pilote n'a pas le droit de se faire rémunérer, mais il peut emmener qui il souhaite avec lui. Serait-il possible de trouver des gens ayant la possibilité d'emmener des passagers contre remboursement du cout du vol ? Je me leurre peut-être et suis peut-être influencé par la culture libériste, mais ça coute rien d'essayer... Si je commence la formation, ce sera au printemps. J'aurais 25ans au mois d'aout prochain. Est-ce que ça joue pour les bourses fédérale dans ce cas ? Est-ce la pratique d'un sport aérien tel que le parapente est un plus pour la formation planeur ? Apprend-t-on plus vite ? Combien de temps durent en moyenne les 1ers vols ? Merci pour vos réponses.
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