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Guillaume Varlet

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À propos de Guillaume Varlet

  • Date de naissance 11/08/1985

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Profile Information

  • Genre
    Homme
  • Localisation
    Ambilly 74
  • Intérêt(s)
    Planeur, Montagne

Profil pilote

  • NetCoupeur
    Oui
  • Badge FAI
    Aucun
  • Région de vol
    2 Savoies
  • Instructeur
    Non
  • Voltige
    Non
  • Planeurs préférés
    Pegase
  1. Ouais, merci ! Une autre, encore plus cool : http://www.aeroklaus.de/Bilder_Holz/ULF1_2.jpg Un autre planeur de mes rêves c'est le goat de Mike Sandlin : J'aime les bêtes de courses !
  2. Salut. J'y ai pensé quand je cherchait un GPS VàV. Au final, je me suis bricolé la Kobo Glo pour l'utiliser avec XcSoar. Elle fait 6" et c'est je pense la limite à ne pas dépasser. 7", j'ai bien peur que ça ne le fera pas ! L'avantage de la Kobo est la lisibilité en plein soleil, à toute épreuve. Par contre, ça reste du bricolage, donc avec quelques limitations (reactivité, fonctionnalités...) Mais ça fonctionne bien.
  3. Mais je ne sais pas qui c'est ... Si tu nous lis, cf http://wiki.glidernet.org/receiver-naming-convention pour le nommage des récepteur. Merci & A+ -- Seb Salut, En effet, on essaye, mais pour le moment on a pas encore l'antenne qui va bien. Mais du coup on a inscrit les planeurs sur FLARMNet et on arrive a voir nos planeurs de temps en temps grâce au récepteur du Cern et de Cluses. Merci du tuyau !
  4. Bonjour. Pas façile d'avoir un gabari hors normes en planeur... Je fais dans les 1m92/93 et je n'arrive pas à rentrer dans un Pégase équipé de sa sellerie. Du coup je vole avec le dossier mais sans coussin et ça devient pénible pour la sciatique et les lombères au bout de 3h et très dur au bout de 4h. Tu dis voler en enlevant le dossier. Je viens de réessayer de virer le dossier ce WE, mais ça ne conviens pas, le puis de roue me remontant dans les lombères me casse le dos et l'utilisation du coussin, pourtant pas plus épais que 2 à 3 cm reste impossible. Y a-t-il une solution que je n'ai pas entrevue pour voler plus confortablement en pégase ? Et voler sans dossier n'est-il pas dangeureux pour le dos en cas d'atterissage dur, avec ce puis de roue seillant ? Pour le moment le seul planeur dans lequel je suis bien reste le K21. J'ai volé sur K21, Astir CS77, pegase et Janus C. Je rentre dans tous ces planeurs mais avec aucun confort à part pour le K21.
  5. Bonjour. Cette histoire est édifiante, et en plus ça se passe dans ma région natale. Mais je n’ai pas bien compris pourquoi il a été condamné. Est-ce juste parce qu’il a pris la décision d’atterrir à Courchevel alors qu’il n’en avais pas le droit ? Si je comprends bien la zone de Courchevel est très réglementé, c’est ça ?
  6. Ah, ça a finalement intéressé des gens ma question ? Je ne sais pas vous, mais moi, je pense que la pollution au CO2 est finalement quelque chose de moindre importance par rapport à d’autres composés polluant rejeté par divers source de pollutions. Un moteur comme notre vieux treuil de 400ch, fonctionnent au fioul domestique produit surement une quantité de particule de carbone ainsi que des composés anhydre de souffre et d’azote assez significative. N’oubliez pas les maladies respiratoires que cela peut entrainer. Il brule 1 litre de fioul par treuillée, plus tous les allées retours avec les voitures de pistes on doit être pas loin de consommer une 20aine de litres par jours… Plus le trajet des pilotes pour venir voler, qui viennent parfois d’assez loin. Je trouve pas ça anodin. C’est sûr, ç’est surement bien moins que la conso sur un aérodrome en vol moteur. Ensuite, je ne pense pas que le nucléaire soit une bonne solution, et la motorisation électrique des moyens de transport non plus, d’ailleurs. (rendement de la chaine complète d’énergie pas forcement viable). A propos, même si le methane et la vapeur d'eau on des pouvoirs de réchauffement plus élevé que le CO2, ils se dissipent bien plus rapidement que les autres gaz à effet de serre : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gaz_%C3%A0_effet_de_serre voir chapitre "Le potentiel de réchauffement global"
  7. Bonjour. Après calcul du facteur de correction de la détente adiabatique en fonction de l’humidité donné par l’UVED, voici ce qu’il apparait : Un rapport de mélange de 4g/kg (apparemment, ceci correspond à de l’air sec), le facteur de correction est de 0,999032 soit 0,1% de diminution du gradient adiabatique. Une variation de 1% correspond à un rapport de mélange de 40g/kg (air très humide) Pour arriver à ~2% de diminution, il faut plus de plus de 50g/kg, ce qui semble correspondre à de l’air extrêmement humide. Pour ne pas saturer un tel rapport de mélange, il faut une masse d’air très chaude, et je doute que cela puisse se produire sous nos latitudes tempérés. (si je calcul bien, il faut une masse d’air à plus de 30°C pour ne pas saturer un rapport de mélange de 20g/kg) Je me demande d’ailleurs si c’est possible d’avoir un tel rapport de mélange sur terre… Peut-être sur l’équateur ?… D’après ces réflexions, je reste persuadé que l’humidité ne joue un rôle favorable pour les pompes que pour ce qui est de leurs matérialisations. D’ailleurs, je voulais savoir si quelqu’un aurait la méthode et les calculs qui permettraient de calculer la vitesse moyenne des pompes (pas en saturé, si possible, car je connais la méthode avec le CAPE, mais c’est pour les vitesses dans le nuage…) Peut-être une méthode similaire avec le calcul de l’aire entre l’adiabatique sèche et la courbe d’état et changer ça en vitesse verticales ?
  8. Bonjour à tous. Merci, Mr CTP, pour ces confirmations. J’ai dégoté un site qui semble bien, expliquant que l’humidité ne joue pas un rôle prépondérant dans la détente adiabatique tant qu’il n’y a pas de changement d’état de la parcelle d’air en question : http://sup.ups-tlse.fr/uved/Ozone/BasesScientifiques/projet/site/html/ThermodynamiqueAtmosphere_3.html#InfluenceVapeur L’origine semble sérieuse : http://sup.ups-tlse.fr/ Je vais devenir un parfait météorologue, bientôt
  9. Sur cette table à 1013 hPa en gardant ton exemple à 20°C la variation de masse volumique entre 50% et 100% d'humidité est la même que de 20 à 21°C en restant à 50% d'humidité : Je ne trouve pas cela négligeable car je ne pense pas que la différence de température entre le centre d'un thermique et l'air extérieur soit supérieure à 1°C La première réponse de JdeM, avec la température virtuelle, se retrouve bien là Bonjour. Bon, comme je disais, j’ai pas forcement juste… Comme j’ai affaire à des spécialistes, j’aimerai savoir si j’ai bien compris : Je ne sais pas si j’ai bien compris le principe de convection, mais il me semblait que tant l’ascendance n’atteignait pas le point de condensation, la parcelle d’air soulevée se détendait selon la détente adiabatique sèche, car l’humidité n’entrait pas en compte dans ce type de détente. Et lorsque le niveau de condensation est atteint, la détente se fait selon le modèle adiabatique saturé car ici, l’humidité joue un rôle important, et donc le refroidissement de la parcelle soulevée est beaucoup plus lent. C’est bien ça ? Et si je comprends bien, l’EPCD et le NCL sont calculés pour une parcelle d’air saturée, car si j’ai bien compris, c’est l’énergie du nuage crée qui est mesurée, donc on est en condition saturé, c’est bien ça ? Merci.
  10. Bonjour. Alors, je n’ai pas eu le courage de tout lire, je ne sais donc pas si la question a été posé par quelqu’un : Comment vous situez-vous en tant que "pollueur" vélivole ? • Responsable, car volant sans moteur. • Coupable, l’accès aux aérodromes, la mise en vol, la production et l’entretient des machines ne sont pas vraiment éco-responsable. • Indifférent, Ce n’est pas la pratique du VàV qui changera la donne. Je suis nouveau dans le milieu, mais je suis sensible à l’écologie. Le VàV est une activité fantastique, cependant je culpabilise, car même si l’on vol sans moteur, on produit des rejets polluants relativement important à mon goût.
  11. Bonjour. Je vais tenter une analyse, je ne garantit pas sa justesse, c’est juste que le sujet m’intéresse… Je tiens à préciser que je pratique la météo uniquement en dilettante. Il ne me semblerait pas que l’humidité joue un rôle important dans la stabilité d’une masse d’air : En effet, selon les tables en lien on voit que pour une parcelle d’air à 20°C la masse volumique varie peu, ~1% d’augmentation, ce qui est presque négligeable. http://www.thermexcel.com/french/tables/massair.htm On voit sur le calcul du Nb de Rayleigh (http://fr.wikipedia.org/wiki/Nombre_de_Rayleigh, http://fr.wikipedia.org/wiki/Convection) que le gardian thermique entre la surface chauffé et la température loin de cette surface à une importance bien plus prépondérante que des variations de l’ordre de 1% de la masse volumique… Peut-être que le facteur favorisé par une masse d’air humide ne serait que la visibilité des ascendances ? En effet, si la masse d’air est humide, le point de rosée est assez élevé, ce qui favorisera la formation des cumulus. Par contre si la masse d’air est sèche, il y a risque que la parcelle d’air soulevée par une ascendance n’aille pas jusqu’à la condensation si la convection est stoppée par une inversion, car la température du point de rosée s’abaisse considérablement => thermiques purs => plus difficile de cheminer ? Merci de me corriger si je dis des bêtises.
  12. Merci pour toutes ces réponses. Je comprends mieux les tenants et aboutissants du truc, maintenant.
  13. Bonjour. J’ai une petite question de débutant : J’ai entendu dire que les empennages en T avaient un avantage en terme de trainée sur les empennages cruciformes. A quoi cela serait-il dû ? Une interaction négative entre le fuselage et le stab ? Merci Guillaume.
  14. Il me semble que c'était un ASK21, sinon il y a aussi un Janus mais je ne suis plus sûr duquel des 2 j'ai volé avec.
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