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rimaroc

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Messages posté(e)s par rimaroc

  1. note que les batteries vont se recharger pendant la journée donc à l'heure ou le planeur en à besoin donc il te faudra deux batteries: une qui vole et une qui charge.

    Il y a pas mal de solutions possibles mais il faut plus d'info:

    quel est ton rythme de vol? (tous les jours, semaine, WE) et à quels occasions souhaites tu utiliser ton système autonome?

    si tu ne sors pas la batterie du planeur et que tu vols tous les jours il te faut une "grosse" batterie tampon qui va se recharger dès qu'il y a du soleil et qui va permettre de recharger ta batterie de planeur et de ventiler la remorque.

    bref: panneau solaire=>gestionnaire de charge=>batterie tampon=>convertisseur 12v-220v=>chargeur de batterie=> batterie du planeur.

    c'est le montage le plus simple mais pas le plus performant.

  2. c'est le principe des lunettes/masque pour le brouillard.

    La différence étant que dans ce cas c'est la diffraction du brouillard qui trouble la vue et pas celle de nos lentilles propres ( cornée et cristallin )

    les lunettes solaires font un peu pareil en donnant une teinte (verte) plus agréable qu'un gris neutre.

  3. reste plus qu'à mettre une hélice repliable sur le pylone (avec un système à parallélogramme pour que ça rentre dans le fuselage) et ça commence à être pas mal du tout (hors manœuvre de rentrée et sortie du machin.)

     

    Sinon les moteurs sur les ailes me semblent aussi mieux du point de vue structurel: en prise direct avec le longeron. D'autre part quand on voit le faible effort en tension sur la corde en remorquage, je ne pense pas qu'il faille en rajouter beaucoup pour que chaque aille puisse en supporter le poids et l'effort longitudinal.

  4. Des club ont survécu/ ont ressuscité grâce au motoplaneur. Je pense que le planeur autonome électrique pourrait avoir le même effet à beaucoup plus grande échelle grâce à sa plus grande similitude avec les planeurs purs et tous les avantages parallèles.

     

    D'autre part beaucoup de sports sont pratiqués de manière professionnelle pour leur plus grand bien comme la plongée.

  5. un gros problème actuel est le manque de personnes disponible.

    Et là le planeur autonome électrique prend tout son sens.

    - pas besoins de treuilleur ou de remorqueur. => gain de personnel

    - pas besoin de sortir le treuil ou le remorqueur => gain de temps et d'usure marginale

    - manipulation du groupe propulseur simplissime donc pas ou très peu de formation complémentaire nécessaire.

    - entretien moteur réduit lui aussi au minimum

     

    en bref 1 élève + 1 instructeur + 1 heure de disponible et on peut faire de l'instruction.

    sinon c'est au moins une personne de plus, une heure de plus, des cout en plus.

     

    je suis convaincu qu'un planeur autonome d’école elec + des planeur autonome elec type silent pourraient assurer 80% de nombre des vols dans beaucoup de club.

  6. Bonjour,

    1) que dit la loi :

    a) que le pilote doit respecter le manuel de vol : si la place du commandant de bord est précisée, la messe est dite.

    B) que le pilote doit avoir accès à toutes les commandes (si tu as en plus un répétiteur radio comme le permettent les radios 8,33 modernes c'est mieux)

    c) l'assureur de la FFVV n'en dit pas plus donc 1)a) et 1) B) s'appliquent.

     

    2) que dit l'exploitant : le club aura peut-être ses propres règles : voit selon les cas. dans mon club on préconise très fortement le VI avec pilote en place avant pour des questions de changement de fréquence (procédure locale avec treuillage et vol sur fréquence différentes) et secondairement d'expérience des pilotes plus importante en place avant. Mais ce n'est pas immuable.

    Le vol entre 2 membres du club n'impose pas le CDB en place avant puisque les 2 sont pilotes et savent se servir de toutes les commandes y compris radio.

     

    Bons vols.

    hors terrain contrôlé, il me semble que la radio n'est pas obligatoire donc je serais tenté de dire que ce critère n'est pas à retenir.

  7. aucun souci pour alim sur batterie.

    J'ai environ 60W de LED branchés en direct sur une batterie tous les jours et ça va bien.

    par contre il faut que tu fasse tout de même un peu attention:

    -les batteries de voitures sont conçues pour un très fort ampérage mais de très faible décharge (j'ai retenu 5%). Là c'est l'inverse.

    - parfois le ralenti ne suffit pas pour charger la batterie (encore plus sur les vieilles voitures) donc ne pas trop compter dessus.

    - ça éclaire vraiment bien

    -ça vaut eut être le coup de prendre un ruban tropicalisé (ou alors de passer un coup du bon produit en bombe)

    -une tempo qui coupe l'éclairage tout seul au bout de quelques minutes pourrait être une sécurité intéressante. (mais trouver in inter avec tempo en 12 V ça pourrait être pas si simple)

    - une tension alternative ne devrait pas gêner: on eut brancher une simple LED sur du 220V 50Hz avec une petite résistance sans qu'elle claque.

     

    Romaric

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