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THEO

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Messages posté(e)s par THEO

  1. Nous avons aussi une Portaflot à Fayence. La bâche est en très bon état, donc pas de changement en vue.

    Je trouve que c'est une bonne remorque et je pense aussi que la transformation ne doit pas être bien sorcière, en utilisant des rivets pops pour la fixation.

    Je pense qu'il faut surtout imaginer les modifications à apporter à la face avant avec la trappe d'accès et concevoir une porte arrière intégrale.

    Quant à l'excédent de poids final, j'ai du mal à l'imaginer et il n'y a que la pesée qui peut le dire.

  2. Bonjour,

     

    je viens de rénover une remorque Pfeifer, similaire à une Schroeder.

    j'ai remplacé le revêtement polyester en un morceau

    J'ai acheté 8 m x 3 m livré en rouleau chez Lamilux (D)

    on peut avoir une largueur de 3,2 m

    Qualité: Lamilux Gewebe ( toile tissée) ép: 1,5 mm

    gelcoat blanc brillant sur 1 côté

    Il ont un représentant en France: lamilux.fr

     

    André

     

    Intéressant.

     

    8m par 3m. Je suppose donc que tu n'as refait que la partie supérieure.

     

    Pas de problème pour la mise en forme ?

    Tu l'as collée ou popée ?

     

    J'ai connu il y a pas mal d'années un retraité qui construisait des remorques inspirées de Schroeder-Pfeifer. De mémoire Mr Lörich en Moselle. On lui en avait acheté une.

     

    L'adresse que j'ai trouvée sur tes indications : https://www.lamilux.fr/composites/produits/toile-tissee.html

    Y a-t-il une adresse en France ?

     

    J'étais parti dans une laborieuse recherche : https://www.europages.fr/entreprises/plaques%20en%20fibre%20de%20verre.html

     

    ...

  3. Bonjour,

     

    J'aimerais un retour d'expérience pour la réparation d'une remorque Schroeder.

    Il s'agit de remplacer entièrement la coque constituée de feuille polyester-fibre de verre qui est trop endommagée.

     

    J'ai en vue quelques fournisseurs, mais je suis preneur pour les références que vous pourriez connaitre.

     

    Il me semble que changer la coque complète en un morceau n'est pas raisonnable et peu conseillé avec un équipement de bricoleur. Trop grand, trop encombrant, positionnement aléatoire. Probablement vaut-il mieux procéder par tronçons comme je l'ai déjà vu faire une fois.

     

    Dans ce cas, quelles dimensions, quelle épaisseur ?

     

    J'ai à peu près en tête le mode opératoire, mais, j'apprécierais les lumières de ceux qui ont délà cette expérience.

     

    Merci.

     

     

  4. Ce n'est pas forcément une question de spéculation.

     

    Par exemple, l'histoire du vol à voile d'Eric Nessler ou l'empire de l'air de Mouillard se vendent très cher.

    C'est le prix à la fois de l'objet rare et de l'ouvrage de qualité, voire de référence.

     

    Je veux croire que la course en planeur d'Helmut Reichmann est entré dans cette catégorie.

    Le prix de vente est du même ordre que ce que te coûte un petit circuit.

     

    Maintenant, si une ré-réédition est en gestation, c'est bien, surtout s'il est un peu modernisé, SKO a raison.

  5. Il y a un nid d'Oceanair à Bar sur Seine.

    J'avais vu les travaux de grande qualité du premier, effectués avec des jeunes et un encadrement impressionnant de compétences .

    Ils en sont au troisième, équipé cette fois pour pilotes handicapés.

     

    https://www.aerobuzz.fr/breves-aviation-generale/loceanair-handi-de-bar-seine-a-pris-envol/

    https://www.facebook.com/librescommelair/videos/452457855511801/

     

     

    Avec maintenant quelques émules à Troyes.

     

    https://www.aircampustroyes.fr/2016/06/21/avancement-des-travaux/

     

    Merci, Remi Tissot.

     

    http://www.acaatlantique.fr/2017/12/tissot-charbonnier-concepteurs.html

    https://drive.google.com/file/d/1Sq2stPWJ5d79V7rFCOtQWNxIsI0JLVDg/view

  6. Si le coeur vous en dit et avec un peu d'imagination pour la transformation, voici quelques exemples par budget croissant :

     

    https://www.leboncoin.fr/commerces_marches/1735482321.htm/

    https://www.leboncoin.fr/commerces_marches/1730715235.htm/

    https://www.leboncoin.fr/utilitaires/1735994004.htm/

    https://www.leboncoin.fr/utilitaires/1673136056.htm/

     

    Sinon, les roulottes sont à la mode. On peut en faire un vrai club house en piste.

     

    https://www.google.com/search?sxsrf=ACYBGNRN52b10OStOhmOEVyE9hQvTAApHA:1579273538256&q=roulotte&tbm=isch&source=univ&sa=X&ved=2ahUKEwigvICy9IrnAhUS8uAKHWBwAHgQsAR6BAgKEAE&biw=1600&bih=789

    :D

     

    Ou alors, le top du top :

     

    http://fotoforum.fr/photos/2020/01/17.29.jpg

     

    https://www.leboncoin.fr/caravaning/1485947490.htm/

    Mais, le gros défaut, c'est qu'une fois installé en terrasse avec la bière en main, plus personne ne voudra aller voler ...

  7. Est-ce que tu pourrais préciser les dimensions de la remorque du club de Sens ?

    C'est la transformation d'une caravane de petite taille. Sur les photos, on peut extrapoler à partir de la taille des personnages à proximité. De mémoire dans les 3,50m, je crois. Mais si on avait eu une caravane un peu plus grande, disons une quatre places d'un mètre de plus, je pense qu'on aurait pu faire encore mieux.

    C'est comme le camion ex-boucherie de Fayence. On récupère, on imagine, et ensuite on fait ce qu'on peut avec ce qu'on a.

    De toute façon, le budget qu'un Club voudra consacrer à ce matériel que beaucoup considèrent comme secondaire, est forcément limité.

    Alors, place à la débrouillardise.

    Une petite suggestion supplémentaire sur l'équipement : le mégaphone en piste, comme utilisé dans bien des sports en plein air. Certains clubs ne peuvent plus s'en passer, d'autres n'adhèrent pas à l'idée.

    Pensons au chef de piste qui voit une con...rie en train de se préparer en piste à 200 mètres de lui et qui pense à se saisir de l'engin pour rectifier le tir. ça peut aider, non ?

    En son temps, je me suis dit que tant qu'à faire de s'équiper, autant se baser sur l'expérience de ceux qui savent, alors, je me suis renseigné sur le matériel utilisé par la CGT, et j'ai commandé le même...

    Véridique.

    Et qu'aucun esprit mal tourné n'y voie un quelconque lien avec l'actualité. :P

  8. Une caravane classique, c'est très fragile pour des gros bourrins de vélivoles chargés de batteries, systèmes de mise en piste, etc.

     

    Voici une caravane entièrement dépouillée pour ne laisser que le chassis, qui a été renforcé et doté d'une structure en tubes soudés, habillés de toles, avec parties vitrées ouvrables sur 360°.

     

    Large bureau tourné vers la piste. Sièges de bureau fixés au sol. Deux VHF et grand mât d'antenne amovible. Banquette siège renfermant l'équipement d'amarage en piste en cas de coup de vent, ainsi qu'une caisse d'outils de piste, quelques coussins et une pharmacie. Compartiment gueuses avec accès par l'extérieur. Logement pour parachutes. Sol renforcé pour recevoir les mises en piste, toujours lourdes et agressives. Frigo. Meuble pour classer quelques documents genre flyer, tarifs, documents pédago etc. Panneau d'affichage et/ou panneau véléda pour quelques cours en piste. Doté de batteries et chargeur incorporé, rechargées en fixe durant la nuit. Mini station météo avec orientation et vitesse du vent, pression, température, etc. Planche de vols ou bien système d'enregistrement automatique. Enrouleur supplémentaire pour éventuellement tirer en plus un planeur en piste. Supports-berceaux pour recevoir les rallonges 20 mètres du DG1000 qui veut voltiger en 18 mètres le soir.

    Il n'est pas interdit de rajouter des chaises longues et des parasols.

     

    http://fotoforum.fr/photos/2020/01/16.0.jpg

     

    http://fotoforum.fr/photos/2020/01/16.1.jpg

     

    http://fotoforum.fr/photos/2020/01/16.2.jpg

     

    http://fotoforum.fr/photos/2020/01/16.3.jpg

  9. Le fuselage en tube était tordu mais la forme générale du cockpit était encore là préservant les occupants. Les deux solides demi-longerons entre les ailes avaient suffisamment résistés pour protéger le gars en place arrière.

     

    Les fuselages en tubes, ça va tant qu'on est dans le cas de déformations limitées. Mais quand ils cassent, on peut souvent redouter de belles blessures ...

     

    Je connais au moins le cas de deux Fauconnets, d'un Javelot et d'un Topaze qui ont sérieusement piqué leurs pilotes.

     

    On s'en sort peut-être un peu mieux avec des lisses en bois et sûrement mieux avec une structure en composite.

  10. Peut-être faut-il distinguer entre la perte de contrôle entrainant une chute dans des arbres, et la contrainte d'atterrissage dans les arbres.

     

    Pour ce qui est de l'arbrissage "piloté" :crying: , moi aussi, je me suis plus d'une fois posé la question.

    Un de mes instructeurs avion qui avait beaucoup survolé de vastes forêts en Indochine, m'avait indiqué il y a bien longtemps que la meilleure méthode est de percuter en glissade maximale, donc l'aile en premier.

    J'ai toujours eu des doutes sur la méthode. Peut-être qu'avec un avion, une aile métallique peut faire un accordéon efficace, mais avec une aile en bois, il y a peut être autant de risque d'être embroché par le longeron cassé que par un arbre.

    De toute façon, une glissade efficace ne me parait pas adaptée pour ce cas de figure, avec un planeur moderne.

     

    Je suis allé chercher plusieurs fois des planeurs dans la végétation. Un pilote d'ASW20 s'était certes retrouvé indemne à la sortie de son planeur, mais la verrière était éclatée par une branche qui l'avait traversée latéralement à quelques dizaines de centimètres de son visage. C'était donc un bel épisode de roulette russe.

     

    Je me suis toujours dit qu'il vaut mieux se vautrer à la vitesse minimum dans des arbres assez touffus et assez jeunes pour éviter les gros troncs.

    Mais j'ai peut-être tort, parce que nombre de planeurs se sont perchés au contraire en haut d'arbres bien solides qui pouvaient les retenir.

    Et puis, des espèces d'arbres, il en a des quantités et il n'est pas toujours évident de distinguer une essence d'arbre d'une autre. Tout au plus, la plupart des pilotes peuvent-ils faire en vol la différence entre des résineux et des feuillus.

    Dans le Var, par exemple, les arbres poussent lentement et des chênes verts ou des chênes lièges ne sont pas bien hauts, mais leurs troncs sont gros et durs. Pas très accueillant. Rien à voir avec des plantations de conifères en forêt des Landes ...

     

    https://www.itv.com/news/meridian/2019-03-27/no-injuries-reported-after-glider-comes-down-in-trees/

    https://www.banburyguardian.co.uk/news/traffic-and-travel/regional-light-aircraft-crashes-bicester-697684

    https://www.thesun.co.uk/news/8345531/glider-pilot-crash-trees-rescue/

    https://www.estrepublicain.fr/actualite/2015/03/22/le-planeur-finit-son-vol-dans-les-arbres

    https://www.leprogres.fr/rhone-69-edition-est-lyonnais/2019/06/01/saint-symphorien-d-ozon-un-planeur-s-ecrase-sur-un-arbre-avec-deux-personnes-a-bord

    https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/un-pilote-de-planeur-retrouve-dans-un-arbre-trois-jours-apres-sa-disparition-1399624104

    https://www.midilibre.fr/2014/05/18/le-planeur-finit-sa-course-au-beau-milieu-des-arbres,862290.php

     

    Pour les atterrissages en planeur dans des milieux inhospitaliers, que ce soit des arbres, de l'eau, des cultures hautes, des rivières, des lignes électriques, des toits de maisons ou bien ailleurs, depuis une centaine d'années, je crois que tout a été essayé ...

     

    Mais, tu as raison, il n'est pas interdit d'y songer avant, en plus de la recherche d'un bon ange gardien.

     

    Je vous conseille ce très beau livre de Jean-Claude Brouillet:

    http://www.aerostories.org/~aerobiblio/article3375.html?var_recherche=l%27avion%20du%20blanc

    "Les arbres serrés les uns contre les autres, à s'étouffer, à l'infini. Vu d'en haut, c'est tout à fait comme un carré de persil bien frisé"

  11. Nos machines ont une espérance de durée de vie de 12000h, il y a encore beaucoup de machine du début des années 80, elles approchent donc des 40 ans et sont loin d'être foutues....

    D'accord Thierry, mais le sujet est tout autre, je crois.

     

    Il y a d'une part l'empreinte carbone pour ce qui concerne principalement nos véhicules aériens et terrestres nécessaires à la mise en service de nos appareils, donc l'équivalent en CO2 par vélivole utilisateur et par appareil.

    https://www.myclimate.org/fileadmin/user_upload/myclimate_-_home/01_Information/01_About_myclimate/09_Calculation_principles/Documents/myclimate-Calculateur-de-vols-Base_FR.pdf

     

    Et d'autre part le bilan environnemental qui n'est pas facile non plus à chiffrer. On pourrait dire que les planeurs ne polluent pas, mais les matériaux nécessaires à leur fabrication ou leur réparation, ainsi que leur devenir quand ils sont détruits, ne sont pas à notre avantage. Pour ma part, j'ai conduit au moins cinq épaves de planeur à la déchetterie, bien content encore que celle que je fréquente les accepte, parce que c'est loin d'être le cas partout.

    https://www.google.com/search?sxsrf=ACYBGNStXWbW9ccPQ5roH6Yx0eggtsvVYw%3A1577945341365&ei=_YgNXs_3FdGl1fAPkce5gAo&q=bilan+environnemental+mat%C3%A9riaux+composites&oq=bil&gs_l=psy-ab.1.0.35i39l2j0i67j0i20i263j0i67l3j0i131j0j0i67.23158.23931..27467...0.1..0.83.243.3......0....1..gws-wiz.......0i71.UkBsbzs-u9M

    A priori, si on se base effectivement sur l'utilisation sans casse d'un planeur en composite pendant 12000 heures, on peut penser que le bilan par heure et par passager est suffisamment modeste pour mettre en avant l'aspect "vert" de notre activité.

    Mais 12000 heures, ce sont aussi 12000 décollages avec des engins motorisés...

     

    Alons-y doucement quand on annonce que notre activité est "nature" ...

  12. Il suffit de mettre les pieds (et les yeux...) dans l'atelier lors des visites pour le savoir.

     

    Bien d'accord avec toi. Et même en plus des pieds et des yeux, si on peut aussi y mettre aussi les mains ...

     

    Ceci étant, ce n'est pas toujours suffisant et il ne faut se croire à l'abri de rien. Un copain de Dédale avait l'habitude d'effectuer son approche en glissade très prononcée avec son Bergfalke qu'il connaissait par coeur.

    Durant un rassemblement de planeurs anciens, il s'est pourtant retrouvé à quelques mètres de hauteur avec le manche détaché dans la main. L'atterrissage qui en a résulté s'est fait "en vrac" et a nécessité une grosse réparation. Et bien content encore de ne pas avoir eu à réparer les pilotes, parce que c'était "très chaud" ce jour-la ...

     

    La piqûre de rappel d'Apprenti n'est donc pas du luxe.

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