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Pierre

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Messages posté(e)s par Pierre

  1. J'ai vu récemment un vélivole qui utilisait un système tout simple : il a fixé son GPS dans un bloc de mousse noire (pas de reflets) assez épaisse. Ensuite, il coince son bloc de mousse entre le tableau de bord et la verrière du pégase.

    Avantages : simple, pas cher, adaptable sur d'autres machines et surtout aucun trou à faire sur le planeur du club.

  2. Pour avoir volé sur ASH et Nimbus, j'ai aussi noté quelques autres différences non encore mentionnées :

    - l'efficacité des aérofreins est tout à fait satisfaisante sur Nimbus, mais ce n'est pas le cas de l'ASH où l'on est obligé d'avoir des plans en approche relativement faibles : faut s'habituer...

    - l'ASH a l'avantage d'avoir un train d'atterrissage très haut contrairement au Nimbus. Dans le cas d'une vache (nullement à exclure, même avec un moteur), il y a de très fortes chances d'y laisser les trappes avec un Nimbus; beaucoup moins avec un ASH.

    - le Nimbus est beaucoup plus spacieux; l'ASH demande plus d'organisation pour emporter tout notre "merdier" habituel (cartes, bouffe, eau, appareil photo,...) mais avec un peu d'habitude tout se passe bien.

    - côté confort, le petit détail plus de l'ASH : son aérateur " boule, orientable" type voiture très agréable en place arrière.

    - attention aussi aux différentes versions de nimbus 3, les anciens avec une petite dérive étant extrêmement durs à piloter. Cela s'est amélioré avec les derniers Nimbus 3 à grande dérive. Sur les Nimbus 4, pas de pb.

     

    Sinon, l'ASH doit bien avoir aujourd'hui une vingtaine d'année et le Nimbus 4 une quizaine. Quid des successeurs ?

    Enfin, quelqu'un a peut-être des infos sur le futur libre de chez Lak (le Lak 20 ??).

  3. Quelqu'un se souvient-il d'une série télévisée où un jeune américain faisait du planeur ?

    Si je ne me trompe pas, cette série était diffusée le samedi soir sur la 3 dans une sorte de Disney club, je ne suis pas très sûr.

    En tout cas, le planeur était un Blanik métallique.

    Dans un des épisodes, il y avait un remorqué en vol dos derrière l'avion.

    Dans un autre épisode, il y avait un décollage au treuil derrière une voiture.

    Dans un des épisodes, le planeur servait à passer la frontière USA-Mexique.

    Désolé pour le peu d'indices, mais cela date de quelques années et Alzeihmer...

  4. :rolleyes: V17 you are demasked !

     

    http://albumphotos2.wanadoo.fr/VOLUME013/899gfl/cmzyyu8996/image/yt98_6086626.jpg

     

    ... en plus, il pactise avec l'ennemi allemand...

     

    http://albumphotos2.wanadoo.fr/VOLUME013/899gfl/cmzyyu8996/image/fjp2_6086570.jpg

     

     

    A+

  5. :D Verra-t-on le Duo des Cîmes en plaine cette année à Romo au milieu des autres biplaces ?

    :D Uli Gmelin et son redoutable Y2 trusteront-ils une nouvelle fois les podium ?

    B) Le gendarme en Janus (QP) à Romorantin ?

     

    :) Réponses au mois de juin....

  6. Un autre concours biplace mérite d'être cité : l'International Air de Romorantin !

    La classe biplace, parfois affectueusement surnommée classe touriste, permet de bien débuter dans la compétition : circuits moins grands que dans les autres classes mais épreuves disputées, une vingtaine de machines équivalentes (Janus et Duos ), ambiance très sympa ( en vol et surtout le soir au petit bois pour les connaisseurs...) et surtout une organisation de très haut niveau !

  7. J'ai également vu en 1998 / 1999 un ASH 25 (belge?) à l'INA de Romorantin qui avait un petit phare rotating au dessus du fuselage. Alimenté soit par batteries ou panneaux solaires, ce système ne m'a semblé efficace que quand il faisait sombre : à l'ombre des nuages notamment.

    En ciel clair, par forte luminosité, on voyait le planeur et rarement le rotating. Mais bon, ce système a le mérite d'exister.

  8. Suite à la série BD et vol à voile.

    Le célèbre journal de Spirou ne s'est pas contenté de publier les aventures des vélivoles Yoko Tsuno et Jeannette Pointu, il a également publié des articles directement consacrés à notre sport.

    C'était le 22 aout 1963 (n°1323) :

     

    http://albumphotos2.wanadoo.fr/VOLUME013/899gfl/cmzyyu8996/image/pqyc_5914397.jpg

     

    Spirou étant belge (eh oui...), on ne s'étonnera pas de se retrouver à St Hubert.

     

     

     

    PS : je recherche toujours d'autres BD consacrées au vol à voile.

  9. Désolé, mais Zlip (Roland ) est toujours en course; je l'ai croisé aujourd'hui à Cazaux.

    D'autre part, ne tirez pas trop vite sur les militaires : tous ces jeunes vélivoles qui deviennent un jour pilotes resteront les porte-parole de notre sport au sein de l'armée : promotion mais aussi information sur ce qu'est notre activité.

    Et puis, bien souvent devenus vieux militaires ils finissent chefs-pilotes ou instructeurs dans nos clubs de vol à voile; cherchez bien, vous en connaissez sûrement au moins un.

  10. Pour revenir sur le sujet, je remercie Didier Bauchart pour ses propos.

    Oui, ces champions et leurs records me font rêver; oui ce sont de grands pilotes et oui ils font avancer le vol à voile.

    Le problème est que beaucoup de jeunes veulent ou vont les imiter. Or quand ces champions font des choses difficiles ou dangereuses et que quelqu'un qui n'a pas leur expérience veut les imiter, cela risque d'avoir de graves conséquences. Alors, tous ces pilotes d'exception, quand ils sortent du cadre, ont-ils intérêt à en parler? Sachant qu'ils vont être pris en exemple, ces champions doivent se montrer le plus irréprochables possible.

    Ainsi, s'ils sont amenés (par exemple) à faire du vol aux instruments; inutile de s'en vanter, ou alors bien expliquer que c'était une solution de secours après une erreur de jugement, que cela pouvait être dangereux, que cela n'était pas prévu ou volontaire, que cela a été fait par une personne compétente ayant suivi une formation IFR avec une machine "équipée"(?!)

    Si un compétiteur de haut niveau est amené à faire un raccrochage très bas ou une arrivée plus que tangente, doit-il être fier de sa performance, la taire ou au contraire rappeler aux jeunes que c'était là des manoeuvres dangereuses et leur expliquer pourquoi ?

  11. Qu'il me soit permis ici de pousser un coup de gueule face à certains propos tenus par Jean Marie Clément dans le dernier Vol à voile magazine (n°114 de janvier-février 2004)

    Page 33 du dit magazine il nous déclare avoir fait "six minutes de vol aux instruments gyroscopiques [...] La conséquence étant un fort givrage des bords d'attaque transformant notre bel oiseau en un fer à repasser."

    Que je sache, aucun planeur n'est à ce jour homologué IFR. Le sien est seulement homologué VFR de nuit (vérification faite sur son site www.topfly.aero ).

    D'autre part, le vol en conditions givrantes est sinon interdit, tout du moins très fortement déconseillé.

    Ce personnage que la modestie n'étouffe pas se permet même quelques lignes plus loin (page 37) de donner des leçons : " Si nous voulons tous continuer à jouir de ces privilèges, Klaus fera bien de faire régner un peu plus de discipline dans ses troupes".

     

    Alors, même si tous ces records effectués en Patagonie m'ont fait rêver, je ne comprends pas que l'on puisse se targuer d'avoir sciemment enfreint la réglementation. Comment notre revue peut-elle laisser dire ceci sans réagir? Quel exemple pour tous les autres vélivoles pour lesquels le plus grand respect d'une réglementation de plus en plus contraigante va de pair avec la survie de notre sport ?

     

    PS : merci à Klaus Ohlmann pour son autre article sur la Patagonie et sa plus grande modestie.

  12. Du lundi 8 au vendredi 12 mars prochain, Arte va diffuser tous les soirs entre 20h15 et 20h40 un documentaire intitulé « Pilote de chasse ». Durant presque une année, des journalistes ont suivi six jeunes élèves pilotes depuis leur arrivée à l’Ecole de chasse de Tours jusqu’à leur « macarronage » ( c’est à dire la remise de brevet ). Parmi ces jeunes officiers qui ont été suivis et filmés quasi quotidiennement pendant tous ces mois figure Roland Gabriel, un vélivole du Pic Saint Loup. Si le reportage s’attache évidemment et principalement à montrer l’apprentissage du métier de pilote de chasse, il tient également à montrer la vie extra professionnelle de ces jeunes. C’est ainsi que l’équipe de reporters à débarqué un week-end au terrain du Pic saint Loup pour filmer Roland dans ses activités du week-end. On peut donc espérer une courte séquence de vol à voile sur Arte à une heure de grande écoute dans les prochains jours. A conseiller également à tous nos petits jeunes dans nos clubs qui désirent embrasser une carrière aéronautique pour leur montrer que le vol à voile est une bonne école qui peut mener loin.
  13. De plus, beaucoup de ces planeurs ont été détruits car les allemands plantaient d'énormes piquets dans les grands champs pour justement éviter que ces champs soient utilisés comme terrains d'atterrissage : n'oublions pas qu'on était en guerre.

    Un grand chapeau à tous ces courageux pilotes qui, en plus, volaient de nuit (un sujet de plus pour Ixilie...)

  14. Moi aussi, j'ai de belles photos avec les JXX:

     

    http://albumphotos2.wanadoo.fr/VOLUME013/899gfl/cmzyyu8996/image/clbf_5710352.jpg

     

     

    http://albumphotos2.wanadoo.fr/VOLUME013/899gfl/cmzyyu8996/image/a310_5556167.jpg

     

    On remarquera les numéros de concours (sujet du post) mais l'absence d'immaticulation : ça laisse de la place pour faire de la pub...

     

     

     

     

     

     

    PS : pilote de transport militaire, je suis toujours à la recherche de photos du Janus F.CFAP

    (CFAP=Commandement du Transport Aérien Militaire )

  15. Merci à Mathieu pour l'info concernant Jeannette Pointu.

     

    http://albumphotos2.wanadoo.fr/VOLUME013/899gfl/cmzyyu8996/image/jny3_5672769.jpg

     

    http://albumphotos2.wanadoo.fr/VOLUME013/899gfl/cmzyyu8996/image/h7vi_5672768.jpg

     

    Mais bon, je préfère Yoko Tsuno...

     

     

    Sinon, je suis toujours à la recherche d'autres bédés parlant de vol à voile.

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