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Pierre

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Messages posté(e)s par Pierre

  1. Tous ces petits dispositifs sonores, pris individuellement sont très bien. Le problème est que lorsqu'on multiplie tous ces dispositifs, on a tendance à se perdre pour identifier rapidement et à l'oreille quelle alarme sonore fonctionne.

    Je m'explique : je vole beaucoup sur TBM700, avion sur lequel il y a plusieurs alarmes sonores (décrochage, survitesse, train non sorti,...). C'est clair, dès qu'une alarme sonore se déclenche, on l'entend bien, mais la plupart de mes élèves mettent souvent plusieurs secondes avant d'identifier de manière claire et nette quelle alarme s'est déclenchée (son grave/aigu, continu/discontinu,..). Au contraire, un tableau d'alarme lumineux centralisé avec un voyant différent pour chaque alarme donne des informations plus claires et rapides.

    En résumé, je pense que la multiplication des alarmes sonores sur un planeur (vario, décrochage, flarm,...puis pourquoi ne pas rajouter Temp. sur un motoplaneur, train non sorti, etc?) ne soit pas la meilleure solution d'un point de vue ergonomique, surtout pour des pilotes qui volent peu ou qui changent souvent de machine.

  2. Petits extraits d'un article de Guillaume Chastagnol sur le snowkite en Norvège, paru dans le n°27 de Kiteboarder:

    "La Norvège, c'est l'endroit où votre cerveau reste en ébullition constante tellement le terrain est vaste et diversifié. Le vent est le plus linéaire que je connaisse. Corniches, vallons, barres rocheuses, immenses étendues à n'en plus voir la fin.[...] Nous sommes restés sur le plateau de Geilo au milieu de nulle part, attendant la moindre brise pour s'envoyer en l'air. Le premier jour, j'ai repéré une énorme barre, d'environ cent mètres de haut, mais le vent était de travers et légèrement descendant.[... mère nature a décidé d'envoyer un petit zouf de face sur cette barre...Pile poil en fait, et me voilà à cent mètres au dessus de la route, pour un vol d'environ une minute trente, bref du n'importe quoi!. Benny B et moi nous sommes entraînés à profusion à ces vols de pentes, volant l'un à côté de l'autre pendant de longues secondes"

     

    Rappelons que le snowkite est une variante du kitesurf qui se pratique avec des skis ou un snowboard au lieu d'une planche de surf. Mais le principe est le même, on est tracté par un cerf-volant. Rien à voir avec le parapente...

    :pinch: :rolleyes:

  3. Mais même ces bonnes nouvelles ne changeront rien au fait que le vol à voile a cessé d'être la filière de formation obligée, tant pour les pilotes professionnels civils que militaires... :sorcerer:

    Désolé de te contredire, mais sache que tous les jeunes futurs pilotes de l'Ecole de l'air font du planeur en première et deuxième année. Et ce n'est pas un loisir mais une activité obligatoire!

    En fait, on s'est rendu compte que pour des raisons à la fois financières mais aussi de qualité de formation, débuter une carrière aéronautique par le vol à voile présentait de nombreux intérêts.

  4. Oui, mais après les avoir passées en machine, il faut peur-être remettre de l'imperméabilisant; produit qu'on peut trouver en bombe spray.

    Attention aux filets d'intrados qui se déchirent assez facilement.

    De plus, si ces housses jaunissent, c'est bien la preuve qu'elles protègent aussi les ailes des UV.

  5. Prochain objectif: aller et retour de 1.250 km. Et départ de Vinon qui me semble être un des meilleurs que je connaisse. Sauf essayer le Pic St Loup

    Faut voir ça avec GG, le grand spécialiste de l'onde au Pic.

    Cependant, les meilleures journées d'onde ont habituellement lieu en hiver, c'est à dire à une période où la journée aéronautique est la plus courte...

  6. Mais que se passe-t-il en monofréquence?

    - personne ne parle => ambiance?

    - certains préfèrent même couper leur radio => sécurité?

    - il devient impossible d'écouter des ATIS (pourquoi pas?) ou de contacter des aérodromes voisins pour obtenir des infos météo.

    - on ne peut pas passer sur la fréquence d'un autre aérodrome ou vélisurface quand on passe dans leur secteur

    - certes, on peut toujours "déplomber" et changer de fréquence si nécessaire (poser sur un autre terrain par exemple), mais il faudra se justifier.

     

    Alors, OK, la monofréquence permet d'éviter que certains travaillent à plusieurs. Mais pourquoi pas? Nos champions qui vont ensuite aller en championnat d'Europe ou du monde ne travailleront pas en monofréquence mais en équipe; autant qu'ils s'entraînent aussi en France. Pour les autres "touristes" (comme moi) qui participent à ces championnats dans le seul but de faire de beaux vols et de se faire plaisir, être en contact radio avec les copains est un plus. Les seuls qui ont un véritable intérêt à la monofréquence sont ceux qui ont l'habitude de travailler seuls et qui visent véritablement un podium. Mais sont-ils une majorité?

  7. J'ai également un Garmin3 pilot et un HP ZD8147 : pour relier mon GPS à l'ordi, j'utilise le cable Garmin-série puis un adaptateur série-USB2 (pas de port série sur les nouveaux portables HP), et SeeYou 3. aucun problème, tout marche bien.

    Ca marche également avec Coutraci.

    Ton problème vient peut-être du port COM : as-tu bien chargé le programme normalement avec l'adaptateur port série? ( juste mettre la carte PCMICA ne suffit peut-être pas). Dans mon cas, il a absolument fallu que je charge un petit programme pour que le cable adaptateur USB2-série fonctionne.

  8. S'il vous plaît, messieurs les webmasters de sites consacrés aux concours, essayez de poursuivre votre activité jusqu'à ce que les concours soient véritablement finis.

    Je trouve en effet fort dommage et regrettable de ne pouvoir suivre un concours que jusqu'à l'avant dernière épreuve. Après, il semble que tout s'accélère, qu'il faille faire les valises et s'en aller. On obtient tout juste les résultats définitifs (et encore, cf INA 2005) mais jamais les photos des derniers jours, en particulier les podiums.

    Alors, s'il vous plaît, un petit effort pour avoir un compte-rendu complet des concours.

  9. A ne pas imiter!

    Il y a quelques années à Apt, un vélivole de la SAVV s'est présenté à l'arrondi train rentré. Soit il s'est rendu compte de son oubli, soit il a été averti par radio, en tous cas, après l'arrondi, il a tiré sur le manche pensant pouvoir monter d'un ou deux mètres, suffisamment pour sortir le train. Résultat, il a décroché à un ou deux mètres sol, avec un train à moitié sorti. Conséquence : une machine bien plus abîmée que s'il s'était gentiment posé train rentré.

  10. C'est aussi une question de goût, comme pour les voitures, y'en a qui préfèreront toujours une boite manuelle à une boite automatique afin d'avoir toujours les deux mains occupées.

     

    Plus sérieusement, un autre avantage des volets, c'est que ça permet de se poser plus facilement dans des petits champs ou de faire des approches plus délicates en cas de vache.

  11. Et vous, à quand remonte votre dernier exercice de vrille en double commande ?

    C'est peut-être le moment de faire un petit vol avec un instructeur pour voir si on a toujours les bons réflexes, et surtout si on n'a pas pris de mauvaises habitudes à force de toujours voler en solo.

  12. Vous êtes peut-être mûrs pour le modèle américain.

     

    En laissant les VI aux exploitants commerciaux, les clubs devront revoir certaines de leurs pratiques, ce qui n'est pas nécessairement inquiétant, bien au contraire.

    Justement si, je trouve cela inquiétant!

    Où est l'esprit club dans ce modèle américain?

    Qu'une entreprise veuille se lancer dans des baptèmes payants, libre à elle, mais qu'elle le fasse seule. alors, à mon avis, les tarifs de tels vols seront largement supérieurs à ceux "subventionnés" par nos clubs : si on veut faire du tout professionnel, alors il faut inclure le prix du pilote, du remorqueur, du mécanicien, du matériel, etc...

    une petite idée de ce que cela peut donner :Fun and sky - Stemme

    Mais que des "petits malins" réussissent à se faire du blé sur le dos d'associations et de bénévoles, je trouve cela triste et dommage.

  13. Pour pousser la réflexion un peu plus loin, il convient de bien voir la différence qu'il y a entre un "vol d'initiation" et un "baptème".

    Dans nos clubs, si je ne m'abuse, nous faisons tous des VI (et pas des baptèmes). Aux yeux de la loi, il ne s'agit pas d'une activité lucrative soumise à la TVA, mais bien un moyen de faire découvrir notre sport à tous et éventuellement d'attirer de nouveaux licenciés. Bien sûr, ces Vi ne sont pas faits à perte et peuvent même rapporter quelques bénéfices au club, mais notre intérêt n'est pas de pratiquer des tarifs prohibitifs.

    Le "baptème" s'apparente lui à une activité commerciale. Baptème d'hélicoptère, baptème de plongée sous-marine, saut à l'élastique, que sais-je,...sont autant d'activités proposées par des professionnels afin d'en tirer des revenus.

    Alors, je trouve regrettable que des "petits malins" arrivent à se faire du fric sur le dos d'associations. C'est mon avis, et il ne vaut certainement pas grand chose. Mais qu'en pensera un inspecteur du fisc quand il se penchera sur le problème?

    Vous souvenez-vous du jour où certains clubs ont été controlés et des conséquences qui s'en suivirent? Aujourd'hui, plus personne ne parle de "baptème" dans les clubs. Ce n'est pas innocent si l'on emploie le terme de vol d'initiation.

    Je trouve donc dommage de cautionner de telles activités. cela ne va ni dans l'intérêt des gens qui pourraient payer un VI beaucoup moins cher en étant mieux informés, et dans notre intérêt propre qui est de garder l'esprit des associations loi de 1901 à but non lucratif.

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