Je voudrais m'adresser à TPJPACT et lui demander qui apparaît officiellement, dans ses documents belges d'immatriculation, comme propriétaire ? L'ancien propriétaire belge a-t-il peut-être accepté de continuer à paraître comme co-propriétaire à moins que le Club belge auquel tu t'es affilié ait accepté de le faire? Je suis Belge et je vole à Vinon (je crois que nous nous connaissons), et je viens de me renseigner auprès du ministère belge des communications pour un de mes amis de Vinon qui envisage l'achat d'un planeur belge : l'immatriculation belge n'est possible que si le propriétaire (ou un co-propriétaire au moins) réside en Belgique. Comment as-tu résolu ce point ? Pour le renouvellement (tous les 2 ans) des CN, je suis bien d'accord avec toi, il suffit de faire faire la visite en France par un atelier ou un contrôleur agréé (par la France) et d'envoyer le rapport au Club belge auquel tu t'es affilié;chaque Club possède généralement un membre agréé comme contrôleur technique; celui-ci doit parapher, pour acceptation, le rapport de visite français et le présenter à la fédération. Le contrôle, en France peut se faire selon la procédure habituelle du contrôleur français (schéma de visite) ou, au choix, selon le schéma belge qui est plus simple. Cette procédure se passe en toute transparence, les deux documents étant annexés à la demande de renouvellement du CN, le rapport de visite français et l'avis du contrôleur belge sur contôle documentaire. Le formulaire de demande de renouvellement du CN doit être demandé au responsable de la fédération (M. Claude Vincent) et les seuls frais administratifs sont de 15€ à verser à la féderation (voir modalités et adresses sur le site www.fcfvv.be). Tout cela est simple, pragmatique et rapide. Par contre, il ya (comme toujours) un sérieux problème qui a été évoqué dans cette rubrique du forum : la Belgique impose une taxe de "mise en circulation" lors de l'immatriculation. Pour mon nouveau Discus2, je viens de payer environ 2.500€. Il s'agit d'une taxe dégressive avec l'ancienneté du planeur. Elle diminue de 10% par année d'ancienneté. C'est pourquoi certains pilotes belges de planeurs neufs maintiennent une immatriculation allemande pour ne demander l'immatriculation belge qu'après 6 ou 7 ans, lorsque cette taxe est devenue plus raisonnable. Petite consolation, la demande de versement de la taxe n'arrive qu'avec un retard de un à deux ans sur l'immatriculation , ce qui permet d'étaler l'effort financier après l'achat du planeur. Pour ma part, j'ai estimé que la simplicité de la procédure belge (tous les 2 ans au lieu de chaque année, pas de frais "Véritas", . . . .) valait bien d'accepter cette grosse dépense récupérable par la suite. Amitiés vélivoles. simon.jean@skynet.be