ikewitz

Bonsoir, exact, il y avait bien un LS10 belge de St Hubert à Bailleau 2014. Le pilote était Etienne D'URSEL : http://rankingdata.fai.org/SGP_CompPage.php?compid=2258 Velivolement Georges-Henri

+1

oui 15m autorisé mais seulement pour les juniors...

Bjr depuis plusieurs années Lille-Planeur utilise un outil en ligne développé spécialement par un membre du club avec le planning de l'activité semaine & WE pour savoir à l'avance qui sera là pour l'instruction, l'école, la campagne, les VI, l'atelier... + divers outils comme la gestion de la progression, la doc sur le matériel, un annuaire des membres, les rapports du bureau... http://planning.lille-planeurs.fr Georges

Bonjour, pour répondre à la question initiale du post, j'ai fait l'acquisition de cet aquamètre (16 euros chez Leroy Merlin) et ça fonctionne bien. L'écran digital est très pratique. Je ballaste via un entonnoir raccordé sur l'orifice de remplissage/purge du LS6. bons vols Georges

LS6 forever :rolleyes:

Beau vol qui me rappelle celui d'Eric Thellier : Cambrai > Biarritz, 813.4 km en ligne droite, 762 km en but fixé en 15m sur LS6b (ET) le 6 juillet 1993 Record de France + Record territorial qui, 19 ans après, tient toujours aujourd'hui (à ma connaissance) ! Perso je rêve d'un Lille > Issoudun (beaucoup moins long mais tout un symbole pour moi... En tout cas ça fait rêver ! :-)

J'ai la chance d'avoir acquis en copropriété un LS6b l'année dernière. Nous cherchions une machine de classe course, performante, facile et abordable. J'ai toujours apprécié les planeurs Schneider : le LS1 f (que j'adore rien que pour mettre la nique aux Pégase :-), le LS4 et le (bijou) LS8 (ER...). Pour moi, le dénominateur commun de ces planeurs est cette formidable homogénéité aux commandes qui donne vraiment l'impression de faire corps avec la machine, la position de pilotage particulière qui permet de longs vols confortables, et puis ce sont des machines assez souples qui montent très très bien. J'ai bien sûr retrouvé toutes ces qualités sur le LS6 avec quelque chose en plus sur le côté gauche : la poignée des gaz ! On spirale à +5 (voir +10), on sors, on passe progressivement en négatif, et il accélère, boum 150/160 il redresse le nez et il est bien jusqu'à 200 : c'est redoutable ! Ballasté, ça devient une machine de guerre. Un comportement sain et un couple AF/landings ultra efficace permettent de se sentir sécu en campagne. Je relève 3 "défauts" : - les freins sur les palonniers : d'une efficacité moyenne, je trouve pas ça très pratique pour le stopper là ou je veux lors des dégagements. - un coeff important (112) pour les compétitions régionales où on ne peut pas ballaster : faudra pas traîner ;-) - pas possibilité de le rallonger en 18 ;-) Lors de mon 6éme vols sur la machine, j'ai tourné un 530 Kms en plaine (first time +500). J'ai fait ce circuit en paire avec un Discus CS ballasté 80 litres alors que j'étais à vide (pas bien je sais) : même finesse en transition, le Discus accélérait + fort mais je montais mieux donc c'était équivalent... L'étape de prise en main est donc très concluante mais je suis encore derrière la machine en terme de perfo pure : une gestion fine des volets demande des heures de vols afin d'en tirer toute la quintessence. Je n'ai pas piloté tous les planeurs du monde mais je pense que le LS6b est une valeur sûr sur de nombreux plans...