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Godzilla

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Messages posté(e)s par Godzilla

  1. Il y a 8 heures, Ludovic Launer a dit :

    Une force: N

     

    Ah oui, tu as raison.

    Je sortais d'une séance méca sur la moto, et j'avais en tête les couples de serrage.

    Qui se lance dans un post récap vérin/planeur ? c'est un sujet récurrent, les constructeurs se servent à côté de chez eux et communiquent rarement.

    Au fait, un vérin de verrière ne s'utilise q'au sol. Est ce un équipement aéro ?

  2. Puisqu'on en parle.

    Sur un Pegase, j'ai remplacé le vérin par 

    https://www.verinagazenligne.fr/produit/verin-a-gaz-10-23-course-200/?attribute_force=1000+Newton

    j'ai dû aussi rajouter les oeillets

    https://www.verinagazenligne.fr/produit/m8-oeillet/

    et en effet, il faut récupérer les entretoises en laiton. Sauf que là, elles étaient mangées.

    Chez les modules réduits, j'ai trouvé 3 tubes en laiton qui s'emboitent parfaitement les uns dans les autres.

    Avec un peu de graisse graphitée, ça a fait des entretoises mobiles.

     

    Ma recommandation pour choisir un vérin :

     Mesurer la distance corps du vérin/oeillet (en gros la tige chromée) verrière ouverte et verrière fermée. ça donne la longueur et le débattement.

    Je pense pas que se soit malin de prendre plus grand: on risque faire buter le support de verrière à un endroit non prévu.

    pour la force, j'ai compris que les premiers Peg/asw20 étaient vers 700N/M.

    Nos tableaux de bord sont plus lourds qu'à cette époque. Ils méritent un peu plus de force. 1000N/M sur un Peg ça marche.

  3. Le gendarme (cf post plus haut) m'a raconté qu'une zone de nidification était dérangée tous les jours, plusieurs fois par jour par des hélicos : la zone était utilisée par l'école helico ALAT de Dax.

    Bien sûr, l'info "Gypaète" n'était pas divulguée.

     

    Dans les Pyrénées, pendant longtemps les Gypaète nichaient systématiquement en dehors du parc national. Je crois que ça enrageait les gardes. Ils sont malins ces oiseaux !

  4. Hello,

     

    L'autre jour, en allant au terrain, je me suis fait arrêter par des Gendarmes un peu particuliers.

    C'était la police de protection de l'environnement. Ils cherchaient des carcasses de gibier dans les véhicules (mon vieux 4/4 est soupçonnable).

    Comme on venait de recevoir cette info sur les ZSM, je leur ai demandé si ils étaient en charge de les faire respecter. Il se trouve que oui...

    On a discuté un long moment.

    1) Ce sont de vrais passionnés de la nature. Mon interlocuteur connaissait le moindre cailloux autour de nous. Il connaissait aussi très bien les oiseaux avec lesquels nous volons.

    2) La définition des zones et des dates des restrictions est sous traitée à la LPO. J'ai laissé mes coordonnées au Gendarme, avec l'espoir qu'il nous organise une réunion avec la LPO. Ce genre d'info a été faite avec les parapentes du coin. Pas de raison qu'on n'y ai pas droit aussi.

    3) Notre échange sur les oiseaux a été intéressant : il était surpris de savoir qu'on pouvait croiser des vautours à +5.000, loin au dessus de la couche: ils n'étaient pas là pour chercher à bouffer, et soit ils étaient en voyage, soit comme nous: pour le fun. Aussi, il n'avaient manifestement jamais eu de retour sur le comportement du Gypaète quand on le croise en plein ciel. L'oiseau est souvent seul, il ne fuit pas, mais il ne reste avec nous que 2 ou 3 tours et ne s'approche pas comme le fait le vautour.

    Par contre, il m'a expliqué  le mode de nidification des Gypaètes. Vers la fin Novembre, les oiseaux sélectionnent 5 ou  6 zones et commencent à y faire un nid. La zone de protection fait à peu prés 1 km autour de chaque nid. Cette phase dure 2 ou 3 semaines pendant lesquelles ces zones doivent rester aussi tranquilles que possible. Ensuite, le couple sélectionne un nid unique et va l'occuper. Les zones précédemment marquées sont libérées.

    Le Nid doit rester tranquille, mais j'ai compris que l'exclusion n'a pas besoin d'être totale (en tout cas pour nous).

    Il y a ensuite une période de 2 semaines, en Juillet, où les poussins vont décoller pour la première fois. Si pendant cette période le poussin est effrayé, il va se  lancer sans avoir été lâché. Le résultat est généralement funeste.

    ça nous donne le  planning suivant :

    - fin Novembre, pour 2 ou 3 semaines, toutes les zones où l'oiseau a fait des nids

    - de mi-Décembre à Mi Juillet : éviter d'avoir tous les planeurs du club qui font de la pente sur la falaise où le couple a fait son nid

    - 15 jours Mi-Juillet : sanctuariser le nid.

    4) Si le Gendarme connaissait bien les cailloux dans sa vallée et les vallées voisines, il a été très surpris d'apprendre que les planeurs pouvaient traverser les Pyrénées de part en part, dans le sens de la longueur (c'est mon sport favori). Il ignorait aussi qu'on disposait de moyens de navigation bien foutus qui nous permettent de visualiser facilement les zones à éviter. Ils ont la culture parapente (qui semble être leur cible privilégiée), mais pas planeur.

    A mon avis, il y a un travail à faire avec la LPO pour obtenir une granularité fine des vrais besoins des oiseaux. Inutile d'interdire des zones immenses sur des durées énormes: ça n' a pas de sens pour le Gypaète. Par contre, une information rapidement déployée et correctement respectée par les vélivoles serait nécessaire.

    On aurait à gagner à montrer notre maturité sur ce point.

    Et on pourrait créer un précédent avec la gestion habituelle, à la serpe, des zones réglementées, interdite, à faible émission...

  5. Il y a 17 heures, Bob a dit :

    Pour répondre déjà à Godzilla : https://www.flyrotax.com/fr/products/915-is-a-isc-a

    Je ne vois pas le bénéfice à utiliser en remorquage régulier un moteur dont l'intérêt principal est de monter haut ! Paramètres de décollage et de montée rigoureux (gestion de la puissance), descente rapide à éviter, moteur forcément plus fragile qu'un atmosphérique, prix beaucoup plus élevé...

    Pour un ELA, il faudra aussi que les pilotes aient la variante turbo sur leur PPL.

    Justement, on monte haut ! 2500 parfois, le 100 cv atmo devint très marginal à ces hauteurs. Et si tu rajoutes une piste molle et assez incertaine, tu comprends pourquoi la recherche de la puissance max est importante.

    Cet Eurofox est intéressant. Reste à voir la fiabilité du bazar

  6. Alors,

    J'ai fait l'expérience de la canule pas d'origine : l'impulsion d'air arrive au mauvais moment : tu commences à inspirer, et l'oxy arrive alors que tu es en train d'expirer.

    Pas d'alarmes. Mais c'est désagréable. On s'en rend compte tout de suite, même si on démarre l'oxy assez tôt. Je suppose que l'hypoxie doit être réelle bien que je n'ai rien ressenti: l'apport en oxy ne doit pas être nul, même dans ces conditions, et les Cu ne dépassaient pas 4700. Mais je n'irais pas au 195 dans ces conditions.

    La canule d'origine ne coute vraiment pas cher, autant en faire un petit stock ...

     

  7. Paul,

     

    Tu nous diras comment tu as posé cette bande . J'en avais commandé et je n'ai jamais été capable de la coller proprement J'ai essayé de l'utiliser en étanchéité d'aileron.

    Sur une faible longueur ça va bien, mais ça aprés ça se tortille rapidement, ça fait des bulles.  J'y suis pas arrivé.

  8. Hello,

     

    Si j'ai bien compris, l'équivalent de la réglementation ULM en Allemagne ne spécifie pas de limite de puissance. Elle est vraisemblablement plus contraignante que la notre, mais elle offrirait ce genre de perspective.

     

    J'ai compris qu'il y avait un engouement outre Rhin

     

    Il y a un turbo sur un 915iS ? Clairement, c'est une belle solution. Meme en ELA1.

    Dommage que les remorqueurs ULM ne puissent pas disposer de la même dérog que les autogyres ULM qui utilisent fièrement de 914.

     

    Sinon, il y a ça. Mais je crois pas qu'il ait déjà remorqué ...

    https://aura-aero.com/integral/

  9. Ce qui compte c'est de publier le vol le plus tôt possible. Avec son téléphone ça peut être fait avant même de descendre du planeur.

     

    Après, motorisé ou pas, faut pas s'affoler.

    Cette saison, j'ai fait une vache avec un planeur motorisé et ma plus belle perf est en Pegase.

  10. "La RJ12 du flarm travaille avec un débit faible (4800 bauds) et le

    S80 ne donnera pas toutes ses possibilités"

     

     

    Certaines trames ("PFLAA – Data on other proximate aircraft" , "PFLAO – Alert Zone information" ...) ne sont émises par le Flarm que si le débit est supérieur à 19,200. Reste à savoir si le LX les utilise.

    Xcsoar utilise PFLAA.

     

    Il vaut mieux privilégier les débits sup à 19.200

  11. On peut parler de saturation ...

    Entre les règles Covid, la prise en compte des nouvelles licences, Gesasso, les nouveaux programmes de formation, les nouvelles règles d'utilisation des planeurs ...(j'en oublie ...)

    Sans déconner, qui peut affirmer être strictement dans les clous ?

    Faut s'adapter ,faire au mieux et continuer à exister en sécurité malgré toutes ces nouvelles règles biscornues, qu'on finira bien par assimiler et appliquer correctement, un jour.

    En attendant, il reste le bon sens.

    Heureusement.

  12. Tout est question de mesure.

    On a de très bonnes conditions en ce moment, et nous sortons tous d'un long tunnel sans voler.

    En plus des restrictions floues, nous avons aussi à respecter un couvre feu qui nous impose d'être à la maison de bonne heure.

     

    Rester strictement en local aéro n'est pas du tout un rempart contre une sale vache subie parce qu'on n'a pas été chercher la pompe salvatrice au km 31. Ou même un mauvais atterro sur la piste, Et hélas, c'est du vécu .

     

    S'organiser des vols sur la campagne en respectant le couvre feu impose de tailler des circuits pas trop grands à tourner rapidement. Laissons aux pilotes le choix de leur activité en respectant ces contraintes et en fonction de leur niveau. Nous sommes assez grands pour ne pas tenter le circuit de prestige du genre

    3145497148_1_2_erviyXOq.jpg

    (cf référence culturelle au dessus). L'encadrement des clubs peut aider à comprendre et respecter ces règles.

     

    Et un FE qui tape 500 ou 600 km avec un beau planeur avec les MTO qu'on a en ce moment rentre dans ce cadre , n'en déplaise aux dogmatiques. Ou alors c'est qu'il a gagné sa qualif dans une pochette surprise.

     

    C'est autant de gagné en entrainement et en sécurité des vols, pour la suite de la saison.

  13. moi, j'aime pas les ayatollahs

    J'ai volé aujourdh'ui. Conditions de dingue, qu'on ne voit que quand on peut pas voler.

    Contrôleurs hyper dispos, parfaits pour mettre tout le monde en confiance. Ce serait absurde de pas en profiter à fond.

    Vous verrez pas mon vol sur la netcoupe. Mais je vous ai tous pourris ! (comme d'habitude)

  14. Hello,

     

    J'ai volé sur les 2 deux, il y a longtemps.

    Les AF de l'Espadon étaient plus classiques et très efficaces. D'ailleurs, AF+train fixe faisaient qu'on était lâchés sur Espadon avant le Squale.

    Ceux du Squale m'avaient permis une descente parachutée, suivie d'un touché "viril" qui m'avait valu une volée de bois vert. Je ne me souviens pas d'un autre planeur qui m'aurait permis de faire ça.

     

    En vol, le Squale volait plus lentement et permettait de gratter tout ce qui volait autour. La rentrée du train se passait mieux en cherchant un facteur de charge un peu négatif. Il sortait très bien.

     

    Sinon, les images reflètent mal la sensation à bord : les chevilles, les genoux et les oreilles sur le même plan. Pas inconfortable, mais inhabituel.

    Je ne me suis jamais attaché à ces planeurs, et je ne les ai pas regrettés quand ils sont partis.

     

    Ceci étant dit, l'Espadon avait tourné un presque 500 avec un pilote qui venait de débarquer au club. Donc ça volait quand même pas si mal.

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