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André

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Messages posté(e)s par André

  1. Petit quiz pour tous

     

    sur la photo (cliquer dessus pour agrandir)

    http://img167.imageshack.us/img167/5997/onde20040271956x1025ig0.th.jpg

    qui peut deviner dans quelle région cette photo a été prise ?? et question subsidiaire de quel lieu ?

    j'attend les réponses ....

     

    Moi je voterais pour une photo prise dans les Alpes du Sud.

    Plus précisément : le photographe est situé sur la face Sud de la crête des Mées, et vise vers le Nord-Ouest, en direction de la montagne de Lure.

    Vous n'entendez pas les cigales ?

     

    :):mdr::P

  2. ... un mécanisme régulateur du climat dans l'océan atlantique lié aux courants marins:

    - la fonte des glaces dû au réchauffement entrainerait à la longue, par suite de la dilution de l'eau de la mer, un ralentissement du courant marin chaud qui lèche l'Europe.

    - la diminution des calories échangées près de nos cotes, consécutive à ce ralentissement, conduirait en réaction à un refroidissement du climat... La nature semble bien faite!

     

    Il serait intéressant de connaître la période de ce mouvement, mais là il faut encore attendre un peu ou vivre vieux...

     

    Il me semble me souvenir que dans le film, on voit Al Gore décrivant le mécanisme de glaciation (dans l'hémisphère Nord) comme une conséquence du ralentissement ou de l'arrêt du Gulf Stream.

     

    On peut imaginer le scénario suivant, suggéré par Al Gore :

     

    Réchauffement global ->

    -> fonte partielle des glaces du pole Nord et du Groenland

    -> l'eau qui a fondu refroidit le courant "chaud" qui passe à proximité

    -> le Gulf Stream est modifié (diminué, stoppé ?...); l'équilibre actuel est rompu

    -> peut-être glaciation au Nord, chaleur torride au Sud, ou d'autres conséquences plus complexes à prévoir.

    Tout cela alors que la température moyenne du globe augmente. Cela veut dire que des régions (continents?) entières du globe, qui sont actuellement habitées, deviendraient inhabitables.

     

    Ce n'est pas un mécanisme "régulateur", et ça risque de rendre instable le comportement climatique de la terre.

     

    Je pense que la nature est effectivement bien faite, mais surement pas assez pour qu'on puisse lui faire subir n'importe quoi. En tout cas comme tout système, la nature réagit lorsqu'on modifie ses paramètres d'entrée.

     

    Pourvu que l'humanité en prenne conscience à temps.

  3. ...Sauf à retenir le nucléaire, non polluant, sauf qqfois, et renouvelable quasiment à l'infini, les autres ...

     

    non polluant sauf qqfois ?

    Et comment appelles-tu les déchets à durée de vie longue comme une ère géologique, dont personne ne sait quoi faire, et hyper dangereux, si ce ne sont pas des polluants ?

     

    renouvelable quasiment à l'infini ?

    Erreur, l'uranium, comme les combustibles fossiles, n'est pas renouvelable (du moins à une échelle de temps comparable à la notre). Il est disponible en quantité finie sur notre terre.

     

    Le seul avantage que je vois au nucléaire, c'est son aspect inoffensif au niveau de l'effet de serre.

    Mais je comprend qu'on puisse avoir un autre avis. Encore faudrait-il assumer les choix réalisés, en ne faisant pas supporter à la collectivité le coût des futurs démantèlement de centrales, et surtout en ne lançant pas des programmes dont on ne connait pas encore la façon de sortir.

     

    Penser "nos successeurs trouveront bien une solution" me paraît irresponsable, irrespectueux, voire méprisant pour les générations à venir.

  4. "L'avion émet 16 fois plus de CO2 que le train"

     

     

    ... Qui dit que ces accès de fièvre sous marins ne sont pas cycliques (de période 500 - 1.000 - 5.000 - 10.000 ans?) et que l'on viendrait d'entrer depuis 100 ans dans uns phase ascendante du cycle? Pourquoi n'en parle-t-on pas? On est loin de l'effet de serre et de la couche d'ozone... dont l'effet certes s'ajouterait, mais pour combien?

     

    J'aimerais bien lire d'autres opinions sur ce sujet et si possible les résultats d'une étude, fondée sur des recoupements expérimentaux fiables, qui quantifierait les conséquences réelles de l'effet de serre tant mis à l'index?

     

     

     

    Eh bien, je te suggère d'aller voir le film "une vérité qui dérange", où Al Gore démontre (études scientifiques à l'appui) que effectivement, des phénomènes cycliques de variation de température globale ont existé par le passé (plusieurs millions d'années sons considérées).

     

    Mais il démontre aussi que l'augmentation de température actuelle, qui a démarré il y a quelques dizaines d'années, dépasse déjà largement en ampleur toutes les augmentations passées (connues grâce à des spécialistes, glaciologues ..), et continue en s'accélérant. Les prévisions pour les années à venir vont toutes (les plus optimistes comme les plus pessimistes) dans le même sens : on se dirige vers un phénomène de très grande ampleur.

     

    Il est probablement trop tard pour renverser la situation, parce que le système possède une inertie importante. Ce n'est pas une raison pour ne rien faire, on peut encore limiter les dégats, par des moyens connus, clairement identifiés : réduire nos consommations d'énergie fossile, réduire nos besoins en énergie, ET substituer le plus possible le restant des consommations fossiles par des énergies de cycle court (renouvelables).

     

    Il faudra adopter des comportements plus rationnels, éduquer, communiquer, informer sur le sujet pour faire comprendre et accepter les évolutions nécessaires ... C'est une tâche à laquelle beaucoup de personnes sont attelées, qui prendra du temps, alors qu'il y a urgence.

     

    Enfin pour revenir à nos préoccupations vélivoles, nous avons la chance d'avoir un loisir qui repose essentiellement sur l'utilisation d'énergie renouvelable. Les ascendances, thermique, dynamique, onde, confluences, ... ont toutes pour origine l'énergie solaire qui nous parvient, et nous ne faisons que l'utiliser au passage. Donc je dirais que le vol à voile, comparé à d'autres activités de loisirs, est plutôt bien placé pour affronter une éventuelle chasse aux activités polluantes lors de leur pratique. Il reste cependant à améliorer certains points : nos modes de lancement doivent évoluer, et la fabrication et la maintenance de nos machines pourraient intégrer certaines contraintes environnementales.

     

    De toutes façons, on va obligatoirement évoluer vers une réduction de nos consommations d'énergie fossile. Le problème est de savoir de quelle façon :

    1) sous la contrainte à cause de la pénurie, la fin des réserves, et l'augmentation des coûts d'extraction, sur fond de guerre de l'énergie, où les (pays les) plus puissants (suivez mon regard) chercheront par tous les moyens à se réserver les dernières gouttes.

    2) avec des dirigeants gestionnaires, réactifs, qui savent anticiper et prévoir, et mettre en place les mesures d'accompagnement nécessaires pour que le changement se fasse sans douleur, et des citoyens éduqués et responsables, conscients des conséquences de leur comportement.

     

    Dans notre système actuel, des personnes, à différents niveaux (personnel, associatif, politique,...) agissent pour que la deuxième solution l'emporte, pendant que nos égoïsmes et autres politiques de l'autruche font tendre vers la première.

     

    Faites votre choix !

  5. Bonjour,

     

    Moi, ça ne me dérange pas; nos besoins en énergie sont croissants (malheureusement pour cette planète aux dimensions et aux ressources limitées), et il faut bien valoriser le potentiel en énergies renouvelables là où c'est le plus intéressant.

     

    La gêne pour les vélivoles est limitée, une éolienne se voit beaucoup plus qu'un câble. Et puis, n'oublions pas l'aspect positif : de loin, on voit si la pente est ventée B) .

  6. Non.

    Ca n'est pas exagere du tout : Meme si les-dits scientifiques ne sont pas forcement d'accords sur les modeles MTO, ni sur les consequences a moyen terme pour tel ou tel phenomene ou region (avenir du gulf stream, par exemple) ils sont malgres tout unanimes sur deux points :

    - Oui, rechauffement climatique il y a, et oui il va en s'accelerant

    - Oui, c'est bien l'activite humaine qui en est la cause directe

    Et j'ajouterai que cette unanimite scientifique date des annees 1970 ! Eh oui, ca fait 30 ans que nous nous faisons enfumer par une propagande lobbyiste venue des USA qui a parfaitement reussi son coup mediatique : faire croire a l'opinion publique que la communaute scientifique etait divisee sur ce sujet en general, et sur les 2 points precedents en particulier.

    Une variante de la bouffonerie du nuage de Tchernobyle respectueux de nos valeureux douaniers en beacoup plus subtil et efficace...

     

    Entièrement d'accord avec toi, Dark.

     

    De plus, les scientifiques sont aussi d'accord pour dire que le phénomène de réchauffement actuel est à la fois plus rapide et d'une ampleur beaucoup plus grande que tous les réchauffements survenus avec des causes naturelles par le passé.

     

    On peut s'interroger sur les conséquences pour le vol à voile. Les zones et saisons aérologiquement favorables vont probablement évoluer, mais comment ?

     

    Bons vols à ceux qui peuvent encore

  7. Je suis un peu surpris par ce "haro" sur les moteurs diesels, alors même que ce sont ceux, parmi les moteurs à combustion, qui polluent le moins... :lol:

    Ce n'est pas tant la combustion qui renforce l'effet se serre, que la libération du CO2 fossile. Il suffirait que les moteurs brûlent de l'huile de colza, par exemple, pour que la pollution au CO2 soit stoppée. Les carburants d'origine végétale contiennent en effet du CO2 capté par les plantes dans l'atmosphère.

    Et ça, on pourrait le faire très vite. Sauf que l'influence des lobbies pétroliers empêche ce changement.

    Est-ce que le lobby agricole sera assez puissant en France ?

     

    Bien sûr, il y a une encore meilleure solution : les piles à combustible qui brûlent de l'hydrogène et produisent du H2O. Mais il faudra 10 ou 15 ans, avant qu'ils soient commercialisés massivement et encore 15, avant qu'ils puissent remplacer tous les moteurs à hydrocarbures. :angry:

     

    Alors, en attendant, vive l'huile de colza et bio-éthanol ! :rolleyes:

     

    Bien d'accord avec toi, Yurek !

     

    Un moteur diesel dégage moins de CO2 parce qu'il consomme moins. Si en plus on le fait tourner à l'huile végétale, le cycle court (une à quelques années, contre quelques millions d'années avec les énergies fossiles) fait que le CO2 dégagé est aussitôt fixé par les plantes qui poussent.

     

    J'ajouterais même, pour les détracteurs qui diront "il n'y aura jamais assez de surfaces cultivables pour produire toute l'énergie nécessaire sous forme de bio-carburant" :

    Oui, ce sera insuffisant pour remplacer toute notre consommation actuelle; nous (ou nos enfants) serons obligés, en plus, de réduire nos besoins en énergie !

     

    Lobby ou pas, quand la priorité se fera sentir, le changement sera inéluctable. Ne nous voilons pas la face.

     

    Enfin, pour rassurer les vélivoles, notre loisir préféré devrait être reconnu à sa juste valeur puisque, à part lors de la phase du lancement initial, ainsi que lors des dépannages, nous tournons grâce à l'énergie solaire, 100% renouvelable et non polluante !

    En plus, pour le lancement, on peut utilise un treuil qui tourne à l'huile végétale, ou bien un treuil électrique alimenté par un groupe électrogène à huile, ou (indirectement) par des photopiles ...

  8. ...

    Toute la journée et avec un vent de 15 km/h, les biplaces atteignaient 400 mètres en moyenne y compris l'ASH 25.

    En soirée seulement et après s'être familiarisés avec ce nouveau moyen de lancement tout le week-end, Markus le treuillard nous proposa avec son accent allemand de découvrir ce qu'était le "turbo" ...

    Toujours 1050 mètres de câble, pas un pet de vent du tout et c'est parti; gros coup de pied au cul et première treuillée à 470 mètres pour l'ASH 25 et 460 pour le Duo et les K 21, ce fut une révélation.

    ...

    Contrairement à ce qu'on pourrait croire, le poids du planeur n'intervient pas dans la hauteur atteinte en treuillée, pourvu bien sûr que le treuil ait la puissance nécessaire, il en faut bien évidemment davantage pour un planeur plus lourd., les bons résultats de l'ASH 25 ne sont donc pas du tout paradoxaux.

    Peux-tu nous préciser en quoi consiste ce "turbo" ?

     

     

     

    Je dirais même plus, si le treuil est assez puissant, et si le treuilleur et le pilote du planeur ont le comportement optimal, c'est uniquement la performance du planeur qui fait la différence; il parait alors normal qu'un ASH25 monte plus haud qu'un ASK21.

     

     

     

    BV

  9. lorsqu'un pilot effectue son vol en concours comment puis-je verrifier qu'il est comme prévu

    Tu prends les résultats officiels de la compétition (journal des resultats ou site web) et tu vérifies que le pilote est bien rentré sur sa "course sur circuit (Racing Task = AST)" et qu'il est bien scoré avec la distance officielle de l'épreuve.

    Attention, les AAT sont systématiquement scoré en circuit libre sur la Netcoupe .

    .................

    Bon courage

    Regis

     

     

    C'est pas pour faire de la délation... je pense qu'il y a juste une erreur de la part de certains, mais quelques vols "comme prévu" devraient être déclarés "libre" lors de la :Drencontre K13 :rolleyes: 2006 de St Crépin.

     

     

     

    :rolleyes: ;)B)

  10. entendu à St Auban de la bouche d'un instructeur
    depuis que j'ai entendu de la bouche d'un instructeur de St-Auban qu'il fallait garder les yeux horizontaux dans les virage, je me méfie B)

     

     

    On doit parler du même, il me l'a raconté aussi ... B)

     

    Il parait que ça éviterait le mal de l'air, les problèmes gastriques ;) ... de ceux qui en ont :rolleyes:

     

     

    Pour en revenir au sujet, Denis, si tu tires une ressource au coeur de la pompe, je suis bien d'accord que tu gagnes un max d'énergie. Mais tu te retrouves alors à vitesse plutôt faible, non ? Ensuite tu peux effectivement accélérer dans la dégueulante (avec facteur de charge faible) :D

     

     

    Merci Helmut :rolleyes:

  11. Bonjour,

     

    C'est un sujet qui m'a toujours intéressé, et sur lequel tout le monde n'est pas d'accord.

     

    En effet j'ai entendu à St Auban de la bouche d'un instructeur qu'il était préférable de prendre de la vitesse dans l'ascendance avant de la quitter, soit disant pour "gagner davantage d'énergie".

    Or pour prendre de la vitesse, il faut diminuer le facteur de charge vertical.

     

    D'après Reichmann, il faudrait plutôt garder un facteur de charge élevé, ou du moins proche de 1 tant qu'on reste dans l'ascendance , et ensuite "profiter" de la descendance traversée pour appliquer un facteur de charge plus faible, et par la même occasion acquérir la vitesse souhaitée.

     

    Perso, j'essaye d'appliquer la méthode que je comprends (celle de Reichmann), et ça marche plutôt bien.

     

    BV

  12. Ah bon ? moi je n'en ai presqu'aucune, de notion d'automatisme, et aucune ne m'a traversé l'esprit quand j'ai écrit ça. Bon d'accord, on rencontre des oscillations en automatisme, mais ce n'est pas le seul domaine et je ne vois pas pourquoi la clarté de la démonstration serait meilleure pour ceux qui ont des notions dans ce domaine plutôt qu'un autre,

    ...

    Certes, le "quasi-instantané", comme le "quasi-statique" sont des modèles, des idéalisations que la réalité approche plus ou moins sans jamais l'atteindre,

     

    Tout-à-fait d'accord, l'automatique est une science parmi beaucoup d'autres qui nécessite de maîtriser les notions évoquées ici.

     

    Sans vouloir te contredire, Robert, car je trouve vraiment que tu apportes des éléments intéressants, je souhaite donner mon avis sur la modélisation :

     

    La personne qui modélise part de la réalité, de ce qui existe, et essaye de fournir le meilleur "modèle", c'est-à-dire la meilleure représentation de cette réalité. Si le comportement du modèle n'est pas conforme à la réalité, c'est le modèle qu'il faut modifier et faire évoluer, jusqu'à ce qu'il donne satisfaction. Une fois ce modèle "calé", on peut alors l'utiliser pour prédire différents comportements, en restant dans le domaine de validité du modèle.

     

    Prenons un cas concret :

    si le modèle annonce par exemple une rupture de l'aile pour un facteur de charge de 10g,

    et que la rupture intervient sous facteur de charge de 8g, c'est le modèle qui est faux, parce qu'il n'a pas "su" prévoir correctement la réalité.

    Si on était sur de produire un modèle juste à partir des connaissances qu'on a déjà, on pourrait se passer des essais destructifs. C'est -il me semble- ce qu'on arrive à faire dans l'aviation de transport.

  13. Effectivement, ça fait mal à la tête ...

    Et pourtant tout ce qu'écrit Robert ici est logique, le comportement d'un oscillateur linéaire simple en réponse à une sollicitation en échelon peut être décrit par une pseudo-sinusoïde (plus ou moins) amortie.

     

    Malheureusement on est encore loin du problème réel du planeur entrant en résonnance, à cause de facteurs multiples : rafale verticale (assimilable à une sollicitation en échelon), mais aussi couplages aéro-élastiques (flexion + torsion de l'aile par exemple) provoquant l'instabilité du comportement, ou/et interaction d'un comportement pratiquement linéaire (flexion de l'aile) et d'un autre pas forcément linéaire (braquage périodique des gouvernes dû au jeu dans les tringleries).

    Bref la modélisation complète de tous ces phénomènes complexes est très difficile. :blush: Le fait que ce soit un planeur à grand allongement ne change rien au problème, il rend juste la recherche de solutions plus difficile et coûteuse.

     

    Il me semble que si chacun fait bien son travail, le problème de "fragilité" ne devrait pas se poser :

    - le constructeur procède exhaustivement à tous les calculs et essais nécessaires pour déterminer les modes propres de la structure du planeur, et en tire toutes les conséquences concernant les recommandations figurant sur le manuel de vol (VNE, comportement à adopter en fonction de la vitesse et de la turbulence ...) et d'entretien (tolérances sur les jeux).

    - la personne chargée de l'entretien respecte les préconisations.

    - le pilote ne sort pas du domaine de vol prévu; à haute vitesse, il agit en douceur (faible amplitude) sur les commandes, en les maintenant fermement (ne pas lacher le manche).

  14. On peut quand même noter sur le site de Windex où figure le profil que ce dernier a une légère cambrure en S, ce qui l'apparente quelque peu aux profils auto-stables ou en tout cas un peu moins instables que les profils usuels à simple cambrure, c'est une solution intermédiaire entre celle du type Genesis et les planeurs classiques, dans le même genre que le projet néo-zélandais dont j'ai oublié le nom et auquel a participé un des intervenants de ce forum. Dans le cas du Windex cette solution est imposée par la position arrière du moteur qui exige une queue de longueur limitée pour conserver un centrage correct et donc un instabilité du profil suffisammant faible pour pouvoir se contenter de ce bras de levier limité. Le Windex est d'ailleurs antérieur aux deux autres.

     

     

     

     

    Le projet néo-zélandais, ça serait pas ça par hazard ?

     

    Le site est bien documenté, mais hélas évolue peu depuis quelque temps.

     

    http://www.foamworks.co.nz/sg/3view.gif

  15. Bonjour à tous,

     

    Bonne surprise : j'ai aussi reçu le dernier numéro il y a environ 2 semaines, alors que je pensais qu'on m'avait sucré les numéros pour lesquel j'avais payé un abonnement. :):):) Je ne discute pas ici du contenu ...

     

    :mdr::angry: Mauvaise surprise :angry::angry: :

    reçu aujourd'hui ce courrier laconique (voir scan de jardin ci-dessous)

     

     

    http://hebergement-images.voiloo.net/thumbnail-c6d9bbdee70b745fc1a231c8db594f9c.jpg

     

     

    Je n'aime pas me faire traiter de "vélivoliste", quand bien même "convaincu", surtout par une revue spécialisée de vol à voile, "éditée maintenant par un groupe de professionnels de la presse, tous pilotes ...)

     

    Bons vols à tous

  16. Une petite question en plus.

     

    Dans le cas où je ballaste comment je cale mon Mac Cready par rapport à un même régime de vol que j'utiliserai non ballasté?

    Par exemple quand je vole au régime de vol finesse max (sans vent de face), je cale à zéro.

    Je ballaste et je veux garder le même régime de vol finesse max (sans vent de face). Est-ce que je décale mon Mac Cready et si oui, comment, pourquoi et en se basant sur quoi (polaire,...)????

     

    Merci de m'éclairer.

     

    Fred

     

     

    Un planeur ballasté, c'est comme un autre planeur : la polaire est différente du même planeur non ballasté. En toute logique et rigueur, il faudrait un anneau Mac Cready pour chaque valeur de charge alaire. :D

    C'est là qu'un Mac Cready électronique prend un avantage certain, s'il est conçu pour permettre de saisir, et modifier en vol la charge alaire prise en compte.

     

    Bons vols

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