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Nimbus

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Messages posté(e)s par Nimbus

  1. Serrage manuel seulement !!!

    C'est un pseudo problème très connu sur les Twin Astir mais pas de danger de perdre une aile car il faudrait que la bague tourne completement .

     

    Néanmoins, nous avions fabriqué a l'époque une contre bague empechant la bague de serrage de se désserer.

    Cela fait tellement d'année que je ne me souviens plus comment nou sl'avions usinée.

  2. Je pense aussi que un planeur de la classe libre à ses particularité que un planeur 15 m ou 18 m n'a pas.

     

    Le jour où j'acheterai un N4, je combinerai la lecture du manuel de vol comme étant la bible ET les pilotes ayant l'expérience du N4.

     

    Quant à sortir les AF en vrille...avant d'arriver à une telle situation cela suppose quand meme que le pilote a fait une série de conneries...alors une de plus ou une de moins, il devra assumer.... :blink:

  3. La réponse est très vaste mais dépend surtout de ce que vous souhaitez faire, quels sont vos objectifs, quel est votre portefeuille etc....

     

    Si c'est pour voler moins de 100 heures par an, vaut mieux louer la machine auprès d'un club. Si plus de 100 heures, alors l'achat peut s'envisager.

     

    Maintenant, etre propriétaire d'une machine permet aussi plus de liberté et d'arriver au terrain à l'heure q'il vous plait et de décoller. Sinon, vous devez arriver à 6 heures du mat pour obtenir une machine ou faire la file d'attente.

  4. Un de mes anciens instructeurs (décédé depuis ) m'a toujours dit que les planeurs étaient tous conçus costauds.

    Si le planeur casse en vol, c'est que le pilote a fait une connerie. Le planeur lui ne fait jamais de connerie.

     

    C'est comme le pilote qui décroche en finale à 3 metres du sol, le planeur fait une embardée puis le pilote sort du cockpit en disant :" Quel mauvais planeur, il est instable". Ben voyons !

  5. Indépendament de la thématique "tricherie"...je pense pas qu'il faille adapter le coef en fonction de la présence d'un moteur ou non.

     

    En effet, si la présence d'un turbo ou moteur force à adopter une autre stratégie de vol qui dans certains cas peut s'avérer pénalisante pour les planeurs motorisés.

     

    Par exemple, lorsque l'on est à 500 m sol, une règle de sécurité est de considérer le vol comme étatn vaché. En efeet, il est grand temps de sortir le moteur, de le démarrer et surtout qu'il tourne. En effet, si l'opération rate, on se retrouve en moins de 2 minutes très bas,....trop bas peut être pour rentrer dasn un circuit normal pour une vache.

     

    Tandis que le pilote de planeur "pure" peut se permettre de chercher une pompe encore quelques minutes voire meme d'attendre 250 m sol avant de considérer son vol comme "vaché".

     

    Par petit temps, comme en Belgique c'est pratiquement le cas toute l'année, la présence d'un turbo/moteur est plus pénalisante. Par contre, par gros temps, le planeiur pure pourra emporter suffisament d'eau que pour rattrapper son "handicap" sur un planeur lesté d'un turbo.

     

    L'accroissement de poids fait aussi que pour arrêter le planeur lorsqu'il roule sur la piste est plus difficile vu l'inertie.

  6. Tout dépend aussi du planeur utilisé. A botrd d'une grande plume, je préferre de loin faire un long vent arrière, ce qui me permet d'avoir une longue finale et le temps de manoeuvrer mes volets, AF, de juger du vent, etc...La longeur de la base est pour moi un peu moins importante tant que j'ai une longue finale. J'observe le terrain en vent arrière (obstacle, pente du terrain, point d'aboutissement etc...) et en finale j'ajuste les paramètres de vol.
  7. Point de vue radio, elle sont souvent analogiques. La commande "+" et "-" du volume suppose une circuit digital => accroissement des couts.

     

    Par contre pour le levier de train, c'est effectivement bizarre car la barre de commande passe de toute façon de la place arrière vers la roue.

  8. Exemple belgo-belge...

     

    Lorsque je me pose à Verviers, piste en herbe, avec le Nimbus 3T, a vide, cette bête pese son 520 kg...

     

    Inutile de dire que je ne suios pas assez costaud pou rbouger la machine seul. C'est impossible ! Tout au plus je peut lui faire un tour de 90* afin de réduire au maximum son "emprise" sur le largeur de piste. Et encore ! car après un long vol, je sui sasez épuisé. Soulever la queue qui pèse assez lourd (près de 40 kg selon mon estimation) et faire pivoter le planeur n'est pas chose aisée. Alors de là à le tirer hors de ou sur le coté de la piste ... :wacko:

  9. Ces points sont définis par leurs coordonnées (lattitude / longitude). On peut prendre n'importe quoi comme point de virage :

     

    - Un point sans qu'il y aie qq chose de particulier au sol, mais c'est chiant, il n'y a rien à voir, on se fie seulement aux coordonnées du point données par le GPS.

    - Un site obscur que personne ne connait : la gare de Saint Aman Morond, le carrefour des Maisons Blanches

    - Un site + ou - prestigieux : Chambord, Mont Saint Michel, Fort Boyard, Cathédrale de Chartres, Centrale Nucléaire (maintenant c'est plus compliqué car il ne faut pas decendre en dessous de 1000 dans le périmètre de la centrale), Tribune du circuit Bugatti, Place Napoléon de La Roche sur Yon (mais pas glorieux du tout car située à 30 km de mon aéro.) ...

     

     

    Fort Boyard??? Je connaissais le célebre jeu diffusé sur A2 mais pas en tant que point de virage (Way point). Où se situe t-il exactement?

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