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BERTOLA

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Profile Information

  • Genre
    Homme
  • Localisation
    Mayenne

Profil pilote

  • NetCoupeur
    Non
  • Badge FAI
    Badge Argent
  • Région de vol
    Pays de Loire
  • Instructeur
    Non
  • Voltige
    Non
  1. BERTOLA

    Redécollage ?

    Notre activité est un loisir, nous y prenons du plaisir, pas de risques inutiles. En tant que responsable, il ne convient pas de mettre nos membres dans une situation dangereuse de quelque manière que ce soit, mais d'autre part, il est obligatoire de se protéger. Ma petite expérience dans le monde associatif m'a montré qu'en cas de crise il n'y a plus d'ami, mais des adversaires qui cherchent soit de l'argent, soit une hypothétique consolation. Le juge d’instruction demandera d'abord : "Monsieur le président, étiez-vous au courant de la situation ?" puis : "qu'avez-vous fait pour y remédier ?" Je te laisse méditer.
  2. BERTOLA

    Redécollage ?

    Ce sujet déchaîne les passions, ce qui est normal entre passionnés. Reste la responsabilité pénale, si la famille d'un membre décédé des suites du COVID 19 porte plainte. Déjà les médias font état de plus de 60 plaintes contre des membres du gouvernement suite à décès de proches. Or, les moyens de défense dont disposent ces personnes n'est pas comparable à ceux d'un petit président de club. En conséquence, et en l'absence de précision de la DGAC ou de tout organisme officiel, mon club ne fera pas de vol en double. Je sais, c'est petit joueur, mais il ne faut pas oublier que le président est responsable au civil, comme au pénal, et sur ses fonds propres. Dans le monde sportif, la jurisprudence ne va malheureusement pas me contredire.
  3. BERTOLA

    Redécollage ?

    Jéjé , faut arrêter de ce prendre la tête, tu n'es pas responsable lorsqu'un membre de ton club fait une infraction, ce pilote, tu n'as aucun moyen de l’empêcher de voler, c'est de sa responsabilité.... Certes, mais si il s'avère qu'il a le COVID19, il faudra que le club (via son président) donne la liste des personnes côtoyées lors de son ou ses passages, et prennent des mesures de désinfection qui rendront problématique la reprise des vols. D'autre part, si d'autres personnes sont contaminées et que ça ne se passe pas bien pour elles, il faudra que le président (encore lui) montre que les mesures ( et leur mise en place) qui ont été prises par le club ne sont pas contestables si une procédure est engagée. Donc faire confiance, mais surveiller quand même : le président est responsable au civil et au pénal sur ses deniers.....
  4. Suite à la téléconf du 1er Mai, la précision suivante avait été apportée : le seuil est de 10 personnes ensembles, c'est à dire 9 stagiaires et un formateur dans une salle répondant aux critères d'espacement. Le ou les pilotes qui volent, le remorqueur ou le treuillard ne compte pas....
  5. Bonjour à tous et merci pour les retours d'expériences de ces nouvelles technologies. Chez nous (z'à la Rogerie), l'arrivée du courant nous coûterait plus de 15 000 €, le réseau est inexistant et nos moyens sont en relation avec le nombre de nos membres (pas beaucoup). En conséquence, le papier et le stylo nous allait bien pour les quelques élèves en formation. Il faut bien sûr vivre avec son temps et il va encore falloir rajouter une couche sur l'ensemble du mille feuilles que constitue le fonctionnement d'un club (quelque soit sa taille au demeurant). Les obligations proposées par la FFVP sont d'autant plus dures et coûteuses, qu'un nombre restreint de bénévoles fait marcher la boutique, d'où mon intérêt pour la solution de nos amis "din Ch'Nord". Je crains le pire à la reprise.....
  6. Merci Florent et à l'équipe de Lille pour son travail . D'accord avec Étienne : avoir une alternative permet d'échapper à un monopole (et à ses dérives) quel qu'il soit. Il ne reste plus qu'à attendre le retour de la DGAC...
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