En vol "libre", ça change pas mal : tant qu'on est à moins de 200km (ou 300, selon les modèles) du terrain, on est en local... Donc forcément, on prend plus de "risques", et souvent ça passe. Bref, plus de possibilités pour les turbos. De là à dire qu'il faut séparer les turbos des purs ? Non... ou alors, séparons aussi les pilotes en fonction du nombre de jours de congé qu'ils ont par an : ça influence aussi les possibilités... J'exagère à peine la comparaison Maintenant en compète, turbo ou pas turbo, faut tourner l'épreuve et aller le plus vite possible. Et si on sait que ça rentrera pas, on continue quand même jusque par terre s'il le faut. Qu'on termine dans un champ ou bien 100 ou 200m au-dessus avec le moteur qui démarre, ça ne change RIEN au niveau du vol ou au niveau des résultats sur une épreuve. Par contre, dans une compète avec des vaches à répétition, ça change un peu au niveau de la fatigue du pilote, vers la fin... Mais ça ne veut pas dire qu'il faut séparer les moulinisés des purs : c'est comme pleurer l'injustice parce que le mec devant a un planeur plus fin, des nettoyeurs de mouches, ou un planeur plus facile à voler... Enfin, c'est mon avis. By the way, je vole en pur... Seb