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License De Station


Invité T.M.

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Depuis quelques années il n'est plus demandé de passer les radio (recentes) au banc tous les six ans mais qu'en est il des licenses de station d'aéronef ?

 

Faut il toujours les faire renouveler lorsqu'elles arrivent à échéance ?

 

T.M.

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Invité Christophe Brunelière

Bonjour,

 

La LSA est renouvellée automatiquement avec le CDN sauf si le planeur est équipé de plus d'un moyen radioelectrique. Dans ce cas, la validité de la LSA n'est que de 6 ans. :sick:

 

Exemple : Le planeur n'est équipé que de sa seule VHF. La LSA est valide tant que le CDN est valide. Elle se renouvelle automatiquement avec le CDN (pas de passage au banc de la VHF et pas d'intervention du propriétaire. :rolleyes:

 

Le planeur est équipé de sa VHF mais en plus il est équipé d'un transpondeur (ou balise de détresse qui est considéré comme un moyen radio). La validité de la LSA ne peut dépasser les 6 ans. Au bout des 6 ans, il faut envoyer la VHF et transpondeur dans un atelier radio qui s'occupera de renouveller la LSA pour un cycle de 6 ans. La vérification du matériel sert entre autre à vérifier qu'il n'y a pas d'interférence entre les deux (ou plusieurs) équipements.

 

Réf : Doc GSAC

 

Christophe Brunelière.

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Boujour,

Tu comfond un peu trompé Christophe :rolleyes: regarde dans le RP 41-15.

En gros, il dit:

Ancienne génération: périodicité maximale des tests de bon fonctionnement=6 ans

Nouvelle génération: sujet à aucune execution périodique.

A cela on doit rajouter un test global tous les 4 ans si l'aéronef est équipé de plusieurs moyens radi-électrique. :sick:

 

 

@+, Pascal LEFEVRE

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Chacun à le choix.

 

Dans mon planeur je n'ai aucun GPS, aucune balise de détresse, aucun dispositifs pour démoustiquer, aucun dispositif pour uriner, et bientôt je n'aurais pas de transpondeur.

 

Et si celà ne suffit plus, comme certains, je radierai mon planeur des registres Français pour l'immatriculer dans un pays limitrophe.

 

Gilles

1L
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Invité Christophe Brunelière

Bonjour,

 

Pascal, tu as parfaitement raison B) , pour être plus précis : Fascicule 41-15 du GSAC.

 

7.2. Périodicité de dépose des équipements en fonction de leur génération

7.2.1 Equipements d' «ancienne génération»

Equipements installés à bord d'aéronefs d'aviation générale autorisés à voler en régime de vol à vue (VFR) : six ans.

 

7.3.3 Fréquences du test au sol (et de la vérification en vol de bon fonctionnement de l'IRB)*.

L'ensemble des opérations de test au sol (et de vérification en vol)* de bon fonctionnement de l'IRB est exigé selon les périodicités et autorisations suivantes :

 

Pour les aéronefs d'aviation générale autorisés à voler en régime de vol à vue (VFR) :

Un test au sol (+ une vérification en vol)* de bon fonctionnement à l'issue de tout cycle complet d'entretien, à une périodicité maximale de quatre ans.

 

Pour les aéronefs d'aviation générale autorisés à voler en régime de vol à vue (VFR) dont l'IRB est réduite à un unique émetteur récepteur VHF de communication, dépourvue donc de tout autre équipement dont les fonctions sont définies dans le chapitre 4, ces opérations de test / vérification ne sont pas dues ; ainsi, un aéronef dont l'IRB serait, par exemple, constituée d'un seul émetteur récepteur VHF et d'une Radio Balise de Détresse Automatique, ne pourrait prétendre aux termes de la présente disposition, et devrait se conformer aux exigences de test au sol / (vérification en vol)* décrites dans le paragraphe précédent.

 

I.R.B. : Installation radioélectrique de Bord

 

Nota : *La vérification en vol n’est pas exigée pour un planeur

 

Le test au sol peut se faire planeur démonté et prend moins d’une heure. J’ai rendez vous demain matin pour mon planeur à l’atelier radio d’Aix. Le planeur sera dans sa remorque ; il suffit juste de sortir le fuselage sur son chatiot.

Temps de la manip : 2h de route, 1 heure grand maximum pour la vérification et 80 Euros tous les 4 ans pour le test, soit 20 Euros par an. Tout ça pour pouvoir pendant 4 ans :

 

- Faire de l’onde dans nos régions avec le transpondeur (TMA de Marseille, un grand merci aux contrôleurs d’Aix), traverser les espaces « D » en toute légalité (Orange, Rhône, Salon, Avignon, Marseille ici aussi merci aux contrôleurs toujours dispos, pas un seul refus cette année), être vu par les TCAS (anti-collision) ;

- Avoir une radio-balise à bord en cas d’accident ;

 

On peut manifestement appeler ça une contrainte réglementaire, c’est vrai mais il faut relativiser ! Le contrôle technique sur ma voiture tous les deux ans m’e……….e plus, me coûte plus cher et me prend plus de temps !, personne pourtant ne trouve à redire ! :P:sick:

 

Bonne fin de semaine, Christophe Brunelière. :P

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A vérifier, mais R par précaution pour ne pas avoir appliqué dans le délai imparti une CN. CN appliquée par ailleurs depuis au moins un renouvellement par un atelier agréé.

 

Si l'humain est incapable de juger et d'interpréter un texte alors autant de suite remplacer ces soi-disants humains par des automates !

 

Sans commentaires pour l'aide et l'utilité du GSAC.

 

Gilles

1L
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Invité Christophe Brunelière

Bonjour;

 

Tu as raison Gilles, il y a malheureusement des crétins et des incompétents partout, hélas! :rolleyes: . Pour lutter contre ces fléaux, j'ai retenu une leçon d'un de mes instructeurs PL qui, devant ma mauvaise volonté à ouvrir les bouquins de règlementation et préférant le bon sens, m'a motivé simplement en me disant :

"Si tu ne veux pas être emmerdé un jour, connaît les textes et règlements mieux que celui qui risque de t'emmerder". :angry:

Depuis ce jour, je n'ai plus eu à subir ces fléaux malgré trois contrôles à l'arrivée de vol ces deux dernières années et donc tois tentatives d'intimidation de la PAF, d'un inspecteur du district et d'un controleur aérien. Pas de chance pour eux, ces 3 fois là! mais quelle bonheur! :mdr:

C'est vrai que c'est contraignant de se tenir au courant, mais on apprend une quantité de chose qui permettent parfois d'arranger nos affaires.

Bonne fin de week-end, Christophe Brunelière. :o

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