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Messages posté(e)s par 5 X

  1. L’antenne vhf est conçue pour fonctionner quand le planeur vole. Son fonctionnement, et donc son TOS sont très perturbés par la proximité du sol quand le planeur est à terre.

    Il faudrait pouvoir faire les mesures d’antenne en vol… pas trivial. Comme on  les fait au sol, essayer de le faire sur un plancher en bois surélevé du sol, et/ou soulever la queue du planeur avec des tréteaux en bois.

  2. Laquelle est la mieux ? Bah en bon Normand je dirai que ca depend ...

    Ca depend des performances que tu cherches.

    Mais en aero une technologie domine maintenant nettement en nombre d'installations, ce sont les electrets. Moins encombrants, moins chers, moins sensibles aux perturbations electro-magnetiques, plus légers, mais necessitent une alimentation en courant continu, ce qui n'est generalement pas un problème, toutes les radios modernes sont prévues pour.

  3. On 8/2/2023 at 4:35 PM, Bob said:

    Dans mon cas il faudra que je trouve quelqu'un autour de moi pour m'aider à concevoir un petit dispositif très fiable pour gérer cette batterie de secours.

    Peut-être avec un Arduino (puisque c'est un avion, pas de pb a priori de consommation en temps normal) qui surveille la baisse de tension de la batterie principale pour basculer sans coupure sur la batterie de secours.

    J'arrête de polluer avec du hors-sujet...Merci en tout cas, j'ai appris plein de choses.

    Dispositif très fiable avec un Arduino ??? J'suis pas sur que je confierais ma sécurité a un zinzin comme ça, entre les bugs de l'OS, du programme, et les risques de panne de l'ordi ça fait beaucoup pour un système indispensable au fonctionnement moteur une fois que ça a commuté.

    Les dispositifs évoqués plus haut sont des circuits simples, voire simplistes, avec très peu de composants, et pas de logiciel, donc risque de défaut réduit. Je serais plutôt tenté de chercher de ce côté là.

  4. Mettre 2 diodes Schottky fait perdre 0.4 a 0.5V , c'est une solution qui s'avère pénalisante en fin de décharge des batteries, les instruments vont se couper 0,5V "plus tot", ça fait une belle différence sur la durée d'utilisation des batteries durant le vol. C'est pourquoi le OU a diode est une bonne solution, mais avec des diodes idéales comme celles de Ludovic qui n'ont pas de chute de tension.

     En ce qui concerne l'utilisation du commutateur 3 positions, la résistance de ses contacts est donnée pour 20 milli ohms, donc sous 2A la puissance a dissiper par le commutateur serait de 80 milli watts, c'est pas ça qui va le faire chauffer. Je pense que la limitation a 1A vient plutôt de la volonté des designers de limiter les arcs lors de la commutation pour maintenir une durée de vie spécifiée élevée, sinon ça se vendrait mal. Mais bon, même si la commutation a 2A diminuait cette durée par 10, ca fait 1000 vols, ca va encore  !

    Après celui que ça intéresse peut faire l'essai sur table, ça lui coûtera 4€

  5. Denis a raison, une resistance en serie avec le condensateur va limiter l'appel de courant au demarrage .... mais va aussi diminuer la tension que va restituer le condensateur durant la commutation. Pour eviter ça il faut mettre une diode Schottky en paralèlle de cette resistance, elle ne fera perdre que 0.4V uniquement pendant la commutation

    Ce qui donne le schema suivant :

    AIL4fc9XtoMvq7B2YKnRsQPsboHlpIWY30wivDkM

     

    Après il faut determiner les valeurs de R et C pour que ça marche correctement.

    Pour R c'est simple, disons qu'on veut limiter l'appel de courant à mise sous tension à 1A, ca fait une resistance de 12 ohms, on prendra 10 ohms, plus facile a touver dans nos tiroirs.  Pour 2 A ca ferait 6 ohms ...etc

    Pour C, il faut estimer la consommation de l'installation electrique ( pour le calcul je considère 200mA), et la durée de la commutation pendant laquelle aucune batterie n'est connectée. Disons 0.1s. Et la tension mini acceptable pour que l'installation reste convenablement alimentée, disons 9.6V. Et disons qu'avant la commutation on avait 11.6V (batterie dechargée puisqu'on commute). Et que la diode Schottky va perdre 0.4V. Soit une decharge du condensateur de 1.6V pendant les 0.1s que dure la commutation. Avec ces valeurs, le calcul donne un condensateur d'environ 10 000 microfarad ( nettement plus que ce que j'avais indiqué au pif plus haut !) Y'en a pour 15€ et ca fait 50mm de diam, 50 de long pour 200g, donc faut bien l'attacher.

     

    Tout ça pour dire qu'il n'y a pas de solution super simple et magique. Pour faire bien les choses j'en vois 3 possibles

    - on a le doigt magique et on arrive a commuter super vite (au dernier vol j'ai raté mon coup, mais d'habitude j'y arrive !)

    - ou la solution de Ludovic

    - ou un commutateur MBB

    - ou un circuit RC diode comme celui ci

     

     

  6. En fait les assembleurs de pack batterie on tendance à simplifier un peu trop en donnant une tension pleine charge à 14.4V pour du Lifepo4.

    Y'a deux choses a voir :

    - pour la charge, suivant l'etape de charge dans laquelle le chargeur se trouve, la tension batterie peut differer, voir p3 de la notice ICI  . L'etape de charge est visible sur le chargeur, les leds l'indiquent. Donc suivant le moment ou on debranche le chargeur, la tension peut varier de 13.4 à 14.4 V. Au dessus de 13.4V la batterie est chargée à 100%, l'ecart d'energie accumulée entre 13.4 et 14.4 est quasi nul, ce qui se voit bien sur la DS d'une cellule, ci après.

    - pour la decharge, le BMS incorporé au pack de batterie coupe la tension aux alentours de 10V ( ca depend du BMS, faut voir dans la doc du pack ), la tension mini de securité d'une cellule etant de 2V (4 cellules en serie) . Le BMS coupe donc vers 2.5V par cellule. Sur la DS d'une cellule LifePo4 de chez A123, marque de reference, on voit bien qu'à 2.5V par cellule il ne reste plus que qqes % d'energie dans la batterie, donc pas de regret à ce que le pack soit coupé à #10V.

    Datasheet d'une cellule : DS 26650 A123

    Donc pour programmer le LX je serais tenté de mettre en route l'avionique du planeur, LX inclus, puis  attendre que la tension aux bornes de la batterie soit descendue a 13.4V, et alors indiquer au LX que la batterie est a "Full voltage". Pour les valeurs de "Empty voltage" et "Low Battery", y'a un choix a faire qui depend aussi de la tension de coupure du BMS. Pour mon cas je trouve que pour "Empy Voltage", la valeur entrée à "Full Voltage" moins 2.8 volts est pas mal, et pour "Low Battery" la valeur entrée a "Full Voltage " moins 2.4V.

    Y'a un autre point à prendre en compte, c'est que lors d'un passage en emission de la radio la batterie devient nettement plus sollicitée, et sa tension peut descendre immediatement de qqes diziemes de V, surtout si on est déjà dans une zone de basse tension, et du coup elle peut descendre en dessous de la valeur de coupure du BMS, qui va donc couper immediatement la tension.... Et pour la suite,  ça depend des BMS, mais pour bon nombre d'entre eux il faut brancher le chargeur pour le réarmer ....  Donc faut garder une bonne marge entre "Empty Voltage" et la tension de coupure du BMS, et soit commencer une gestion parcimonieuse de l'energie ( diminuer fortement la luminosité du LX, peu de contacts radio ..etc) dès le warning "Low voltage", soit switcher sur la seconde batterie au plus tard au warning "Empty voltage".

  7. Les chargeurs de batteries ont des performances très diverses.

    J'utilise des chargeurs "intelligents" CTEK qui restent sous tension à la connexion - deconnexion pour charger mes 2 Lifepo4, aucun pb, ces chargeurs gèrent également le reset des BMS des batteries. L'etape à laquelle ils en sont de leur programme de charge est affiché sur les chargeurs, ce qui permet de savoir si on en est à la dernière étape, laquelle doit être juste de courtes impulsions de faible courant, pas le genre de chose à faire sauter un fuse.

  8. Salut Etienne,

    Merci de ta reponse, j'en étais également a peu près là de mes reflexions sur le sujet, effectivement rien ne m'empeche d'emmener n'importe quel objet avec moi en planeur, serait-ce un parachute perimé.

    Là où ca peut se corser c'est en cas d'evacuation, car si tout se passe bien dans ce cas on "vole" avec un parachute perimé, ça je pense que les autorités n'aimeraient pas, tout comme les assurances d'ailleurs, s'il y a un pépin.

    Bon, la durée de vie de mon parachute vient d'être augmentée de 5 ans, j'ai un peu de temps pour reflechir à tout ça.

     

     

  9. Pas l'impression que le devt d'un nouveau planeur soit d'actualité chez DG.

    Je m'attends plutôt a ce qu'ils tirent le max de versions de leurs planeurs actuels, par exple je ne serais pas surpris qu'ils fassent un 1001Me avec la motorisation elec solo, le temps que leur volocopter, dont la boîte qui l'a créé a racheté DG, monte en cadence de production, et ensuite la prod de planeurs pourrait bien s'éteindre au rythme de la baisse des commandes.

  10. Effectivement le coussin bien epais dans le dos est souvent une bonne solution.

    Certains contructeurs (DG au moins ) vendent des cales en fdv qui se clipsent sur les palonniers afin d'en corriger l'angle qui peut faire souffrir certains genoux..

    J'en ai eu sur un DG808. Pas de form 1, de modif approuvée ...etc.

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