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Tatave

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Messages posté(e)s par Tatave

  1. Sans vouloir sodomiser les diptères, je ne suis pas certain que l'appellation "Criquet", nom du MS 500 à moteur Argus, version française du célèbre Fieseler Storch (Cigogne), s'applique au MS 505 à moteur Jacobs. Mais peut-être me trompais-je ?

    Entre les 2, il y a eu le MS 502 à moteur Salmson.

    Sinon, pour ce qui est de la fixation du moteur Jacobs, je suis désolé de ne pas pouvoir te renseigner.

     

    Un "ancien" qui fut, dans le temps, remorqué par ces trois versions.

  2.  

     

    Je me souviens d'avoir vu des photos de pilotes de chasse allemand(WWII) qui avaient au col de leur veste l'écusson des 3 mouettes face à un écusson absolument inavouable...

    Tout à fait normal, puisque la pratique du planeur entrait largement dans le cursus de formation des pilotes entre les deux guerres et plus particulièrement avant le début de la seconde. Ne pas oublier que, selon le traité de Versailles, l'Allemagne d'après la 1ère guerre mondiale n'avait pas le droit de posséder d'aviation militaire, donc en détournant largement le traité..... on pouvait quand même former un très grand nombre de pilotes (planeur, petit avion, puis le moment venu....)

    De fait, sous la république de Weimar, un nombre non négligeable de pilotes militaires a été formé en catimini chez les soviets sur avions d'armes. Ce qui n'empêchait pas de faire de la pré-formation militaire en Allemagne sur planeur, la Lufthansa étant par ailleurs un réservoir de futurs pilotes militaires.

  3. J'ai commencé en 1969... depuis le vol à voile n'a pas trop changé,

    structure club => bénévolat de tous => Entraide, participation.

    Les bras m'en tombent ! Quel optimisme ! certainement justifié dans certains endroits, mais à mon sens de plus en plus rares.

    (pour info, j'ai commencé le vol à voile encore 10 ans plus tôt).

     

    Avec un ulm 20 euros le remorquer.

    Dans l'état actuel de la réglementation, hélas, un pilote avion autorisé remorquage et titulaire d'une licence ULM, quelle que soit son expérience dans ces 2 catégories d'aéronefs, n'a pas le droit de remorquer en ULM sans passer par la case test, voire complément d'instruction-tiroir caisse, avec un instructeur ULM agréé à cet effet, personnage très difficile à trouver par ailleurs. C'est une entrave au développement de cette pratique.

  4.  

    Bon, il n'y a pas que l'Armée de l'Air française qui est en déflation ! Sur 12 bases dans le quart nord-est il y a moins de 30 ans, il en reste 4, si je ne me trompe pas.

    Exit pour les bases radars : Drachenbronn, Romilly et Contrexéville.

    Exit pour les bases avions : Strasbourg, Colmar, Toul, Metz (également état-major) et Reims.

    Beaucoup de suppression aussi dans les autres régions.

     

    Correction : après vérification, la BA de Drachenbronn existerait toujours, ce qui fait 5 bases restantes dans le nord-est.

     

    Ce qui me surprend dans l'article de la tribune de Genève, c'est le nombre de 300 avions de combat dans les années 90 ; ça parait énorme pour un pays de cette dimension. Ne s'agirait-il pas plutôt du nombre total d'aéronefs militaires (y compris école, transport, hélicos, etc) ?

    Tu as oublié Cambrais qui aussi a fermé

     

    Quand je parlais du quart nord-est, c'était pour moi feue la FATAC/1ère RA. Cambrai était dans feue la 2ème RA. et donc concernée par la phrase "Beaucoup de suppression aussi dans les autres régions" (trop pour être toutes citées).

  5.  

    Avant de livrer tous vos secrets (ou pas) à Google, vous l'avez bien fait en vous inscrivant sur planeur.net... Quelle différence ?

     

    Je t'ai connu plus fin .... un peu gros la mauvaise foi ...

     

    Je pense que Denis avait simplement oublié de mettre un "smiley", mais le caractère "au second degré" de son intervention ne me parait pas douteux. Ceci dit, je ne vois pas très bien quel parti Google peut tirer des informations demandées, mais je partage l'étonnement qu'ont exprimé plusieurs contributeurs que la fédé ait besoin de poser ces questions (ce qui ne m'a pas empêché de répondre).

  6. Bon, il n'y a pas que l'Armée de l'Air française qui est en déflation ! Sur 12 bases dans le quart nord-est il y a moins de 30 ans, il en reste 4, si je ne me trompe pas.

    Exit pour les bases radars : Drachenbronn, Romilly et Contrexéville.

    Exit pour les bases avions : Strasbourg, Colmar, Toul, Metz (également état-major) et Reims.

    Beaucoup de suppression aussi dans les autres régions.

     

    Correction : après vérification, la BA de Drachenbronn existerait toujours, ce qui fait 5 bases restantes dans le nord-est.

     

    Ce qui me surprend dans l'article de la tribune de Genève, c'est le nombre de 300 avions de combat dans les années 90 ; ça parait énorme pour un pays de cette dimension. Ne s'agirait-il pas plutôt du nombre total d'aéronefs militaires (y compris école, transport, hélicos, etc) ?

  7. La notion de potentiel est inexistante pour les ULM.

     

    Faux, mon cher Sam, puisque les prescriptions des constructeurs doivent être respectées. Ceci dit, il n'y a pas de livret moteur. Les pilotes d'ULM conscients, dont j'essaie de faire partie, comptabilisent quand même leurs heures.

  8.  

    Quel est le potentiel d'un Rotax utilisé en remorquage ?

     

    Il n'y a pas de coefficient remorquage sur un Rotax. Donc "en théorie" 2000 h.

     

    Peut-être me trompai-je, mais il me semble qu'il n'y a plus, non plus, depuis des années de coefficient pour les moteurs certifiés, généralement des Lycoming 180 CV. Auparavant, c'était 0,6.

     

    Les Rotax 912 S n'ont un potentiel de 2000 h que depuis quelques années. Auparavant, ils étaient à 1500 h, plus anciennement encore à 1200 h. Lorsque le potentiel a été porté à 2000 h, il me semble que certains moteurs antérieurs sont passés automatiquement de 1500 à 2000, mais que d'autres ne pouvaient le faire que moyennant une "formalité" dont je n'ai plus le souvenir exact. Il faudrait retrouver le BS. Si le Dynamic du CNVV a 5 ans et demi d'âge, le potentiel est vraisemblablement de 2000 h, mais c'est à vérifier.

  9. C'est beau, les traductions Google (ou assimilé) !

    A part le handicap DAEC, c'est le règlement de feue la Transeuropéenne que JC Penaud, coéquipier de Fafa pour l'EG 2014, avait lancée au départ d'Angers dans les années 80 (sauf une fois où c'était parti de Colmar, mais toujours organisé par Jean-Claude).

    D'ailleurs, si je me souviens bien, c'est un ancien concurrent néerlandais de cette transeuropéenne, Gerrit Kurtjens, qui avait repris le flambeau au départ des Pays Bas, ça fait déjà de nombreuses années.

  10. Le système top avait tout pour déplaire. Laid, cher, performances au moteur insuffisantes, performances en vol à voile très vraisemblablement bien plus détériorées que les 3 points de finesse généralement annoncés.

    Rien d'étonnant à ce qu'il soit mort-né, mon cher Bobote.

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