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cerdagnol

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Tout ce qui a été posté par cerdagnol

  1. cerdagnol

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    Gil et Baptiste sont repartis ce matin de Perpignan, en onde, il paraitrait qu'ils visent le Portugal : https://www.flightradar24.com/FCJSG/342b239a Sur Glideandseek : https://glideandseek.com?aircraft=39345B
  2. cerdagnol

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    Gil Souviron et Baptiste Innocent on fait le chemin de St Jacques de Compostelle quasiment jusqu'au bout aujourd'hui : https://www.flightradar24.com/FCJSG/34281e95
  3. cerdagnol

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    Je ne sais pas si notre ami grenoblois dormira à la maison ce soir, mais les perpignanais sont bien partis pour profiter du climat plus clément du Portugal ! Ils arrivent vers Avila, plein ouest de Madrid. Moi ça me fait rêver !
  4. cerdagnol

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    Merci pour l'immat du grenoblois ! https://www.flightradar24.com/DKRNL/32ed2278 et dans le F-CJSG il y a un copain : https://www.flightradar24.com/FCJSG/32ed130c Dommage que je sois en cours de BIA cet aprem, ces deux vols vont être passionnants !
  5. cerdagnol

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    Quelle est l'immat du grenoblois ?
  6. Voler sous JVN ouvre de nouvelles perspectives. Mais la nouvelle limite sera celle de la résistance à la fatigue de l'équipage, et on retombe dans les limites de la sécurité des vols qui ont conduit à l'arrêt des records de durée.
  7. cerdagnol

    Antoine Lopez

    Bonjour René, je suis très triste d'apprendre cette nouvelle. Je garde un excellent souvenir de ma formation au Pic en 87 avec Claude et Antoine, entre autres. Je me souviens de la facilité avec laquelle Antoine posait le Bijave F-CCRS sur quelques mètres en 31 quand le vent était un peu fort. Pas besoin de pousser beaucoup pour changer de stagiaire et c'était reparti ! J'aurai une grosse pensée pour lui aujourd'hui...
  8. cerdagnol

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    9h35, le _32 est déjà dans les pyrénées au dessus de Font Romeu !
  9. Merci Loïc ! j'ai essayé de lire la publication que tu cite, mais mes compétences ne m'ont pas permis d'en tirer grand chose...
  10. Merci CPT pour la piste de l'émmagrame, je vais aller chercher de ce côté là. L'élévation de température "à la base" est de +15 à +20°C par rapport à l'ambiant. Bonne journée !
  11. Bonjour à tous, Je commence par répondre à André : concernant le moindre chauffage du sol par le soleil : oui, les miroirs de cette centrale (30ha de miroirs tout de même ! ) vont bien réduire le chauffage du sol. Et comme les champs tout autour de cette centrale sont des zones humides ( pour au moins 75% d'entre eux), on va donc avoir un fort contraste de température entre la zone aérocondenseur et son voisinage, ce qui est favorable à la production de thermiques. Pour la centrale, le cycle de fonctionnement est le suivant : le soleil se lève et chauffe l'eau contenue dans les tubes éclairés par les miroirs. L'eau se transforme en vapeur lors de son circuit dans le champ de miroirs et devient de la vapeur surchauffée à 275° et 70 bars (de mémoire). Cette vapeur est injectée dans la turbine qui entraîne un alternateur et produit de l'électricité. La vapeur en sortie de turbine va condenser dans l'aérocondenseur qui est une cheminée à convection forcée (gros ventilateur à sa base) mais qui contrairement au centrales nucléaires n'utilise pas d'injection d'eau froide pour augmenter le refroidissement. On ne produit pas de joli panache de vapeur ! Le temps que le champ de production de vapeur monte en température, l'aérocondenseur ne tournera à plein régime que vers midi au mieux. Cependant, en été, il commencera à dissiper dès 10h et pourra participer à la déstabilisation de la masse d'air. Et s'il y a décalage de production grâce au stockage, on peut imaginer que la fin de production d'air chaud se produira après le début de la nuit aéronautique ( et peut être créer la pompe de service pour les circuiteurs rentrant un peu tard...) CPT, voici quelques éléments de réponse pour toi : Ici, on n'est pas sur une centrale photovoltaïque mais sur une centrale thermodynamique. On a donc pas d'échauffement des "panneaux". La source de chaleur n'est pas indépendante du soleil, puisque la vapeur est produite grâce à celui-ci. Tu as néanmoins raison si la centrale décide de produire en décalé le soir avec le stockage. Comme il n'y a pas d'injection d'eau dans l'aérocondenseur, il n'y a pas de production directe de strato-cumulus comme avec une centrale nucléaire. La seule eau qui pourra condenser sera celle de la masse d'air prise au sol et réchauffée. Par contre, tu me conforte dans mon intuition que le thermique généré percera plus haut la couche d'inversion qu'un thermique " naturel". Et je tiens à te remercier pour la publication du Dr. John W. (Jack) Glendening , je vais avoir un peu de lecture instructive ! En espérant avoir précisé les données du problème, je reste preneur de réponses calculées ou de méthodes de calcul ! Bonne journée !
  12. Bonjour à tous, et plus particulièrement aux matheux, aux thermodynamiciens et bricoleurs d'équations ! Pas très loin de chez moi, se construit une centrale solaire dont l'aérocondenseur va dissiper une puissance de 50MW thermiques avec un delta de température par rapport à l'ambiant de 15 à 20K. Je suppose que quand elle fonctionnera, cela produira un joli thermique ! Ma question est : comment estimer la Vz et le plafond de ce thermique à partir de la puissance dissipée, du delta T et du sondage de la masse d'air au dessus de ce point ? Pour ceux que ça intéresse, mon coin c'est là : https://goo.gl/maps/zV2FfTtvQPB2 Mon aérodrome : LFNQ La centrale : https://fr.wikipedia.org/wiki/Centrale_solaire_eLLO Un aérocondenseur : c'est comme les cheminées des centrales nucléaires, mais dans mon cas, on a le droit de voler au dessus... Merci d'avance
  13. Salut, je ne peux que partager l'avis de Pierre sur l’article cité. A proximité de chez moi, j'ai les deux types de structures : un petit club tout bénévolat mais avec de belles machines et un club très privé où trois personnes sont employées à plein temps. Faisant partie des "moins fortunés" j'ai vite opté pour le petit club où les tarifs sont deux à trois fois moins chers. Et dans ce joli petit club, je retrouve l'esprit d'entraide qui fait que ce sport individuel est aussi un sport d'équipe ! Il faut que de tels clubs continuent à exister pour renouveler le "cheptel" de pilotes dans toutes les catégories sociales.
  14. Pour ceux qui viennent voler à La Llagonne (LFNQ) je me tiens à leur disposition pour les renseigner sur les bonnes adresses du coin ! nicolas.boullet [@] promes.cnrs.fr
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