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Emeric

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Messages posté(e)s par Emeric

  1. :rolleyes:

    Pouvez-vous m'expliquer ce que ca veut dire, qu'un planeur est "voilier" ?

    Techniquement, c'est juste que la charge alaire est plus faible non? Et/ou le taux de chute plus faible?

     

    Mais ça n'a rien à voir avec le débat, j'avoue.

     

     

    En tous cas à mon avis il n'est pas question de rouvrir le débat éternel sur l'intérêt des deux mots, les deux étant utiles pour les initiés ; la question est bien de mettre plus en avant le lien entre le mot "planeur" et tout ce qui est lié aux activités de la FFVV.

     

    Plutôt que de râler sur la présence du lien "FFPLUM" en tête, on peut s'interroger sur les actions qu'ils ont mis en place de leur coté pour que l'ULM véhicule une bonne image, soit présente sur google sans photo de crash d'ULM en première page (vérifiez!)...

     

    L'autre axe de progression, à mon avis, c'est le fait que le public pense qu'en l'absence de moteur, le risque d'accident est fort. Mais ça, on aura du mal à faire évoluer les esprits... Et donc on restera surréférencés sur google pour les accidents.

  2. Si on analyse un peu plus les résultats, ni le site de la FFVV, ni planeur.net, nos deux meilleurs ambassadeurs vers l'extérieur, n'apparaissent dans le top... 100.

     

    Planeur.net apparait en tete de liste en tant que site web non commercial ... nan ?

     

    A+

    En fait j'ai compris pourquoi je n'avais pas les mêmes résultats, j'étais sur google.com. Au temps pour moi.

  3. en +, déja la FFPLUM nous avait piqué des parts de marché lors de la campagne Azzaro Chrome avec le gamin et son père dans un planeur, puisque le lien "en savoir plus" pointait vers la FFPLUM !

    C'est un peu hors sujet, mais pour ce cas précis, il me semble qu'il suffisait de contacter les administrateurs du site avec le lien "en savoir plus". Il me semble même qu'un club de planeur en a profité...

    À vérifier, je n'ai pas accès à cette page d'ici.

  4. Si on analyse un peu plus les résultats, ni le site de la FFVV, ni planeur.net, nos deux meilleurs ambassadeurs vers l'extérieur, n'apparaissent dans le top... 100. Par contre St-Flo doit récupérer un sacré paquet de "VI-internet".

    Et on voit aussi que la page wikipédia est en numéro 1, à nous de veiller à ce qu'elle soit objective !

  5. Je vous livre la réflexion de mon fils sur son blog

    Avec humour bien sur ,mais avec ce lien il consultera également le site de la Fé dé

     

    "Là, quand même, ça me la coupe...

    Bientôt 70 piges et inscrit sur FB...

    Y'a plus de morale ma pauv' dame :lol:"

    :lol: :lol:

    Pour ceux qui pensent encore que s'inscrire ou pas sur facebook, ce n'est qu'une question d'âge ou d'être "in", un article pour vous convaincre qu'on peut aussi choisir de ne pas s'en servir pour d'autres raisons :

     

    Article sur Rue89

     

    Voilà, je me considère pourtant jeune et particulièrement au fait du fonctionnement du web 2.0...

     

    Après, libre à chacun de communiquer comme il le souhaite et si la fédé y voit un avantage, très bien. Mais pour être honnète, je ne vois pas ce qu'un blog (chez un hébergeur transparent) avec flux RSS a à envier à facebook, pour l'utilisation qu'en fera la fédé (transmettre des infos en direct).

  6. pendant ce temps là le planeur, malgré de grandes variations d'assiette et d'inclinaison, continue de monter: j'ai regardé dans le livret bleu, j'ai toujours pas trouvé le lien de cause à effet... :P

    Juste à titre de précision : je déconseille fortement de tenter de "déballaster" ailleurs qu'en spirale...

    En pilotant avec les genoux on monte quand même, même mal, on ne perd jamais qu'une trentaine de secondes (et encore)

    Par contre une transition non pilotée... C'est assez facile de perdre 100, 200m voire plus en 3 minutes si on ne fait pas attention. En concours par exemple, ça énerve un peu.

     

    (...)

    Est-ce que tu as dû te "débreller" durant cette manœuvre ???

    J'avoue que, pour ma part, je me détache à chaque fois. Ce n'est sans doute pas le plus prudent mais ça fait gagner un temps fou...

     

    Et pour la technique, une solution testée et approuvée est le sac (biodégradable ou congélation au pire, comme dit plus haut) affublé à l'avance d'un carton de rouleau de PQ pour s'épargner les manipulations délicates de mise en place.

  7. Bonjour,

    j'ai aussi dressé une liste de tous les planeurs que je pouvais répertorier, mais d'une façon plus "cartésienne", ou plus tôt, plus comptable fichier Excel)...j'en m'en suis arrêté à ~2000, quand j'ai appris qu'il y avait un sujet de sa très gracieuse Majesté -qui vole à Aspres à l'occasion- qui a fait une liste des planeurs comportant plus de...10000 modèles !! Ils sont répertoriés par pays.

    pour ma part je les ai classé par ordre alphabètique de constructeur...

    En attendant félicitations, et surtout bon courage...

     

    Tant qu'on parle de listes de planeurs méconnues... Citons aussi l'article anglais de wikipedia http://en.wikipedia.org/wiki/List_of_gliders qui en répertorie tout de même 1148 (et dont un début de traduction existe aussi en Français, mais est loin d'être aussi complet).

    Et sailplanedirectory.com n'est pas en reste.

     

    ... Toutes ces initiatives sont très bonnes, mais c'est tout de même dommage de ne pas essayer de communaliser un peu tout ça :rolleyes: .

  8. La première création de l’usine fut un planeur d’initiation, le BRO 11 « Zyle », suivi du LAK-16. Le LAK 16 est un planeur très simple de 9 mètres d’envergure pour un poids à vide de 100kg ; ce planeur est étudié pour la formation des jeunes des écoles primaires, à partir de 8 ans ! Un treuil tracte les LAK 16 à 55 km/h à quelques mètres du sol. Les LAK 16 sont très populaires en Lituanie chez les adolescents. Ils sont encore couramment utilisés actuellement.

     

     

    Le Lak-16 pour les gosses... ça c'est excellent ! En cherchant rapidement sur google images, on voit effectivement un gosse de 10 ans en vol à quelques mètres au-dessus du sol, c'est le top pour recruter des jeunes ! :rolleyes: <_<

    Évidemment, règlementairement, de là à faire ça en France... <_<

     

    Merci pour ces rappels historiques.

  9. En avion ou en planeur équipé, le flash FFA est utile, sans doute.

    En planeur... J'aimerais bien avoir des avis. Parce que ce genre de situation n'arrive pas qu'en cas d'imprudence délibérée (pompe exploitée un peu trop longtemps).

     

    Récit rapide de mon expérience, sans doute ma plus grosse frayeur en planeur, il y a 3-4 ans.

     

    Vol d'onde dans les pyrénées, nous sommes autour de 4500m, le sommet des nuages est autour de 4000 - 4200m (très irrégulier) et la couverture est déjà autour de 6-7/8. Je suis en mono derrière un second planeur (biplace, 100m plus haut).

    Les nuages doivent faire 1000 - 1500 m d'épais et le relief atteint parfois 3000.

     

    En transition entre deux ressauts, nous constatons que les trous commencent à se refermer. Nous sommes évidemment assez loin du prochain (3km environ)... cap dessus.

    La transition n'étant pas bonne, je me suis retrouvé de plus en plus près du sommet des nuages, ma seule indication sur la proximité du trou étant l'info donnée par l'autre planeur. Progressivement, je rentre dans le nuage et la visi vers l'avant s'amenuise, la seule référence restant le ciel... dont l'angle de vue, évidemment, diminue à vue d'oeil (c'est pendant cette période, une à deux minutes ponctuées d'appels radio type "anne, soeur anne, ne vois-tu rien venir" que je me souviens avoir eu une trouille bleue due au fait que je n'avais aucune solution à l'esprit).

    J'ai terminé par qqs secondes (2,3 seulement, par chance) sans aucune visibilité, puis suis arrivé dans le trou de foehn tant attendu et ai plongé plein AFs pour rejoindre le terrain, sachant que j'évaluais ma position comme suffisamment loin du relief... et tout s'est donc bien passé, fin de l'histoire.

     

    Bref, mes conclusions sur l'événement :

    * En onde (et pas que, d'ailleurs), les conditions de nébulosité peuvent évoluer très vite

    * En venant d'au-dessus, les solutions qu'on peut imaginer dans la machine ne sont pas légion (sortir tous les AFs et attendre, ça ne marchera pas)

    * et surtout, le fait est que j'aurais pu (et dû) faire demi tour au début plutôt que de tenter la transition d'un ressaut à l'autre avec ~500m de marge. La prise de risque était due au fait que je suivais une autre machine (laquelle, avec ses 100m de marge, a d'ailleurs raccroché).

     

    Voilà, si ce retour d'expérience peut être utile à quelqu'un, je n'aurais pas perdu ma journée ;-)

  10. De manière plus générale, c'est vrai que nombreux sont les pilotes qui focalisent trop sur la mise en virage et en oublient le reste de la sécurité...

     

    Je ne compte plus (et pourtant je ne suis instructeur que depuis moins de 5 ans) les élèves ou pilotes plus ou moins confirmés que j'ai repris en main/relaché etc. qui assurent la sécurité de manière parfaite à la mise en virage (parce qu'on leur a toujours reproché à ce moment là) mais qui oublient complètement que c'est aussi très utile en sortie de virage, en virage prolongé plusieurs fois par tour etc.

     

    À mon humble avis, c'est aux instructeurs d'être vigilants, que ce soit en formation de base ou après.

     

    Je rejoins l'auteur du post pour dire qu'on accorde (parfois hein! heureusement ça ne concerne pas tout le monde) presque trop d'attention à la mise en virage au détriment du reste.

  11. Le bureau d'études de chez DG est composé de 3 ingénieurs: W. Dirks qui chapote le tout, M. Harms responsable du Dg1001, et C. Mandle responsable DG10 (enfin il a quitté Dg :pinch: :pinch: ). Un ingénieur chez Dg reste en moyenne 1 à 2 ans dans la boite (M. Harms venait juste d'arriver quand j'ai commencé mon stage...) Et donc pendant mon stage M. Harms et W. Dirks se sont presque exclusivement occupés du développement du DG1001M, C. Mandle lui s'occupait du DG10 et de Dg kunststofftechnik.

     

    Il y avait en moyenne 3 stagiaires dans le bureau d'études, on avait surtout les tâches ingrates à faire (réalisation des manuels de maintenance des anciens et nouveaux planeurs) sachant que nous étions payés 250€/mois, vous pouvez calculer le coût totale d'un manuel de maintenance sachant qu'il faut compter 2 semaines de travail par manuel.

     

    Maintenant par rapport au forum, il faut savoir que la majorité des plans des LS et DG ont été scannés, le temps perdu par un ingénieur répondre à une question technique est donc assez faible... entre 5 et 15min

     

     

    PS: j'ai fait une petite erreur dans mon premier message, le stagiaire à refait tout les manuels des LS (du ls1 au ls9, ls8 exclu)= petite pensée pour toi Rom'

     

    Maintenant concernant les tarifs des pièces de rechanges, il faut savoir que DG se fait une marge de XXX par pièce.

     

    Exemple: cet été j'ai cassé mon train de ls1, je suis donc allé au magasin racheté certaines pièces elles étaient hors de prix genre 800€ la commande... je suis allé par la suite sur le logiciel de gestion du magasin et à ma grande surprise j'ai découvert que le prix d'achat par DG était de 250€

     

    A vous de calculer la marge :blink: :blink: :blink:

     

     

    Et svp ne me sortez pas l'argument comme quoi les stagiaires font perdre du temps aux ingénieurs...

     

    Bah dis, tu as l'air d'avoir vachement apprécié l'ambiance de chez DG :rolleyes:

  12. Autre façon d'exprimer la même chose: est-ce aux nouveaux acheteurs de DG808C ou LS10ST de financer le support de type pour les pilotes de LS1 ou des DG200 ? ;)

     

    Personne n'a envie de payer, c'est bien normal

     

    Sauf que... en général, un DG808 ou un LS10, c'est un privé ; un LS1, c'est un club.

     

    Un LS1 à 20€ de l'heure, 100h par an dans un club "moyen", les 200 et qqs euros annuels de plus... bah ça risque fort de faire réfléchir les clubs, si 20% des heures volées par an servent à payer le suivi d'un planeur de 30 ans d'age hérité des X bureaux directeurs précédents...

    Pour un privé, en général la question de "rentabilité" se pose moins (même si le planeur ne coute pas grand chose).

     

    Bon, cela étant, si cette nouvelle fait baisser les prix des LS8 de 5000€ à l'occasion, c'est quand même un bon calcul d'en acheter un, même pour 20 ans d'utilisation ;-)

  13. À Luchon, on peut aller en train, décoller au treuil ou au remorqué, accrocher l'onde à partir de 100m/sol (expérimenté sur casse cable treuil en 2007...)

    Bref, beau terrain en pleine montagne.

     

    C'est le terrain qui correspond le mieux au cahier des charges !

     

    Je peux fournir des contacts (par message perso) de gens qui seront ravis de t'accueillir.

     

    Sinon, Saint-Gaudens, Saint-Girons, Puivert offrent de belles possibilités aussi. Mais sans le treuil (sauf Saint-Girons, mais pour accrocher au treuil à un autre moment qu'en plein été, c'est pas gagné).

     

     

    Sinon, on peut aussi s'égarer quelques jours légèrement au nord des pyrénées et arriver à la montagne noire un jour de nord-ouest, c'est bien aussi :)

  14. Blague à part, ayant pas mal bourlingué, il faudrait savoir ce que tu appelles "montagne".

     

    C'est vrai ça, il n'y a pas que les Alpes en France !

     

    Certes, ce n'est pas la même montagne, mais il me semble que pour répondre à certaines des conditions de base :

     

    - Avec un treuil pour reduire les couts

    - Ou l'on puisse voler toute l'annee et si possible avoir de l'onde

    - Un club jeune et dynamique qui vous aides a faire de la campagne, de la competitions etc...

     

    Je vois au moins La Llagonne et Luchon, dans les Pyrénées, qui répondent en partie au pb posé (treuil + très bonne onde en hiver + voler tant qu'il n'y a pas de neige sur la piste).

     

    Voilà, c'était juste mon message d'intégriste du sud-ouest :cold:

  15. 8% de vol eb CP me semble faible :

    - il y a p-e bcp de déclaration et peu de vol effectivement réalisé en CP ....

    - Il y a p-e un désintéressement du CP : si oui j'essaie simplement de comprendre "pourquoi"

    - il y a p-e des difficultés a se fixer un vol comme prevu le matin : pas le temps, manque analyse meteo, ....

    - .....

     

    Dans mon club, je constate les raisons suivantes au manque de CP (zéro en 2009 sur 54 vols) :

    - Arrivée trop tardive pour préparer le comme prévu (l'ordi avec seeyou est à 1km du hangar)

    - Cette année, les rares fois où il y a eu des déclarations avant le décollage, la météo n'a pas du tout été au rdv

    - Qqs pilotes n'y voient tout simplement pas d'intérêt (le pilote qui saute dans son planeur, allume le LX et décolle immédiatement par exemple)

     

    Bref, tout ça pour dire que dans mon club (qui malgré le faible nombre de vols enregistrés est relativement gros), les raisons ne sont pas du tout liées à la netcoupe, c'est déjà un outil fantastique !

    Et à mon humble avis, ce n'est pas le seul club dans ce cas...

     

    Promis, en 2010, je m'arrange pour qu'on fasse mieux :cold:

  16. "Autour" de Toulouse, j'ai volé en planeur à La Montagne Noire, Saint Girons, Moissac mais il me semble que l'énumération oublie Bourg-Saint Bernard, où j'ai volé aussi. Je n'ai pas réussi à voler à Puivert...

    Effectivement, j'ai limité avec la condition "proche de la montagne"... Sinon, les toulousains volent aussi à Cahors, Moissac, Graulhet, Bourg-St-Bernard, Auch, Condom, Nogaro, Tarbes et...

     

    ...La Llagonne que j'ai oublié dans la catégorie "clubs des Pyrénées". C'est le plus éloigné (>2h de Toulouse) mais il parait que l'aérologie vaut le coup. Je n'ai pas encore essayé mais ça ne saurait tarder (prévu pour les 26/27 septembre avec la SWAF).

    Site : http://planeur-la-llagonne.com/

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