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thierrychaufour

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  1. sauf que comme je le disais c'est recurent sur le bulletin de BFC depuis la mise en place de "l'amelioration" m'enfin...
  2. Ci-dessous le bullettin "production vol à voile" pour demain sur bourgogne franche comte Bulletin du dimanche 26 aoû 19:51 locale pour lundi 27 aoû Conditions favorables Commentaire Retour de conditions anticycloniques avec un temps bien ensoleille et une masse d'air tres seche. Apres la dissipation de l'inversion nocturne, conditions correctes en thermiques purs mais convection limitee par la secheresse de la masse d'air. comme c'est reccurent et que je ne sais pas comment faire pour demander au redacteur du bulletin s'il ecrit ca uniquement par rapport au fait que sans cum il n'y a pas le petit plus du à la liberation de chaleur latente, je poste ici, esperant que peut etre quelqu'un pourra faire remonter la demande ?
  3. sauf qu'en vol libre c'est aussi beaucoup l'existence d'un decollage qui explique la pratique et juste pour info il n'y a pas la meme logique de declaration , a regarder pour les endroits que je connais ca explique en fait l'essentiel des trous...
  4. Je vous invite à aller voir ceci flotabilité Au prealable il faut avoir lu ca couche convective et ça rasp alpes le site complet
  5. pourriez-vous me donner un élément d’explication ? Qu’entendez-vous par qualité des thermiques? constante ou vitesse ascensionnelle? S’il s’agit de la puissance moi il me semble que les Vz décroissent plutôt avec l’augmentation de la tranche convective. C’est exactement mon ressenti même si les point de rosée n’atteignent pas ici les mêmes valeurs. mais donc si on suppose donc que la vapeur d’eau peut céder plus facilement de l’énergie à l’environnement "extérieur" du thermique par conduction, pourquoi ne serait-ce pas le cas avec "l’intérieur" du thermique ? d’où mon hypothèse de la "capture preferentielle" de la chaleur latente d’une condensation partielle par les goutelletes d'eau liquide en suspension avant peut etre une egalisation un peu plus tard. ainsi dans un premier temps l'air devenu plus sec et pas encore plus chaud ralentirait ? Du coup je répète ma question (désolé si c’est une idiotie ? ) : pour une température de départ et une quantité (totale) d’eau donnée, la proportion gaz / liquide est-elle obligatoirement fixe jusqu’à l’altitude de condensation totale ou suit-elle une variation avec la pression ? s’il y a évolution avec la pression, c’est donc qu’il y a libération de chaleur latente au fur et à mesure du gain d’altitude ,non ?
  6. Bonsoir, Si je devais dire ce qui me semble le plus caractéristique des ascendances dans une masse d’air humide c’est surtout qu’elles sont plus versatiles, i.e. varient nettement plus d’intensité et de forme jusqu’à facilement passer en dessous du seuil qui me permet de monter alors que ça partait bien (oui je sais c'est possiblement aussi moi qui sais pas centrer une pompe). J’aimerais votre avis sur l’hypothèse suivante que je ne peux exprimer que sur un plan qualitatif. Si quelqu’un peut quantitativement infirmer ou confirmer ? 1- L’échauffement du sol provoque l’augmentation de température d’une bulle d’air au contact 2- la bulle se détache et connait un mouvement vers le haut 3- il y a détente de la bulle. C’est là que j’introduis une première supposition peut être totalement idiote : il y aurait condensation partielle de la valeur d’eau. Celle-ci nous serait invisible parce que très relative. La question dans le fond est en fait : pour une température de départ et une quantité (totale) d’eau donnée, la proportion gaz / liquide est-elle obligatoirement fixe jusqu’à l’altitude de condensation totale ou suit-elle une variation avec la pression ? Je ne sais s’il faut voir dans les bases parfois pas plates du tout la preuve que la condensation est progressive ou si c’est uniquement la conséquence d’une humidité non homogène de l’air ascendant ? 4-cette condensation implique la libération d’une certaine quantité de chaleur latente 5-la chaleur produite serait dans un 1er temps récupéré par (le reste de) l’air, ce qui aurait donc comme conséquence d’améliorer l’ascendance 6- mais dans un second temps il y aurait transfert d’au moins une partie aux gouttelettes d’eau liquide, en fait en quelque sorte répartition, égalisation, ce qui a l’inverse provoquerait donc le ralentissement de l’ascendance. D’où les variations dans les lifts que je constate si souvent. Ou alors l’inverse ? (capture par l’eau liquide en premier à cause de la meilleure conductivité thermique de l’eau liquide par rapport à l’air puis égalisation par réchauffe de l’air) ? Je vous l’avais dit c’est une hypothèse… que je résumerais ainsi d’une expression : déphasage temporel dans la capture de la chaleur latente de condensation partielle.
  7. je voudrais pas flooder mais je serai curieux de savoir quelle perf ca peut avoir cet engin ?
  8. Top cette vidéo ! on voit encore bien plus de chose. Il semble bien que le tore capture de la fumée dans le panache pour ensuite le perdre petit à petit par éjection. A la "fin" on voit l’anneau finir par se tordre complètement et la fumée se diluer. Tant que ça tourne il y a concentration de fumée dans le "tuyau" et c’est donc qu’il doit y avoir forte dépression. Du coup ca élimine de fait l’hypothèse de la bulle perdant peu à peu sa surface externe par frottement. Si je comprends bien le fonctionnement du rond de fumée, c’est le frottement de la bulle d’air ejectée sur le bord de la bouche qui en ralentissant l’air initie le mouvement rotatoire donnant lieu à la dépression et ainsi de suite jusqu’à ce que le système s’arrête à cause des frottements accumulés ? Oui mais comme dans le cas du volcan l’anneau ne semble pas avoir la dimension des lèvres il faut donc supposer que c’est le frottement de la bulle de gaz avec le magma au moment où elle sort ? Ce qui semble cohérent avec le fait qu’ensuite le diamètre de l’anneau s’accroit … D’un autre coté le gaz éjecté est forcément très chaud donc il doit aussi y avoir un effet de nature "thermique" ?
  9. Bonjour, On voit ici tore à 2.15 la preuve définitive de l’existence d’ascendances thermiques sous forme de tores. J’aimerais bien comprendre le mécanisme à l’œuvre pour cet "objet" aérologique. Si les "physiciens" peuvent éclairer ma lanterne … :rolleyes: Pour que le phénomène se poursuive au-delà d’une rotation, il faut forcement que la totalité de la masse d’air constituant le tore soit plus chaude que l’air environnant. Mais alors qu’est ce qui peut bien forcer la "bulle" à prendre initialement cette forme ? Ce pourrait-il que ce soit une trop grande vitesse au départ qui fasse que la masse d’air supérieure pénétrée "appuie" tellement fort sur la couronne extérieure qu’elle la ralentisse au point d’initier le mouvement pour ensuite être "re-aspirée" par la dépression sous le centre générée par le déplacement très brusque de l’ensemble et/ou l’absence de réalimentation par le bas suffisante pour former une vraie colonne ? Ou alors en fait n’est-ce qu’une bulle perdant peu à peu sa surface externe par frottement ? mais alors ça doit s’arrêter assez vite ?
  10. Oui mais si on prend la peine de lire plus que le titre, on constate rapidement que l’auteur remet en cause ce qui fonde, il me semble, la modélisation servant à la prévision … Je ne suis pas, loin s’en faut, un spécialiste de ce domaine mais il est clair que tout modèle numérique n’est jamais que la matérialisation d’un ensemble de concepts théoriques, ici ceux devant décrire la circulation atmosphérique terrestre globale. Or à ce qu’il semble il y a controverse sur la mécanique réelle du système (causes / conséquences …) Suis-je le seul à avoir cette désagréable impression d’une certaine idéologie dominante comme tant dans d’autres domaines dit "scientifiques" ou le doute n’est pas permis jusqu’au jour ou … ? :wacko: Il me semble pourtant que confronté tous les jours à la réalité de la qualité de la prévision… , l’homme volant sans moteur devrait être moins prompt à avaler de telles couleuvres. :!!:
  11. Je ne suis pas certain de savoir ce qu'est un modéle numerique climatologique mais il me semble bien que c'est un outil statistique dont le but est de degager des moyennes et non pas de representer la circulation. ou voyez vous que ce serait le cas dans ce qui est proposé ?
  12. Circulation générale ou on peut lire : Bien que la réalité physique des cellules de Hadley ait été remise en cause... du coup si on cherche un peu à propos des cellules de hadley, on trouve ça par exemple ... Mon lien B - La dynamique générale de l'atmosphère La circulation générale de l'atmosphère La circulation générale de l'atmosphère (CGA), ou plus précisément de la troposphère, est le sujet fondamental de la climatologie, mais il n'a pas encore abouti. Depuis les débuts de la météorologie, au moins depuis le premier schéma proposé par E. Halley en 1686, puis par G. Hadley en 1735, de nombreuses propositions ont été faites, de multiples schémas ont été proposés, mais il n'existe pas encore de modèle de CGA unanimement accepté. Le modèle de circulation tricellulaire (cellules polaire, tempérée et tropicale, dans chaque hémisphère), proposé par Ferrel en 1856 a été discuté, amendé, puis rejeté vers 1950 par la communauté scientifique. Mais ce modèle à trois cellules fermées dans chaque hémisphère, avec le modèle dit de Palmen et Newton (1969) fortement inspiré du précédent, est encore reproduit partout, le modèle tricellulaire (en dépit de son rejet - justifié - il y a 50 ans) étant néanmoins celui qui est utilisé par les modèles numériques. Pourtant ces modèles n'apportent pas de réponse à la multitude de questions encore en suspens, notamment parce qu'ils ne donnent pas une image réelle des échanges méridiens et parce qu'ils n'intègrent pas les perturbations. Cette absence de schéma de circulation générale laisse ainsi toute "liberté" de rattacher n'importe quel phénomène météorologique isolé à un ou plusieurs autres phénomènes - au gré de la fantaisie ou des besoins, ou simplement du hasard - puisque la place précise de chacun n'est pas exactement reconnue dans la chaîne des processus, le sens réel des enchaînements étant ignoré et les relations physiques n'étant pas déterminées. L'effet peut alors indifféremment être considéré comme la cause, ou inversement. ...
  13. Oui bon ok pour la qté d’air totale sur une verticale vu la différence d’épaisseur M’enfin de là à dire que c’est pas là que c’est le plus "actif" … les vents catabatiques c’est pas du nougat non plus il semble. Des vents très forts, du relief a 4000 & 6000 & donc, oui j’insiste, beaucoup d’air (quantité de matière) dans cette tranche inferieur ça fait beaucoup d’énergie cinétique point barre, non? Mais en fait à lire je sens poindre le désaccord fondamental …Ou l’on confond les causes (l'anticyclone, l’air froid, la masse, l’énergie cinétique …) & les conséquences (la dépression créé par le déplacement de la masse d’air froid) même si bien sûr il y a rétroaction.
  14. Re, J’ai encore une question existentielle … Puisque : le maillage le plus fin étant sur la France et le plus grossier aux antipodes. Ne serait-ce pas (une) explication de "l’assez" mauvaise qualité de la prévision a plus que quelques heures en avance ? Aux pôles il fait (très) froid, il y a donc comparativement bien plus d’air (température ==> densité ==> qté de matière) qu’ailleurs & en plus en fort mouvement giratoire par-dessus un sol très "compliqué" (chaine de montagne à 4000 & 6000m quand même). Cela signifie clairement que l’énergie cinétique mise en jeu "la bas" est massive. De là à ne pas être de capable de bien voir arriver sous nos latitudes une cellule anticyclonique, il n’y a qu’un pas je crois. Il me semble que c’est un peu comme si on simulait super précisément la circulation d’air à l’intérieur d’une maison sans tenir compte de l’apport du milieu extérieur autrement que sur un mode jour-nuit.
  15. merci pour la réponse. J’en profite… Je ne comprends pas très bien ce qui fait la différence entre les modèles ? les bases mathématiques / physiques sont pourtant les mêmes pour tout le monde il semble. Ou alors est-ce que les calculs sont optimisés pour être plus rapides et donc pouvoir définir des cellules plus petites pour un même temps de calcul ? Mais alors pourquoi conserver les anciens modèles ? y a-t-il une notion de qualité de résultat ?
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