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florent

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Messages posté(e)s par florent

  1. Ca c'est pas de l'épreuve de Mickey!!!!

    Quasiment tout le monde a tourné, c'est top. Est ce qu'un 1000 avait déjà été lancé et réussi en Chpt, je crois pas

    En plus c'est bien ça enlève le pb du choix de l'heure de départ, c'est une bonne idée.

    Florent

  2. Hello,

     

    Nous venons de casser la verrière d'un de nos pégases :D:D:P et cherchons une solution pour la remplacer.

    Je cherche des infos pour savoir ce qu'il y a de mieux à faire et ce qui prendra le moins de temps pour que ce planeur soit à nouveau opérationnel.

    La solution d'acheter le plexi et de le mettre en place nous même ne sera pas retenue car cela demande des compétences et du temps dont nous ne disposons pas de façon suffisante.

    Est ce que quelqu'un sait si Centrair fait encore des verrières Pégase?

    J'ai aussi entendu parler d'une boite en Suisse qui s'appelle Mécaflex et qui s'occupe de ça, des infos?

     

    Merci d'avance pour les renseignements.

    Serrez bien vos sangles en vol surtout en montagne (c'est trop con mais ça arrive pourtant...) et bons vols

    Florent Treilhes

  3. Le LS8 c’est le top du top Les seuls petits défauts selon moi étaient le frein au pied vraiment pas pratique et la cambrure du baquet au niveau des genoux qui n’autorise que les beaux gosses aux jambes de plus de 2m à se sentir vraiment bien dedans.

    Le premier défaut semble éliminé c’est bien. Si le deuxième défaut est aussi amélioré je ne vois franchement pas ce qu’on peut faire de mieux point de vue planeur (à part peut-être le Ka8 si une amélioration du confort était prévu et encore…).

    Je suis en train de faire le chèque mais j’ai oublié le prix du planeur si quelqu’un peut me le donner rapidement comme ça je pourrai poster la lettre de commande ce soir, merci :)

  4. Même si ça ne répond pas directement à la question initiale, je poursuis sur la question de la monofréquence en concours. Même si je suis pour sur le principe, faire son vol et reconnaître la valeur propre du pilote ( Eric nous a bien montré ce que c'était à Issoudun…) c'est très bien, mais je crois qu'aujourd'hui c'est un peu inconscient d'appliquer cette règle.

    Personnellement j'ai fait 2 championnats seniors Vinon et Issoudun avec cette règle, et j'ai à chaque fois déplombé la radio en vol. A Vinon en raccrochage sur Seyne dans le tour de piste en leur signalant ma position et avoir les infos pour me poser éventuellement, j'ai raccroché et finit le vol. Le même jour du côté de Saint Auban un troupeau de planeur est venu raccrocher dans le local sans passer sur le fréquence, augmentant les risques de collision dans une zone dense en matière de planeurs et mettant maître Poulet bien en colère

    A Issoudun on nous a envoyé virer un pont tout près du terrain du Blanc, en signalant au briefing qu'il y avait du largage toute l'après-midi sur zone!!! J'ai vu partir un open sous l'étalement verticale terrain, heureusement j'ai aperçu en passant plus au nord que les deux pilatus étaient au sol mais dans le cas contraire…

    Avec le terrain de Châteauroux tout près passer en monofréquence moi je trouve ça moyen donc je déplombe à chaque fois.

    La classe E est trompeuse dans le sens où le contact radio n'est pas obligatoire et que l'on peut trouver des arrivées IFR où les pilotes en percée ont tendance à se croire protéger parce que habituellement ils se trouvent dans des espaces D.

    Je dis ça parce que je l'ai testé en IFR en classe E sur le terrain de Troyes où je vais assez souvent en planeur. Je me suis senti assez mal à l'aise à faire des attentes en Baron 200m sous les cumulus et à faire des calculs sans assurer réellement une bonne sécurité.

    Une autre fois en remontant du sud de la France, en IFR nous avions reçu le niveau 60 (TB20) pour la croisière ce qui nous faisait passer à 140kt à 100m sous de magnifiques cumulus.. Nous avions demandé un niveau sup .

    Alors bien sûr normalement en IFR en Condition VMC en classe E ou en espace non contrôlé les pilotes d'avion sont sensés regarder dehors mais bon ça c'est de la théorie. Moi perso je préfère me signaler dès que j'arrive sur un terrain où il y a possibilité d'arrivée IFR.

     

    La compétition en vol à voile demande beaucoup de ressources et du champion au débutant, le trafic radio ça rajoute des contraintes qu'on a plutôt envi d'esquiver si on nous l'autorise.

    Je n'en ai pas après les organisateurs, qui ne sont pas tatillons sur le respect de cette règle puisque que j'avais prévenu le plombeur à Issoudun que je déplomberai certainement en l'air et ça ne lui posait aucun problème. A Vinon c'était pareil.

    Mais moi ça me gène cette semi-hypocrisie sur ce point de règlement, soyez clair sur le sujet en mettant l'accent sur la nécessité de contacter même lorsque l'on en est pas obligé.

    De tout ça je n'en était pas vraiment conscient il y a encore peu de temps…

  5. Un peu de culture, si on peut dire, qui servira peu-être à certains ch'ti picards ce week end....

     

    Bons vols et @ plus

     

    Florent

     

     

    DESCRIPTION

    La betterave à sucre appartient comme l’épinard et la blette à la famille des chénopodiacées. Les variétés de betterave sucrière cultivées actuellement sont issues de la betterave " blanche de Silésie " sélectionnée à la fin du XVIIIème siècle par le chimiste allemand Achard.

     

    C’est une plante bisannuelle pour sa reproduction qui s’effectue par graine, mais sa récolte est annuelle. La première année, elle se développe et constitue ses réserves de sucre dans la racine. La seconde année elle utilise le sucre en réserve pour se reproduire.

     

    La racine est le " magasin " dans lequel s’accumule le sucre, sous forme de saccharose. Presque entièrement enfouie dans le sol, elle mesure entre 15 et 35 cm de long. Elle est conique, parcourue par deux sillons, et possède un collet plat. La partie renflée qui contient le plus de sucre se termine par un pivot, dont le prolongement peut descendre jusqu’à 2 m de profondeur.

     

    Ses feuilles, réparties en bouquet, constituent le laboratoire où se fabrique le sucre grâce à l’action du soleil sur la chlorophylle (processus de la photosynthèse).

     

    Ses fleurs, simples, sans pétales, se dressent en épis à l’extrémité des tiges. Le fruit, ou glomérule, contient les graines.

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