www.planeur.net | www.netcoupe.net | www.volavoile.net
Aller au contenu

Yurek

Membres
  • Compteur de contenus

    1 355
  • Inscription

  • Dernière visite

Messages posté(e)s par Yurek

  1. Bien que pilote avion, je ne suis pas remorqueur, le remorquage je ne le connais donc (comme la plupart des vélivoles) que par l'autre bout du câble.

    Je crois que la question posée par Jean-Philippe mérite plus d'attention qu'un simple test des connaissances. Je m'explique par un exemple :

    - c'est un un jour d'été (il fait donc plus de 25°C), sur une grande plate-forme dégagée, avec 900 m de piste gazonnée (on ne s'y pose jamais la question de distance de décollage);

    - à peine avons nous mis les planeurs en piste, le vent a tourné de 180° : changement de piste !

    - les décollages commencent sur l'autre QFU; quand je commence à m'installer dans la cabine du Pégase, troisième dans la queue pour décollage, le vent commence à tourner de nouveau; pas de panique : ce ne sera pas mon premier décollage vent de travers;

    - lorsque mon tour arrive (une demi-heure plus tard), le vent est déjà carrément arrière et bien établi;

    - j'appelle donc le starter et dis au moniteur responsable des vols ce jour-là, qu'il faudrait changer de piste; la réponse est "oui, oui, on va la changer, mais après ton décollage... à moins que tu te sens pas";

    - moi, peur ? jamais ! on décolle;

    - mon Pegase se lève bien sûr plus tard que d'habitude, mais ce n'est pas grave : nous avons 900 m de piste devant nous !

    - mais centaine après centaine des mètres, notre Rallye (hélice quadripale - quel silence !) roule toujours, je suis concentré sur ma position verticale : il ne faudrait pas que je lui lève la queue !

    - le bout de piste est déjà proche quand ses roues quittent enfin le sol;

    - le remorquer garde le silence, le starter se tait, et moi je ne veux pas passer pour celui qui se dégonfle : le bout de piste est déjà là, après c'est la ville avec ses lampadaires et ses bâtiments - il faut impérativement dégager;

    - sur le trajet de dégagement une décharge, avec ses tas des constructions métalliques enchevêtrées et ses monticules des gravats, elle est maintenant devant nous et si le silence du remorqueur peut passer pour une expression d'assurance, moi j'ai chaud dans ma cabine (pas étonnant : il y fait certainement plus de 30°C !), je peux même compter les boutons rouillés sur le fronton de la gazinière la plus proche...

     

    Evidemment, rien ne s'est passé, puisque vous pouvez lire ces lignes. :rolleyes:

    Mais la question que Jean-Philippe a posée, je la lis, moi, de façon suivante : au-delà des performances théoriques d'un avion, quelle est la conscience du risque lié au conditions du lieu et du moment, qui font que la marge de sécurité habituelle avec laquelle nous fonctionnons se réduit comme peau de chagrin...? :mdr:

  2. Ah ! Mon cher Christian, si je ne te connaissais pas, j'aurais pu en déduire une méchante intention, ou même une tentative de mettre en doute la qualité intrinsèque de notre joujou préféré de Silent ! :rolleyes:

    Mais comme je te connais, je sais que tu n'es ni méchant, ni taquin, et je comprends parfaitement qu'il s'agissait d'une plaisanterie... :mdr:

    Car nous, chez Alisport/Delta Omega/Yankee Romeo, nous avons un sens d'humour très développé. :mdr:

    Quel esprit sensé pourrait, d'ailleurs, douter de la qualité de ce planeur, sachant que 50 exemplaires de Silent-IN / Club ont déjà été vendus, à la grande satisfaction de leurs utilisateurs (les témoignages sont disponibles sur la page Yankee Romeo) et que le dixième Silent-2 de série a déjà battu les records du monde de sa catégorie en distance libre et au but fixe...? Si, si, tu nous a bien fait rigoler ! :mdr:

     

    Et en ce qui concerne ma Toyota, sais-tu pourquoi j'y ai comparé notre Silent ?

     

    Eh bien : une Toyota ne tombe jamais en panne ! :D

  3. Ben Yurek, si tu l'avais acheté chez Finesse Max, ton crochet Tost ne t'aurai couté que 317,24 € TTC :mdr:

    C'est promis, Christian, si un jour j'ai besoin d'un crochet TOST pour moi, par exemple pour le monter sur ma Toyota, je l'acheterai chez toi. :D

    Mais en attendant, il ne s'agissait que du prix d'une option, exceptionnelle pour un planeur qui - à priori - n'en a pas besoin !

    Personnellement, je ne vois pas l'intérêt de mettre un crochet de remorquage sur un Silent qui est - je le rappelle - un planeur ultraléger motorisé (bien vu, Robert !). Mais si un client le veut, pas de problème : on va le lui installer.

    Car chez Alisport, chez Delta Omega et chez Yankee Romeo le client est roi ! :rolleyes:

  4. Bravo Gilles !

    C'est la façon tout à fait appropriée pour ce genre d'affaires. Car :

    1) Il est totalement inutile et improductif de faire des appels au bon sens, et encore moins au sens civique, des "teuffeurs" - tout simplement parce qu'ils n'en ont point. Et l'événement dont nous parlons ici, en est la preuve flagrante. B)

    Dans le cas de fêtes tekno, il s'agit du même genre d'idées que des courses de vitesse de nuit dans nos villes, ou la compétition (?) de prendre l'autoroute en sens inverse... Dans les années 80 à Paris, il y avait des rassemblements nocturnes dans les catacombes, évidemment illégaux. Mais ceux-là, au moins, ils ne gênaient personne.

    Les organisateurs ne se nomment pas "illegal-party.com" pour rien. Le fait lui-même de faire quelque chose d'interdit et d'illégal se trouve à la base du mouvement. C'est là, à faire un pied-de-nez à tout le monde qu'ils prennent leur pied. La consommation des drogues y est aussi pour quelque chose. J'en ai déjà entendu qui étaient déçus par ce côté "organisé et légalisé" du Teknival.

    2) La méthode "politique" de nous défendre est aussi indispensable, parce que le problème est amplifié à cause de la politique. Sarko (qui n'a pas que des mauvaises idées) a décidé de "civiliser" ces rassemblements pour faire preuve de son attitude responsable. A l'occasion il a gagné aussi quelques voix, sans doute. Et quand une "tekno party" devient un enjeu politique, il n'y a pas d'autres moyens que politiques pour nous défendre. :(

    3) En plus, il est même probable que nous sommes moins nombreux que les "teuffeurs" (tous les pilotes de France et de Navarre ne sont même pas un pour mille de la population, et que dire de seuls vélivoles?). Et comme l'a dit en 1981 (ou en 82) un éminent socialiste (dont le nom je vais taire par pitié): "Vous avez juridiquement tort, parce que vous êtes politiquement minoritaires"... :P

    Il nous faut donc penser aussi à ça : combien pesons-nous sur la balance électorale sur laquelle louchent constamment les hommes politiques. Cela peut tout de même avoir les côtés positifs, l'exemple donné par Gilles le démontre clairement. ;)

  5. Bon courage, Pegasus !

    T'en auras besoin, du courage, car la guerison fait souvent plus mal que la blessure elle-même.

    Avec Pierre, je te souhaite bon retablissement !

    Et aussi, que tu puisses (et que tu veuilles), dans quelque temps, en pilote averti, revoler encore...

    Merci de ton témoignage, il vaut plus que toute notre discussion.

  6. Le Silent2 peut être équipé d'un crochet de treuillage.

    Le crochet de remorquage est un crochet ULM. Il faut un câble correspondant.

    Après consultation avec l'usine je confirme :

    le Silent peut être équipé en option d'un crochet TOST. :speeeeed:

    La différence est au niveau de prix: le crochet italien coûte 416 €, tandis que le TOST vaut, lui, 660 €. :speeeeed:

  7. En tant que vendeur de Silent, je ne peux apporter que mon appui à Jean-Marie Bernos. B)

    Si ! :P

    En effet, l'idée des créateurs du Silent après le concours de la Classe Mondiale (gagné par PW-5) était de proposer ce planeur aux clubs VàV, comme une alternative peu onéreuse par rapport à des machines certifiées (c'est pourquoi, ils ne l'ont pas certifié). B)

    Mais c'était sans compter avec notre, toute neuve, toute belle, EASA. Une des premières réglementations de cette vénérable agence, était de mettre la barre pour les planeurs non certifiés (donc PUL - planeurs ultra-légers) à < 80 kg !!! ;)

    Exit donc, les départs en planeur d'une pente, juste en le poussant un peu, comme les ont pratiqué nos amis italiens. Car notre Silent accusait, lui, 135 kg sur la balance !!! :rolleyes: Désormais, les seuls planeurs purs Silent qui volent, volent aux Etats Unis... les Européens n'y ont plus le droit. ;)

    Mais en dehors de mont dépit professionnel compréhensible, de ne plus pouvoir vendre ce planeur pur (nous avons toujours notre PULM, autonome, mais c'est un autre sujet), je suis aussi un vélivole, moi. :rolleyes:

    Et en tant que vélivole, je ne peux qu'applaudir à l'initiative de Revilo.

    BRAVO les gars ! Tenez bon !

  8. c'est bien un planeur, et la force motrice est la différence entre le poids et la poussée d'Archimède (dont le sens peut changer selon la densité du "planeur"). S'il est plus lourd que l'eau, il plane vers le fond, sinon en direction de la surface.

    Désolé de te contredire, Bre901, mais les mammifères marins, tout comme les oiseaux marins (et comme nous, du reste) ont un poids volumique (c'est à dire le rapport poids/volume) plus faible que l'eau. Autrement dit, ils flottent naturellement ! :o

    A une condition près, bien sûr, qu'ils aient les poumons pleins... En vidant leurs poumons, ils peuvent faire varier leur poids volumique. Mais ils ne créent aucune portance...

    Pour plonger, ils utilisent (comme nous) la force de leur muscles (les nageoires pour les dauphins, les moignons d'ailes pour les pingouins), et non pas la force exercée par leur poids. :) Evidemment, certains peuvent couler (pas tous), une fois les poumons complètement vides, mais alors, ils sont morts... :(

    A moins que je ne me trompe, les planeurs ne "flottent" pas dans les airs, ou alors ce sont des ballons (montgolfières ou autres), autrement dit aérostats... ;)

  9. Je pense que dans l'eau le pingoin ne "cree" pas de portance : Il flotte grace a la poussee d'archimede. Par contre, on peut se demander quel est le coefficient de trainee d'un Pingoin ?

    Très juste ! :wacko:

    C'est la poussée d'Archimède qui fait flotter un corps immergé entre deux eaux. Les ailes d'un pingouin dans l'eau ne créent pas de portance mais une propulsion. :blink:

    Et effectivement, ce qui permet aux pingouins de nager aussi vite (comme à des dauphins d'ailleurs) c'est leur faible traînée.

    Les mécanismes d'adaptation à la résistance du milieu sont chez les animaux marins aussi complexes que chez les oiseaux, et - comme chez les oiseaux - leur principale ingéniosité consiste en l'adaptabilité aux conditions changeantes.

    Mais les lois de la physique font que ces animaux ont des formes parfaites (pour l'emploi donné) et les chercheurs américains ne se sont pas trompés qui ont donné à leur "underwater glider" (bravo Bre901 pour la trouvaille! :unsure: ) la forme d'un petit pingouin justement.

    La seule chose génante c'est l'utilisation du terme "planeur" (glider) qui est, en l'occurence, totalement inappropriée... :pinch:

  10. Eh bien, Etienne, une critique, pourvu qu'elle soit argumentée et à propos, ne m'embête jamais . :rolleyes:

    Seulement, en citant mon opinion (où j'avais - à tort - estimé que la route tue plus que le vol à voile) tu es passé à côté de l'essentiel de mon message. :P

    Je dois donc me citer moi-même :

    Mais LA SOLUTION absolue n'existe pas ! 

    Il y a - heureusement pour le vol à voile - beaucoup moins des gens qui se tuent en planeur qu'en bagnole, mais comme en parachutisme, en escalade ou en plongée, les risques existent et existeront toujours...

    Tu vois donc que le sens de mon message n'était pas de négliger le danger, ou le nier, mais au contraire de souligner son existence. L'article de Bruno Gantenbrink m'a apporté les arguments qui renforcent ce point de vue. Au passage, j'ai dû reviser l'opinion sur le rapport "route / VàV", et je n'en ai pas honte, bien au contraire.

    Car, l'essentiel reste toujours le même : pour éviter ou diminuer le danger, il faut D'ABORD en avoir la conscience...

  11. Oui, j'étais moi aussi, parmi ceux qui croyaient que la route tue d'avantage que notre sport préféré.

    Oui, je suis revenu sur mon opinion pour avoir entendu des arguments.

    Oui, j'ai assez de courage pour avouer que je m'étais trompé.

     

    Et toi ?

    En auras-tu assez, pour ne serait-ce que signer ton post ? :rolleyes:

  12. Belle idée, utopique peut-être, mais il faut l'être parfois. Aussi utopiques était il y a 30 ans l'idée de voler en aile delta puis de les motoriser. Et si les doux rêveurs qui en ont eu l'idée avaient attendu que la règlementation le leur permette, il n'y aurait aujourd'hui ni delta ni parapentes ni ULM... :rolleyes:

    Je ne serai certainement pas le premier, qui te contredira sur ce point, Denis ! :P:sick::(

  13. Rions un peu avec Yurek.

    Sauf, qu'il n'y a pas de quoi rire !

    Hélas, tant la situation qui nous amène à débattre ici, que certains comportements donnent peu de raisons et aucun envie d'en rire ! :(

    Alors, pour ceux qui ne signent toujours pas leurs posts et ne comprennent toujours pas (ou ont besoin de plus d'un mois pour comprendre...) de quoi il s'agit, et au risque de me répéter, je le re-explique: je me suis exprimé contre la tendance assez fréquente de nier le danger en vol à voile. :sick:

    J'estimais, et un mois plus tard j'estime toujours, qu'il faut admettre l'existence du danger pour pouvoir l'éviter, que c'est en fait le premier pas vers plus de sécurité, même si la sécurité totale n'existe pas. Le cas du Titanic reste l'exemple le plus célèbre d'une attitude de négation du danger... Il ne faudrait donc pas dire aux nouveaux arrivants que le vol à voile est un sport sans risque. IL FAUT prévenir, AVANT de guérir. L'article de Bruno Gantenbrink ne dit pas autre chose (merci, Jutta!) avec un avantage par rapport à ma modeste contribution : il est, lui, un vélivole hors pair, avec une expérience que personne ne peut contester. :)

    Allez, soyons optimistes (même au risque de paraître naïfs) : j'invite "Guest" et "JF" à relire les posts de ce sujet, et à réfléchir à la question posé par l'enchaînement d'accidents que nous vivons cet été. :rolleyes: Est-ce de trop demander ? :P

    De toute façon, les vociférations ne me touchent pas, l'avenir du vol à voile m'importe par contre beaucoup. Je suis un pilote de faible expérience en vol à voile, j'ai par contre une expérience d'autres sports, dits "à risque". Les attitudes de négation de danger et - à l'autre bout de l'échelle - de macho ou "des rouleurs des mécaniques", on les y retrouve fréquemment, avec toujours les mêmes résultats à la clef...

    Je ne peux, hélas, que répéter derrière Jutta : ma liste des copains disparus ressemble beaucoup à la sienne - elle me semble trop longue. :(

    Bien sûr, on pourrait dire (attention au conditionnel, Guest) : je fais ce que je veux avec ma vie, ce moi qui prends le risque, donc c'est mon problème.

    Navigare (...volare) necesse est, vivere non est necesse... disaient les anciens. De toute façon nous allons mourir tous.

    Mais je croyais, moi, qu'il valait mieux vivre sa passion, qu'en mourir...

    J'assume le risque quand je vole. Sans me voiler la face, pour que ce ne soit pas la peur qui paralyse, mais que ce soit la conscience de danger qui mobilise. Encore, il faut en être averti.

    Encore, il faut proscrire les attitudes de surenchère et réfléchir, comment aider les pilotes moins expérimentés (pas seulement les débutants).

    Encore, face aux éléments que nous ne pourrons de toute façon pas dominer (l'air, l'eau), il faudrait garder assez d'humilité pour ne pas mourir con...

     

    P.S.

    Thanks, Jack, many happy landings for you too !

  14. Si tu n'arrives pas à suivre ce sujet depuis le début, JF, je te rappelle que depuis le 10 juillet il y a eu en France et en Suisse 7 accidents de vol à voile, faisant 8 morts et 1 blessé. Huitième accident a eu lieu à Llagonne, cette fois-ci, c'est le pilote du remorqueur qui est mort.

    Crois-tu vraiment qu'il n'y a pas de quoi parler ? :)

    des non-sens sur certaines personnes dans le seul et unique but de couler un club
    - ce n'est pas une manie de la persécution, par hasard ?

    La discussion sur ce forum, au cas, où tu ne l'aurais pas encore remarqué, ne concerne pas un club en particulier, même aussi respectable que celui de Colmar (dont je garde par ailleurs d'excellents souvenirs), MAIS BIEN TOUS LES CLUBS :DB):(

    Cela m'attriste franchement de te voir balayer le problème de la sorte :

    pour ce qui est des accidents, y'en a toujours eu, et y'en aura encore, la seule chose a essayer c'est de les rendre plus rare...
    parce que ça n'apporte vraiment rien au débat. Désolé... :D
  15. ne pourrait-il y avoir une évolution vers un NOUVEAU CONCEPT : le Vol à Voile LIBRE, dégagé de toute certification ?  ) : des bateaux extraordinaires font le tour du monde et/ou des courses superbes, en solitaire ou en équipages, sans 'certification', au sein d'organisations qui valent celles du vol à voile, avec des contraintes administratives plutôt réduites ! alors pourquoi les vélivoles ne lancent-ils pas une Fédération Internationale de Vol à Voile Libre ?

    Une belle idée, en effet. Et bien candide. :D

    Car, si les conditions physiques et psychologiques de la voile et du vol à voile sont proches (les mêmes lois de physique, l'utilisation du vent et la fascination par l'espace), les conditions juridiques et économiques n'ont rien à voir !

    Les plaisanciers sont 4 millions dans notre pays. Nous avons en France 789 000 bateaux de plaisance, dont 236 700 sont des bateaux à voile... :) Accessoirement on peut rajouter que la France est le premier constructeur mondial des bateaux à voile. :D

    Est-il vraiment nécessaire de rappeler que nous sommes, nous les vélivoles, moins d'1 pour mille ? Et que dire de la production des planeurs ? :(

    La "circulation" maritime ne souffre aucun contrôle (sauf sur le Rail d'Ouessant) et pour partir en mer avec un bateau à voile, on a besoin d'aucun permis...

    Mais l'idée est belle, j'en conviens. B)

  16. il faut que tu arrete ta psychologie de "merde"...

    (...) il faut que tu donnes ton avis et non celui d'un bouquin...

    On peut légitimement supposer - en tout cas moi je le suppose - que si Jutta fait une citation aussi importante, elle est d'accord avec son contenu... :mdr:

    Et un peu plus sérieusement : ne pourrais-tu pas évacuer un peu de cette agressivité mal à propos :mdr: et participer réellement au débat ? Peut-être toi aussi, tu as quelque chose d'intéressant à nous dire... :mdr:

×
×
  • Créer...