www.planeur.net | www.netcoupe.net | www.volavoile.net
Aller au contenu

Apprenti

Membres
  • Compteur de contenus

    41
  • Inscription

  • Dernière visite

Messages posté(e)s par Apprenti

  1. Dans le manuel de vol d'un motoplaneur, il est indiqué comment couper puis rallumer le moteur.

    De plus, je ne vois pas en quoi il serait dangereux de couper le moteur d'un avion, quand tu es verticale installations et que tu es formé à faire un encadrement...

    Je parlais d'un avion dans lequel la coupure en vol n'est pas prévue par le manuel. Bien entendu sur un motoplaneur la manoeuvre est autorisée.

     

    Le danger est une question relative. Une manœuvre n'est dangereuse que si elle fait courir un risque démesuré par rapport à l'intérêt qu'on attend de la manœuvre en question. Faire quelque chose de peu dangereux qui n'a pas d'intérêt est toujours trop dangereux.

    Je sais faire un encadrement, mais je ne suis pas sûr de ne repérer tous les trafics, celui qui prétend pouvoir repérer tous les trafics n'est pas crédible. Un type qui arrive au dernier moment se poser sur la piste opposée sans que tu l'aies vu, et qui n'a pas monté le son de sa radio ça ne t'est jamais arrivé? Si ton moteur est coupé tu as beaucoup moins de marge de manoeuvre. C'est peu probable que ça se produise, même si ça se produit il reste souvent des solutions, mais pourquoi prendre un risque? Et il y a d'autres trucs qui peuvent arriver qui peuvent t'empêcher te de poser en sécurité.

    Voilà pour le risque, il est faible, mais pas nul.

     

    Quel est l'intérêt d'arrêter de couper le moteur? En général aucun.

    En avion, si on a une panne, l'hélice ne s'arrête pas, et donc vouloir couper le moteur n'apporte rien à l'exercice d'encadrement.

     

    Et donc couper le moteur est à mon avis en général interdit car le risque, même faible, est démesuré par rapport à l'intérêt qu'on attend de la la manoeuvre.

     

    Il y a un cas particulier, comme j'ai dit plus haut, c'est le moteur à réducteur. En cas de panne, l'hélice s'arrête net, et donc ça peut être intéressant de faire un encadrement hélice arrêtée, et donc de couper le moteur.

  2. Arrêté de 1991

    5.10.6. Parachutes de sauvetage à bord des aéronefs
    Lors d'un vol de planeur non équipé d'un dispositif motopropulseur, d'un vol acrobatique, ou d'un vol de largage de fret ou de parachutistes depuis un aérodyne, tout occupant de l'aéronef doit être équipé d'un parachute de sauvetage de type approuvé.

     

    Cet arrêté ne s'applique plus aux machines certifiés depuis le 25 octobre dernier. C'est désormais les règles européennes qui s'appliquent, et je n'ai rien trouvé dans lesdites règles qui impose le parachute en planeur, mais j'ai peut-être mal cherché.

     

     

  3. Sur la définition du motoplaneur, un article a peu près exhaustif

    https://xcaviation.wordpress.com/2015/12/25/motoplaneur-1-quest-ce-quun-motoplaneur/

     

     

    Sur la coupure du moteur en avion:

    il me semble qu'il y a une règle générale qui dit qu'on doit manoeuvrer un aéronef de manière prudente et qu'on ne doit pas faire de manoeuvre inutile pour sa bonne marche.

    Arrêter l'hélice en avion n'est pas utile à mon avis pour l'entrainement, puiqu'en cas de vraie panne l'hélice ne s'arrête pas (sauf cas particulier de machines à réducteur, ou arrêt du moteur dans des conditions particulières).

    Je pense donc que sauf cas particulier où l'arrêt/redémarrage est prévu dans le manuel, ou si c'est utile pour l'entrainement, on ne devrait pas arrêter le moteur en avion.

    Règles de l'air

    SERA.3101 Négligence ou imprudence dans la conduite des aéronefs

    Un aéronef n’est pas exploité d’une façon négligente ou imprudente pouvant entraîner un risque pour la vie ou les biens de tiers.

    Dans la mesure ou la coupure du moteur n'est pas prévue par le manuel de vol, je pense que couper le moteur est une manœuvre interdite car elle est imprudente, sauf si elle est justifiée pour les besoin de l'entraînement.

  4. Sur la définition du motoplaneur, un article a peu près exhaustif

    https://xcaviation.wordpress.com/2015/12/25/motoplaneur-1-quest-ce-quun-motoplaneur/

     

     

    Sur la coupure du moteur en avion:

    il me semble qu'il y a une règle générale qui dit qu'on doit manoeuvrer un aéronef de manière prudente et qu'on ne doit pas faire de manoeuvre inutile pour sa bonne marche.

    Arrêter l'hélice en avion n'est pas utile à mon avis pour l'entrainement, puiqu'en cas de vraie panne l'hélice ne s'arrête pas (sauf cas particulier de machines à réducteur, ou arrêt du moteur dans des conditions particulières).

    Je pense donc que sauf cas particulier où l'arrêt/redémarrage est prévu dans le manuel, ou si c'est utile pour l'entrainement, on ne devrait pas arrêter le moteur en avion.

  5. On entend souvent et on lit parfois l'affirmation selon laquelle un pilote muni d'une licence avion, et d'une qualification TMG sur sa licence, n'aurait pas le droit de couper le moteur de son motoplaneur.

    Un pilote avion doit avoir reçu une formation spécifique, et doit passer un examen en vol avec un examinateur à l'issue de ladite formation, pour chaque type ou classe d'avion. En cas de réussite à l'examen, l'administration appose sur sa la licence la qualification correspondante.

    La plupart des pilotes avions on pour première qualification la qualification de classe SEP, monomoteur à piston, qui leur donne accès au pilotage des ... monomoteurs à piston . Ils peuvent ensuite passer d'autres qualifications, multimoteur à pistons (MEP), hydravions monomoteurs (SEP(sea)), Airbus A320, et ... motoplaneur (TMG).

     

    Le pilote avion a donc reçu une formation spécifique au motoplaneur sanctionnée par un examen en vol spécifique au TMG.

     

    Je n'imagine pas un examinateur délivrant la qualification TMG à un pilote avion sans avoir vérifié qu'il sait couper et redémarrer le
    moteur, et poser la machine moteur coupé, puisque c'est la seule réelle différence avec les avions SEP.

     

    Le programme officiel disponible sur l'EASA pour le LAPL(A), c'est à dire LAPL avion, est détaillé et prévoit (pas de version officielle en français)

    "AMC1 FCL.110.A.LAPL(A)

    (xxv) Exercise 19: Stopping and restarting the engine (in the case of TMGs only):

    (A) engine cooling;

    ( B ) switching-off procedure;

    ( C ) restarting of the engine.

    "

     

    En tous cas je ne vois aucun texte qui interdise à un pilote avion muni de la qualification TMG de réaliser toutes les manoeuvres prévues au manuel, et donc de couper le moteur de sa machine.

     

    Bien entendu, le propriétaire d'un motoplaneur peut fixer les règles qu'il veut pour l'utilisation de son bien, et donc un club a le droit d'interdire aux pilotes avions de couper le moteur, ou même d'être commandant de bord d'un motoplaneur, mais il s'agit de décision interne à un club.

    Voyez vous dans la réglementation quelque chose qui interdise à un pilote avion avec qualif TMG de couper le moteur?

  6. J'ai emménagé à Paris récemment. J'aime beaucoup le SF25, une sorte de Solex du ciel, très agréable pour la promenade hors saison.

    En plus je n'aurai pas le temps de faire réellement du planeur cette année.

    Existe-t-il en région parisienne une façon de faire quelques heures de SF25 pour un prix raisonnable? Tous les tarifs des clubs que j'ai vus commencent à 1400/an avant de voler, soit en ajoutant le prix de l'heure 300 euros de l'heure pour 5 heures de SF25 dans l'année ce qui n'est pas raisonnable.

    Peut-être qu'un propriétaire pourrait me louer le sien?

  7. En effet à la Ferté Alais, il doit s'agit d'une association qui conserve des planeurs anciens, j'ai aussi vu sur leur page facebook un motoplaneur. Pourtant ce club est référencé sur le site de la fédération française de vol à voile.

    Je ne suis pas sur d'avoir compris le tarif de Beynes. Si on prend l'option à la journée, on paye 40 euros par jour, et on ne paye ni licence, ni assurance, ni cotisation, ni participation aux frais en plus? Ca me parait avantageux si on ne vole pas plus de 23 jours par an, ce qui sera mon cas.
























  8. Je vais déménager à Paris d'ici quelques mois. Je cherche un club accessible en transport en commun. Qui ait de préférence un motoplaneur car j'aime le motoplaneur. J'ai trouvé Beynes qui me semble assez près de la gare. Existe-t-il d'autres club près d'une gare et accessibles facilement de Paris?

  9. les 30' de rab c'est uniquement franco-français. Dans la plupart des autres pays c'est le coucher du soleil. Avec l'Europe ça finira bien par disparaître...

     

    les 30' de rab c'est uniquement franco-français. Dans la plupart des autres pays c'est le coucher du soleil. Avec l'Europe ça finira bien par disparaître...

    En Belgique c'est 30', en UK c'est 30', en NL c'est 15'. Je ne connais pas de pays où c'est pile le CS. Peut-être l'Espagne? Je n'y ai jamais volé de nuit.

     

    Dans certains clubs avion, le règlement interne interdit le décollage post CS. Je n'ai pas beaucoup d'expérience en planeur, mais j'ai une certaine expérience en vol moteur.

    Avec l'Europe, ce ne sera pas le CS qui sera retenu:

     

    Règlement SERA Nuit : La période comprise entre la fin du crépuscule civil et le début de l’aube civile.
    Le crépuscule civil se termine lorsque le centre du disque solaire se trouve à 6 degrés en dessous
    de l’horizon et l’aube civile commence lorsque le centre du disque solaire se trouve à 6 degrés en
    dessous de l’horizon.
    Il me semble que c'est d'ailleurs la norme OACI. La France a dit qu'elle maintiendrait les 30 minutes comme heure officielle.
  10. J'ai découvert le SF25 cet été en France, et c'est ce qu'il me faut. Un hasard, je voulais faire un tour de planeur, mais il n'y avait pas de remorqueur ce jour là dans le petit club que j'ai visité.

    Même en hiver par belles journées on peut faire du vol de pente, et on n'a pas besoin d'un environnement club. Ca me suffit amplement, je n'ai pas besoin de faire de la performance, réussir à faire un peu de vol de pente suffit à me faire rentrer heureux au terrain, ce qui me permet de voler régulièrement même en hiver.

    Je suis étonné que le motoplaneur ait si peu d'adeptes.

  11. Apprenti,

     

    Une des clé de la progression et de ta sécurité personnelle est de pratiquer très régulièrement.

    Si ton emploi du temps ne te le permet pas alors que tu en as les moyens financiers, j'ai très peur que tu deviennes une croix de plus dans la longue colonne des stats du BEA.

    Je suis entièrement d'accord qu'il faut pratiquer régulièrement. Mais pour l'instruction de début, si on ne pratique pas tous les jours, on perd la quasi totalité de ce qu'on a appris, une fois arrivé à un certain niveau de base, je compte pratiquer au club près de chez moi pour m'entretenir, mais je pense que je ne progresserai jamais si je me contente de voler un jour par mois. (Mon estimation personnelle de ce que je dois pouvoir faire, compte tenu du fait qu'en Belgique, il fait mauvais presque tous les jours.) C'est pourquoi je voudrais commencer par deux semaines de stage intensif.

    Pour ce qui est des statistiques du BEA, il me semble avoir remarqué que la grande majorité des accidents ne vient pas du faible niveau du pilote, mais de l'inadéquation entre le niveau du pilote et ce qu'il essaye de faire. Je pense que la clé est de rester modeste quant à ses capacités.

  12. MikeLima, oui, en effet, le systeme club ne correspond plus a ce que je cherche. Je ne vois pas le rapport avec le golf. Et si tu connais des orgnismes etrangers qui proposent ce que je cherche, c est volontiers, j'ai vu dans Volez de ce mois qu'on pouvait voler dans le sud de l'Afrique, ca me tente évidemment, mais je ne sais pas si on peut y recevoir de l'instruction de début.

     

    Merci a tous les autres des adresses proposees, et des conseils.

     

    Pour Manu: oui, en effet, nous sommes voisins. Tu as remarqué, on a vu un peu de ciel bleu ajourd'hui, entre deux averses de neige. Si je planifie un jour de congé pour aller à Saint Hubert, je peux etre sur qu'il fera mauvais ce jour la. C'est pourquoi je voudrais profiter de vacances pour aller dans un endroit bien plus au sud, ou les probabilités de beau temps sont raisonables.

     

    Aux trois paranoiaques qui voient des trolls partout; je veux bien que vous m'expliquiez en quoi mes questions vous paraissent trollesques. Si je connaissais un organisme, je ne poserais pas la question.

  13. Merci pour vos réponses, désolé, je n'ai pas donné assez de détail.

     

    Je pensais faire un stage d'une semaine ou deux semaines à temps complet et voler un maximum, ça peut être partout en Europe ou ailleurs. Je voudrais un coin où avoir le maximum de chance d'avoir une bonne météo, un instructeur dédié avec qui je volerais toute la journée, et un ratio planeur/remorqueur qui permette de perdre le moins de temps possible. Je me dis qu'en une semaine ou deux semaines, je devrais pouvoir être lâché en local.

    J'habite un pays où il ne fait jamais beau (le ciel si bas etc.), donc je n'arriverais jamais à aller jusqu'au lâcher en volant au club près de chez moi, d'autant plus qu'il semble qu'il ne vole que le WE alors que c'est plutôt en semaine que je peux me libérer, Et les rares jours où le temps permet de voler, bien évidemment, il aura foule et je devrais à nouveau attendre son tour..

     

    Les données du problème ont changé depuis ma jeunesse: j'ai moins de temps, mais plus d'argent. Donc je peux consacrer le budget qu'il faut, ce n'est pas vraiment le problème. Le problème, c'est que j'ai peu de vacances, donc je veux en profiter un maximum.

  14. Bonjour,

    J'ai fait un peu de planeur étant jeune. J'arrivais au club le matin, je donnais un coup de main pour sortir les planeurs, ensuite j'attendais mon tour pour voler, il y avait toujours quelqu'un qui avait une bonne raison de me passer devant, ensuite en fin de journée, j'avais le droit de faire un tour, je payais donc un remorqué pour quelques minutes de vol, puisqu'en fin de journée.. . Et bien sûr j'aidais le soir à rentrer les planeurs, à les laver, etc.

     

    Donc je n'ai pas recommencé. L'heure de vol planeur m'avait coûté plus cher qu'une heure de vol moteur.

     

    Je suis sans doute tombé sur un mauvais club, mais je voudrais savoir s'il est possible de faire du planeur dans un cadre structuré, en France ou ailleurs, c'est à dire où on a un nombre maxi d'élèves par remorqueur connu à l'avance, qui permet de s'assurer qu'on volera, et si possible à un endroit ou la météo est bonne. Je pourrais faire un stage d'une semaine.

     

     

×
×
  • Créer...