PIVAP Posté(e) le 12 juillet 2009 Signaler Posté(e) le 12 juillet 2009 Un planeur WA26 Squale aurait participé aux championnats du monde en 1970 à MARFA, piloté par GOMBERT (prénom ?) et aurait terminé neuvième.Quelqu'un peut-il confirmer ?Existe-t-il un site permettant de retrouver tous les classements aux championnats ? Citer
Régis Posté(e) le 12 juillet 2009 Signaler Posté(e) le 12 juillet 2009 (modifié) www.ssa.org/UsTeam/adobe%20pdf/1970%20WGC.pdf Modifié le 12 juillet 2009 par Régis Citer
YVES Posté(e) le 12 juillet 2009 Signaler Posté(e) le 12 juillet 2009 Merci pour l'article, Régis.J'ai même entendu dire que l'ergonomie des "sqaules Marfa" n'était pas une réussite !A votre avis, qu'est-ce qui a vraiment changé (en dehors des performances des machines, la photo de l'article fait trés "vintage" !...) dans un championnat entre 1970 et nos jours ??? <_< Citer
Monsieur bobote Posté(e) le 12 juillet 2009 Signaler Posté(e) le 12 juillet 2009 Merci pour l'article, Régis.J'ai même entendu dire que l'ergonomie des "sqaules Marfa" n'était pas une réussite !A votre avis, qu'est-ce qui a vraiment changé (en dehors des performances des machines, la photo de l'article fait trés "vintage" !...) dans un championnat entre 1970 et nos jours ??? <_< Si le squale Marfa (squale legerement amélioré ?) n était pas une mauvaise machine il était largement surclasse par phoebus cirrus libelle et autre LS1surtout dans les conditions texas Citer Horizon pas net reste à la buvette (marin Breton)
PIVAP Posté(e) le 16 juillet 2009 Auteur Signaler Posté(e) le 16 juillet 2009 Merci à Régis pour cet article. GOMBERT termine donc vingtième, juste en milieu de tableau. L'autre français (Mattern) vingthuitième, sur LS1.Le WA 26 n'était donc pas une si mauvaise machine... Je suis toujours à la recherche de toutes infos sur GOMBERT (prénom ?) qui aurait été champion de france (où, quand ?) et qui a été embauché par WASSMER.Il a disparu dans un accident lors d'une démonstration, sur un avion type WA 52 ou 54 mais j'ignore où, quand et dans queles circonstances... Citer
Monsieur bobote Posté(e) le 16 juillet 2009 Signaler Posté(e) le 16 juillet 2009 Merci à Régis pour cet article. GOMBERT termine donc vingtième, juste en milieu de tableau. L'autre français (Mattern) vingthuitième, sur LS1.Le WA 26 n'était donc pas une si mauvaise machine... Je suis toujours à la recherche de toutes infos sur GOMBERT (prénom ?) qui aurait été champion de france (où, quand ?) et qui a été embauché par WASSMER.Il a disparu dans un accident lors d'une démonstration, sur un avion type WA 52 ou 54 mais j'ignore où, quand et dans queles circonstances...tu peux essayer de contacter fifi Monniot a issoire Aviation maintenant APM, il devait etre ingénieur chez eux à l'époque avant de devenir PDGtu peux le contacter la : www.apm.aero, rappelle lui de sa vache en IRIS (1977 ? ) sous un orage sur le terrain hyper secret michelin de clermont , retour de meeting (Monluçon) en remorqué double avec un Bij (j'était dans le bij et je suis aussi gadzart) Citer Horizon pas net reste à la buvette (marin Breton)
JMC Posté(e) le 16 juillet 2009 Signaler Posté(e) le 16 juillet 2009 Je suis toujours à la recherche de toutes infos sur GOMBERT (prénom ?) qui aurait été champion de france (où, quand ?) et qui a été embauché par WASSMER.Il a disparu dans un accident lors d'une démonstration, sur un avion type WA 52 ou 54 mais j'ignore où, quand et dans queles circonstances...Jacques Gombert volait à Nancy Malzéville dans les années 60, il faisait partie d’un petit groupe de trois mousquetaires (donc 4 jeunes loups) lancés par l’inoubliable Charles Fèvre et qui promettait fort. Gérard Lescasse était le plus présent, il habitait sur place et doit pouvoir tout raconter sur la vie de Jacques, il y avait aussi Bernard André, et moi-même, qui ai quitté Nancy en 1963 pour poursuivre mes études à Châlons en Champagne (à l’époque on disait Châlons sur Marne). Jacques faisait mon admiration tant pour sa finesse de pilotage et de décision que pour son amabilité. Il s’est effectivement tué, avec ses passagers, lors d’une rupture de ferrure d’aile (traitement thermique loupé ou non effectué ?) d’un avion Wassmer en présentation pour un client (c’est du moins le bruit qui courait à l’époque, les nouvelles ne circulaient pas aussi vite qu’aujourd’hui). Il était le plus fort de nous tous et nous espérions bien le voir sur les plus hautes marches d’un podium. Nous avions tous 20 ans et la vie devant nous, tout à prendre dans un climat de croissance économique et d’optimisme que nous n’avons jamais revu, sa disparition et les études supérieures ont arrêté net nos velléités compétitives. Bernard André s’est tué quelques années plus tard aux commandes d’un bimoteur en ligne régulière entre Nancy et Paris, dans des circonstances peu claires. Il me semble qu’il avait fondé une famille.Le mieux est de contacter Gérard Lescasse et les archives de l’Aéro-Club de l’Est.JMC Citer
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