L'inconvenient d'attendre une bonne brise, c'est que la finesse sol du planeur en est grandement réduite, donc il faut une pente plus forte. Le problème de l’équilibre en roulis est le même que celui du décollage sans assistance en planeur classique et les solutions sont du même genre : support fait de quelques pneus, mise en piste en oblique de façon a ce que le pivotement autour de l'aile basse ramène le planeur dans l'axe, départ avec pied et manche à fond à l'opposé de l'aile basse. D'ailleurs rien n'interdit que quelqu'un tienne la plume, s'il ne fournit pas d'énergie. Par contre il vaut mieux bricoler un blocage du frein de roue pour pouvoir s'installer tranquillement à bord avant de tout lacher. Comme l'appareil n'est pas certifié, rien n'interdit un tel bricolage. De même on pourrait imaginer une paire de balancines qui se fixent par pincement sur le bord d'attaque, pincement provoqué par la pression vers le haut qu'ellles supportent au sol, ce qui les largue automatiqument dès que l'appareil décolle. Je pense qu'il ne faut surtout pas poser la question à la DGAC. Au vu des textes existants c'est légal et donc si on essaie de t'en empêcher c'est de l'abus de pouvoir et ça se plaide. En plus une fois que ça a été fait sans problème la faisabilité et la fiabilité de la chose est démontrée, argument supplémentaire contre l'interdiction. Et à partir de là rien n'empêche d'utiliser un autre moyen pour tous les décollages ultérieurs. Par contre si on soulève le lièvre à l'avance et que l'administration pond un décret l'interdisant, ça devient illégal. En touts cas MERCI Robert pour ces remarques judicieuses J’en parle aux intéressés (http://www.revilo-france.fr/) et je me renseigne si il n’y a pas d’autres réglementations pour les PUL C’est peut être la solution pour du vol libre a plus de 30 de finesse … Et du planeur lent et libre ….