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Thierry Nauleau

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Messages posté(e)s par Thierry Nauleau

  1. Bonjour à tous,

    Pour vous faire avancer dans vos projets de vol handi-planeur, CAP ENVOL et la FFVP proposent un webinaire de partage d'expériences avec les dirigeants de clubs et de comités. Mercredi 29 juin, de 19 à 20h.
    Vous pourrez dialoguer en direct avec les pilotes et des dirigeants de clubs, français et espagnols, qui ont réussi à monter leur projet.
    Aperçu du programme prévu par la @ffvolenplaneur:
    • Par quoi commencer ?
    • Comment organiser les VI handi ?
    • Comment les accueillir ?
    Vous pourrez ainsi faire remonter vos besoins et vos difficultés.
    Pour participer, vous pouvez vous inscrire sur cette page >> https://forms.gle/y2dLMWQY7VbtWFXEA
    Comme dit le sage : « La connaissance est la seule chose qui s'accroit lorsqu'on la partage.»
  2. Mince, j'avais pas vu le second mail d'Ailodie. Il est passé directement dans la boite à Spam.

     

     

     

     

    Il doit exister un media intermédiare entre ce que propose Ailodie et ce que Daniel nous avait indiqué, ici https://www.codezero...port-de-demain/

    L'un s'adresse aux (trés) jeunes pratiquants, l'autre ... Je sais pas, j'ai jamais pu aller jusqu'au bout des articles.

    L'article code zéro indiqué par Daniel parle de prospective, pour nous sensibiliser et anticiper ce que peut être le sport de demain. C'est souvent copieux mais utile à un président. Solutions Intermédiaires il en existe depuis des années auprès des CDOS et parfois de quelques instructeurs de vol à voile qui vous parle de la façon de gérer les bénévoles. Voir la série de sujets que j'ai publié dans les deux dernières années sur mon blog avec le mot clé bénévole :

    http://www.nauleausport.fr/ce-qui-donne-envie-de-devenir-benevole/

    et http://www.nauleausport.fr/recruter-des-entraineurs-benevoles/

    ou encore http://www.nauleausport.fr/la-fidelisation-des-cadres-benevoles/

     

    Maintenant se lancer en indépendant dans le vol à voile, économiquement c'est gonflé. La saisonnalité est trop aléatoire, à mois de s'expatrier l'hiver aux antipodes. Humainement, il faut composer avec les dirigeants, les bénévoles et les pilotes. J'ai le souvenir d'un chef de centre qui me disait "on a 140 adhérents, j'ai 140 patrons !"

     

    Je pense que si nous nous attachons à bien faire chacune de nos tâches, on peut s'améliorer énormément. Là où ça coince, c'est que le nombre de cadres bénévoles ou salariés dans les clubs s'est tellement réduit au cours des 20 dernières années que partout la situation est tendue.

     

    Au plaisir de revoir ceux qui seront présent à la réunion FFVV de samedi prochain.

     

    Thierry

  3. Bonjour

     

    Les premiers flarms ne disposent pas de lecteur de cartes SD.

    Ce sont ceux qui ne disposent que de la barre de led horizontale.

    Je cherche à comprendre s'il est possible de récupérer les enregistrements sur un flarm des premières séries (2004, F4XXXX) ?

    le manuel d'utilisation dit bien qu'il est possible de coupler un flarm à un enregistreur de vol mais il ne dit pas s'il la récupération d'un fichier est possible. Ni comment ?

     

    Qui a une expérience sur la question ?

     

    d'avance merci.

  4. Bonsoir,


    Un nouveau site web pour le projet Big Days. (http://bigdays.eu) Plus clair et avec toujours plus de témoignages de réalisateurs.


    Le projet entre cet hiver dans sa dimension européenne, avec un premier sujet in english dès demain d'un réalisateur pro.


    Vous en avez eu un avant-goût hier avec le sujet à propos de Paul Pintard et de ses potes, des planeurs de Puivert.


    Le projet Big Days consiste à vous donner toujours plus de conseils pour réaliser vos vidéos de planeur en sécurité, mais aussi pour faire de beaux films qui serviront la promotion du vol à voile, de votre club, ou tout simplement pour partager votre passion.


    Vos commentaires et vos expériences sont les bienvenues.


    Et pour les clubs ou les comités qui voudraient traiter du sujet, une présentation existe, qui peut se doubler d'un travail sur un planeur en statique. Me consulter pour plus de précision.


    Bons vols pour ceux qui le peuvent encore ... ou à ceux qui sont overseas ! :cold:

  5. Merci Daniel ; ) Cher JMA, votre article est fort bien documenté et bien écrit, mais on ressens à sa lecture, qu'il est le fruit de luttes et de tensions internes.

    Comme l'a dit plus tôt dans ce forum Philippe Chiossone, rien n'oppose les privés et les adhérents associatifs, ils sont bien complémentaires.

     

    Pour m'être intéressé depuis plusieurs années à l'économie des clubs, j'ai constaté que presque chaque fois qu'une mutualisation était contractualisée, cela devenait source de tensions, finalement néfastes à l'image et au développement du club. Autrement dit je pense que l'achat d'une machine doit être parfaitement assumé par son propriétaire. Le prêt n'en reste pas moins interdit. Entre personnes de confiance, c'est même une forme de reconnaissance qui est la plupart du temps très appréciée.

     

    Au vu du nombre d'Arcus et d'ASW29, désormais acquis neufs par des clubs, il est clair que les structures capables de dépasser 100 licenciés à l'année pourront continuer à le faire. Une beau planeur est aussi un élément de motivation et de fidélisation des pilotes. Mais l'on n'apprend pas à piloter sur une formule 1.

     

    La formation des pilotes est en général précédée d'une étape que n'a pas évoqué JMA, à savoir le recrutement des adhérents, voire la fidélisation.

    Si le club est bien organisé et que la formation permet de former des pilotes satisfaits, alors le bouche à oreille fait le reste. Les effectifs augmentent et l'association à la possibilité de salarié un premier instructeur. Au passage, ne négligeons pas l'étape d'un premier instructeur saisonnier.

     

    Plus que la réglementation, c'est l'économie des clubs qui impose le choix de professionnaliser ou pas. Notre activité est dépendante de la météo et pour cette raison il est plus que dangereux d'établir des prévisions de profit. C'est, je crois, la raison pour laquelle, le vol à voile sous forme d'entreprise ne peut pas fonctionner en France, hormis dans les régions qui voient le soleil plus de 300 jours par an.

     

    La forme associative, dans sa diversité, à encore de beaux jours devant elle. Elle doit continuer à évoluer pour survivre.

  6. Bonjour à tous,

     

    Je n'ai toujours pas lu l'article, désolé, aussi je ne m'exprimerai pas dessus. Beaucoup de vos réponses sont pleins de bons sens et d'observations pratiques, issues du terrain.

     

    J'aurais tout de même deux remarques à faire :

    le nom de JM Arzinc n'apparait pas dans les résultats de ce forum. Cela peut certes signifier qu'il n'a jamais publié dans ce forum. Mais ça peut aussi signifier qu'il s'agit d'un pseudo. Et ce nom sent le pseudo de loin. Google est sec au sujet de cet auteur. Ma question est : quelqu'un qui ne signe pas de son nom est-il de confiance ?

     

    La seconde est de vous renvoyer à la lecture du dossier que j'ai publié dans le numéro de janvier 2015 de VAV mag sur la fidélisation des pilotes. J'y donnais à la parole à 8 dirigeants ou chefs-pilotes de club qui ont réussit à augmenter le nombre de leurs adhérents. Preuve est donnée que l'évolution à la baisse des effectifs n'est pas inéluctable. Vous le trouvez sur mon site avec l'accord de Jean Molveau.

     

    Le modèle des clubs est ce que les dirigeants et les adhérents en ferons. Encore une fois je n'ai pas lu l'article et je ne porterai pas d'avis dessus. La seule chose dont je sois sûr est que si la société évolue, alors les clubs doivent s'adapter pour ne pas mourir. Comme je le dis souvent les associations ne vivent que parce qu'elles se renouvellent.

     

    Connaissant la capacité et la ténacité des vélivoles, de tous âges, je pense que le modèle bénévole à de beaux jours devant lui, Il y a tout de même un moment où la présence d'un instructeur salarié permanent apporte un meilleur suivi en matière de sécurité. A chacun de trouver son équilibre de fonctionnement.

  7. Bonjour Renaud

     

    Pour le moment nous sommes à fond dans l'organisation mais nous pensons aussi à l'après Big Days, et en particulier comment faire connaitre les bonnes pratiques en matière d'usage des caméras d'action embarquées. C'est un peu trop tôt pour répondre avec précision mais d'une façon ou d'une autre ces bonnes pratiques seront portées à la connaissance des clubs et des pilotes.

     

    Si nous trouvons des volontaires pour filmer les échanges, alors oui à terme il peut y avoir une diffusion partielle du contenu. Mais la priorité de l'information restera pour ceux qui ont fait le déplacement.

     

    Sur le blog bigdays.eu comme sur la page Facebook, nous allons élargir les articles à des sujets sur les matériels et des tutoriels.

  8. Oui Gloups (!) nous trouvons des vidéos sur internet mais combien sont réellement exploitables pour faire de la promotion ou tout simplement pour montrer la beauté du vol ? Si j'ose la comparaison avant de cuisiner on apprend à faire la cuisine. Pour avoir fait beaucoup de photos à une époque, je peux dire içi que la vidéo exige bien plus de compétences pour parvenir à un résultat attractif.

     

    C'est bien pour cette raison que seuls les gens qui en ont fait leur métier sont capables de sortir des films qui tranchent très nettement avec ceux des amateurs.

     

    Le but des Big Days in Buno n'est pas de faire de tout vélivole un réalisateur en puissance (il faudrait bien plus de temps et de moyens pour cela), mais déjà de leur donner les règles essentielles, à commencer par la sécurité, et connaitre les erreurs à éviter.

     

    Chaque club cherche à réaliser en interne, donc presque exclusivement de façon bénévole, sa promotion. Ce sera un bon pas en avant que de leur donner un coup de pouce sur le plan technique.

     

    Et n'oubliez pas le festival du film de vol à voile ! 2 heures de films à la rencontre du public. Facile à dire, maintenant il faut attirer le chaland.

     

    Bonne année et bon courage à tous !

  9. Le sujet des Big Days pour son public sera d'apprendre les règles et la bonne façon de faire avec des caméras embarquées, que ce soit à bord ou à l'extérieur.

    J'ai 8 jeunes au téléphone déjà très intéressé par la manifestation et tous m'ont fait part de leur préoccupation de faire les choses en sécurité. Nous répondons donc à une vrai demande.

     

    Par contre il n'est pas prévu de traiter de la façon d'utiliser les caméras à des fins pédagogiques. Cela mériterai une bonne réflexion avant d'agir. Pourquoi faire ? Que cherche-t-on à montrer ? Que peux apporter de plus la vidéo ? bref un vaste débat. De plus d'autres fédérations sportives, non aéronautiques utilisent la vidéo pour les entrainements. Elles ont conceptualisé son usage. Il y a donc encore du partage d'expérience à explorer.

    Bonne journée et bonnes fêtes de fin d'anée.

  10. Merci de vos contributions. Effectivement comme le dit Matt_LFAS on est dans cette idée d'accompagner plutôt que t'interdire. C'est le souhait de la commission sécurité de la FFVV. Nous avons déjà recensé un certain nombre de préconisations et de bonnes pratiques. La façon dont régis propose d'ordonner la réflexion me parait simple et logique.

     

    Un chiffre pour se rendre compte que nous ne pourrons sans doute pas échapper au phénomène, en 2011 il s'est vendu en France 28000 caméras d'action; en 2013 il s'en est vendu toutes marques confondues 373 000. Et les jeunes contactés pour l'opération nous disent filmer avec leur Iphone.

     

    à bientôt

  11. Bien vu les questions Philoo et Renaud, c'est bien ce genre de méconnaissance que le projet entend éclaircir. Si nous arrivons à nos fins, une liste de bonnes pratiques sera publiées. Trop trôt pour dire sous quelle forme mais la FFVV est partenaire sur le projet justement pour les questions de sécurités que l'usage de ces caméras impliquent. Nous devrions en bénéficier très rapidement après la manif.

     

    Je vous encourage à poser vos questions sur le sujet, soit sur ce forum, soit sur la page facebook Big Days.

     

    Bientôt le mail et le site...

  12. Merci Fred d'avoir posté la réponse.

    La master class, c'est le moyen d'apprendre et de progresser en partageant ses connaissances avec des personnes qui partage la même passion. Ce ne sera pas un cours magistral. Comptez sur l'équipe qui m'entoure pour y mettre du fun. Pour s'améliorer, il nous faut des intervenants professionnels. nous en connaissons quelques-uns mais à l'heure ou j'écris ces lignes, la priorité est de trouver des subventionneur. Je peux dire que nous en avons un, mais un deuxième est indispensable pour assurer le lancement de la manifestation.

     

    Le festival du film de planeur a déjà été fait à au moins 2 reprises, à Bailleau en 2008 (150 personnes venues de Bailleau et de Gallardon, donc pas du club) et un ou deux ans après à Habère-Poche.

     

    Je vous promet plus d'infos dans les jours qui viennent.

    Bonne journée. :super:



    La vidéo de planeur est un excellent canal de démocratisation pour notre sport , je plussoie donc cette initiative ou les jeunes du cvvfr seront présents !! La question de la sécurité est récurrente quant à l'utilisation de GoPro en vol solo , elle a été discutée maintes et maintes fois dans notre club sans aboutir à un cadre global réglementaire , avec deux camps qui s'opposent sur cette question . Auriez vous connaissance d'une 'charte' de bonne conduite en ce sens? Sinon cela pourrait être un axe de réflexion supplémentaire pour ces Big Days sur les questions de sécurité.

     

    A+

     

    Max

    Oui Maxence, C'est bien ce à quoi nous voulons aboutir. Accompagner et expliquer plutôt que d'interdire. Oui il y aura des préconisations, mais pour les construire, nous avons besoin des témoignages et de l'expérience de ceux qui ont été confrontés à un problème technique, ou à une situation plus ou moins bien gérée. Nous avons besoin de l’expérience des professionnels qui s'y sont essayé, des mécanos, chefs de centre, assureurs, bref de toutes les sources pour proposer à la commission sécurité de la FFVV un premier guide des bonnes pratiques.

    Les boys du CVVFR seront attendus à Buno !

  13. Bonsoir,

     

    Deux visions + pas mal de coups de fil, de mails et quelques SMS = les Big Days in Buno.

     

    Premier problème : l'usage des GoPro

    Qui d'entre nous n'a pas craqué ou rêvé de se payer une GoPro ou l'une des caméra d'action du marché. Sur chaque terrain, nous connaissons au moins un pilote qui en possède une. En France ce marché à doublé entre 2012 et 2013 où il s'est vendu pas moins de 373 000 de ces caméras d'un nouveau genre. On ne peut donc pas échapper à ce phénomène et le moins que nous puissions faire c'est de l'accompagner et d'anticiper.

     

    Nous sommes quelques instructeurs à être préoccupés de voir des montages inappropriés (et je reste poli), à voir des pilotes qui pensent davantage à l'image qu'ils vont faire qu'au vol qu'ils doivent gérer. Par le passé, j'ai fait pas mal de photos, dont des photos avec un montage externe, mais la sécurité à toujours été intégrée dans une phase préparatoire.

     

    Lorsque Christian Vrancken a eu vent du projet Big Days, nous sommes vite tombés d'accord sur la façon d'amener les gens à adopter des bonnes pratiques en matière de sécurité. L'idée d'une master class sur la question vidéo et vol à voile s'est donc précisée et c'est ce que nous voulons organiser pour le printemps prochain à Buno.

     

    Second problème : nous manquons de vidéos pour la promotion de notre sport

    Plus exactement de vidéos de bonne qualité et avec un objectif de communication clair et pertinent. Les films réalisés par des pros tournent autour de 1000 euros la minute. Quel club peut se payer un tel outil ?

    Si nous apportons aux passionnés les compétences pour réaliser les films dont ils rêvent, ils s'en trouveras toujours quelque-uns pour réaliser un projet club, voire interclubs ou à l'échelon régional.

     

    Mais il existe de bons films de planeur sur la toile. Le problème c'est que nous sommes entre-nous !

    Il faut que le vol à voile aille à la rencontre de son public. Donc nous voulons organiser un festival du film de planeur, en ville, en même temps que la master class.


    Que pensez-vous de cette idée ? Avez-vous des suggestions à nous faire ?


    Il est encore un tout petit peu trop tôt pour annoncer une date. Mais la demande est là. La page Facebook Big Days à été lancée le 24 novembre. Ce soir elle totalise déjà 126 likes.


    Si l'idée vous plait, apportez-nous votre soutient, sur ce forum, par mail ou sur la page Facebook Big Days. Nous sommes en train de démarcher des subventionneurs. Je vous tiendrai au courant. Bons vols et bon ski pour ceux qui peuvent ! :cold:

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