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michel faucher

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Messages posté(e)s par michel faucher

  1. Franchement je trouve que la 1:500 000 est pas mal pour naviguer en ligne droite avec un avion mais pour le planeur, personnellement, je trouve que la 1:250 000 IGN est idéale. Reste que si tu évolue dans une zone riche en zones diverses, c'est plus compliqué de les reporter à la main sur une 250 000 comme on faisait avant. Les régions très denses en terme d'espaces aérien règlementés existent sous forme de cartes SIA au 1:250 000 (ex: Marseille Delta du Rhone)

     

    Après avec les smartphones sous LK8000, TopHat Soaring, Xcsoar et autre oudie, la carte s'utilise en secours mais il faut impérativement l'avoir et savoir s'en servir.

     

    Perso je ne travaille qu'a la 250 000 en plaine avec l'IGN + la 500 000 sous le coude pour les zones au cas ou et en montagne avec la carte Alpes du sud d'alticarte (ISBN 978-2-9534498-0-8) et 250 000 SIA.

     

    Mais surtout une grosse préparation avant car on a pas le temps de découvrir comment est structuré l'espace aérien pendant un vol, il faut pas mal de boulot avant pour avoir une bonne conscience de la situation.

    Quand tu dis " perso je ne travaille qu'à la 250 000 en plaine avec l'IGN " est-ce que cela veut dire que tu utilise une carte toute classique, pas spécialement destinée à l'aéronaunique, mais permettant de visualiser les détails au sol ? Car j'ai beau chercher dans toutes les boutiques spécialisées, il n'existe pas de cartes VFR 1/250 000 de la région Niort / La Rochelle. Et je trouve que pour les détails au sol, la carte OACI au 1/500 000 n'est pas terrible.

  2. Bonjour à tous,

     

    Je souhaiterai savoir quelle type de carte vous utilisez pour vous repérer à vue.

    Dans le livre bleu Cépaduès, on parle de carte au 1/200 000 voir encore 1/250 000 mais je n'en trouve nulle part.

    Toutes les cartes aéronautiques sont à l'échelle 1/500 000 voir plus.

    Alors ma question c'est, ne faut-il pas une carte classique au 1/200 000 pour visualiser tous les détails au sol, plus ensuite une carte aéronautique à l'échelle 1/500 000 afin de connaitre toutes les informations relatives à la circulation et règlementation aérienne.

    Je rappelle que je suis élève pilote, d'où mes questions.

    Merci pour votre aide.

     

    Michel

  3. Bonjour à tous,

     

    Merci encore de ces nombreuses réponses.

    Si j'en étais rendu à poser ce genre de question, c'est que je suis encore élève pilote. Alors, au niveau des instruments, je n'ai pas pour le moment de GPS, ni de compas électronique. En revanche, quelques solutions simples comme la fumée, l'ombre des nuages, la dérive en spirale me semblent déjà de bons éléments très simples pour définir le sens du vent, voir même sa puissance.

    Par contre, je n'ai pas très bien compris la démonstration de CPT

     

    Sans la Vp, simplement en un rond ou deux, si tu as la Vs d'un GPS

    (VsMax-Vsmini)/2 = vitesse du vent à ton niveau

    et la direction du vent c'est le cap que tu avais à la Vsmini.

     

    Michel

  4. Bonjour à tous,

     

    Me revoilà, avec toujours des questions auxquelles j'ai parfois quelques problèmes de réponses.

    Aujourd'hui, je me penche sur l'estimation de la vitesse du vent en vol, voir même, le sens de celui ci.

    Cela peut sembler farfelu, mais lorsque l'on sait qu'en vol, on ne subit pas vraiment l'effet du vent, puisque l'on vol avec et dedans.

    Je souhaiterai quand même être éclairé sur ma question.

    Je pose cette question, car j'étudie en ce moment les polaires de vitesse, ainsi que l'utilisation de l'anneau Mac Cready.

    Après plusieurs lectures et relectures, je pense avoir correctement compris l'utilisation des polaires et de l'anneau.

    En revanche, ce qui me pose problème c'est que l'on parle souvent des modifications que l'on doit apporter à sa vitesse par rapport à la force du vent ( en positif comme en négatif ) afin de toujours conserver la finesse maxi du planeur.

    Oui, mais lorsque l'on est en altitude sans repère visuel, comment déterminer le sens et la force du vent, puisqu'en plus le Badin ne m'indique que ma vitesse "air" soit ma vitesse propre, "plus ou moins" la vitesse du vent ?

    Comment faire cette estimation importante, pour caler sa vitesse au plus près de la finesse maximum ?

     

    Merci de vos lumières.

     

    Michel

  5. Merci à tous pour vos réponses.

    Il y a du bon dans chacunes d'elles, et je vais tout relire avec beaucoup d'attention.

    J'ai la chance d'avoir un instructeur extra, mais si je vous ai contacté sur ce sujet, c'est que nous n'avions pas encore abordé cette phase un peu délicate, et que je souhaitais anticiper un peu pour la reprise des vols début mars.

    À bientôt pour d'autres questions.

     

    Michel

  6. Bonjour à tous,

    Nouveau sur le forum, et jeune élève pilote de 67 ans, j'ai déjà quelques atterrissages à mon actif, mais toujours avec mon instructeur, et souvent dans de bonnes conditions.

    Je potasse donc assidûment le manuel Cépadues, mais j'ai besoin de conseils en ce qui concerne les manuvres à faire lors de ce décollage délicat.

    Faut-il redresser le planeur lors du roulage à l'aide du palonnier, jouer du manche pour contrer l'effet du vent sur l'aile sous le vent ?

    Plein d'autres questions dans ma tête.

    Merci de vos réponses.

     

    Michel

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