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Jean SIMON

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Messages posté(e)s par Jean SIMON

  1. Bonjour,

     

    Etant pilote belge, j'envisage l'achat d'un planeur immatriculé "F-....".

     

    Peu à peu avec le temps, les planeurs immatriculés belge "OO-Z.." disparaissent pour adopter une immatriculation allemande.

    Je ne vais pas epiloguer sur cette migration des immatriculations.

     

    Neanmoins, j'aimerais savoir quelles sont les contraintes si je garde l'immatriculation francaise.

     

    Quelques questions....

     

    Résident en Belgique, puis je garder l'immatriculation francaise? probable que oui mais j'aimerais la confirmation

     

    Comment faire alors le controle technique du planeur?

    Dois je me rendre chaque années sur un terrain francais (Maubray par exemple) pour faire le controle par un controleur francais?

    Quels sont les couts de ce controle francais?

     

    Merci pour toute aide.

     

    Bons vols a tous,

    Bruno

     

     

     

    Bonjour,

     

    Belge comme toi, j'ai fait immatriculer mon planeur en F-xxxx.

    Par contre, j'habite la France 6 mois par ans et mon planeur est basé dans un club français et ne vole qu'en France.

     

    Si ce n'est pas ton cas, comme je le suppose, je te déconseille de conserver l'immatriculation française : si tu effectues la visite toi-même, tu dois avoir une preuve de résidence, même secondaire, en France, pour obtenir ton agréation de technicien (LNMA) et présenter ton planeur chaque année à un contrôleur , dans un club français pour le renouvellement annuel du CDN.

     

    A moins que tu ne connaisses un club français où un technicien aurait les qualifications pour présenter ton planeur en ton nom, mais renseigne toi, cela ne doit pas être très courant et la personne n'est peut-être pas disposée à effectuer ces démarches annuelles ?

     

    Contrairement aux contrôleurs allemands qui sont habilités à examiner des planeurs en D-xxxx,dans les autres pays européens, il n'est pas prévu que les contrôleurs français puissent se déplacer.

     

    Le sujet a déjà été traité voici environ 6 à 8 semaines sur ce forum.

     

    Bien à toi,

     

    Jean Simon

  2. Bonjour à tous.

    L'administration belge me met de bâtons dans les roues pour le remouvellement de L'ARC de mon planeur (LS3a). Bien qu'ayant soumis un AMP semblable en tous points à celui d'un autre LS3 et accepté (celui-là) ils chipotent sur des phrases et des mots du nouvel AMP et refusent de me communiquer les corrections nécessaires. Ils se contentent de dire: ceci n'est pas correct, (sous-entendu) débrouillez-vous.

    Devant cet assaut de mauvaise volonté, j'envisage de demander un asile politique, non plutôt un asile vélivole, à la France toute proche et que j'ai souvent fréquentée: St Florentin,Poitiers, Sisteron, Puimoisson, Bailleau...

    Quelqu'un peut-il me dire: 1) s'il est possible de demander un ARC français si le belge est périmé ?

    2) si quelqu'un, firme ou particulier, pourrait s'occuper des formalités, moyennant rétribution, bien entendu?

    3) combien çà pourrait coûter ?

    Merci de vos réponses.

     

    Bonjour,

     

    Je suis entièrement de l'avis de Manu : la solution "D" est la meilleure, sauf si tu décidais, comme moi de baser ton planeur en France et d'y voler une bonne partie de l'année.

    La France ne possède pas de système de contrôleurs dans ses pays voisins, comme l'Allemagne.

    Tu devrais donc ramener ton planeur chaque année dans un club français, introduire ta demande de prolongation du CDN, et attendre la venue du contôleur avant de repartir en Belgique.

    Les frais de conversion au régistre français sont assez élévés (de mémoire, +/- 8000 €)et il faut y ajouter les frais d'agréation de ta station d'aéronef. J'ai eu la chance, ne volant qu'à Vinon toute l'année et y résidant pendant tout l'été, de trouver beaucoup d'aide pour la constitution du dossier et des conseils pour pouvoir résoudre différents problèmes administratifs.

    Mais il s'agit donc d'une démarche beaucoup plus lourde que la solution allemande que propose Manu, pour quelqu'un qui ne souhaiterait pas s'impliquer dans un club français.

    En cas de besoin, tu peux m'envoyer un mail personnel, je te répondrai avec plaisir.

     

    Bon choix,

     

    Jean Simon

  3. Bonjour

     

    Avez vous déja rencontré du givrage en vol ?

    Dans quelles conditions ?

    Le but est de connaitre les situations "à risque"

     

    je commence par 2 exemples vécus :

     

    - en hiver, température trés négative dans la nuit au sol et planeur dehors (twin2) : au décollage, givrage fin trés régulier sur tout le bord d'attaque et les verrières : vitesse de decollage augmentée de ? 10 km/h ? et montée plus poussive du remorqueur ; disparition du givrage aprés 20 mn en dynamique (qui donnait bien)

    - automne, pic de bure, DG 400, aprés une montée au 195 en onde : descente et retour dans la couche convective en glissant sur un cumulus faiblard de fin de journée : givrage marqué (quelques mm) sur le bord attaque et presque rien sur la verrière ; disparition aprés l'atterro presque 1 heure plus tard

     

    difficile dans les 2 cas de vérifier les perfos du planeur ; le domaine de vol était modifié par une augmentation inférieure à 10 km/h de la vitesse de decrochage

     

     

     

     

     

     

     

     

    Autre expérience :

     

    Posé dans un gros orage à Gap-Thallard, je redécolle très tardivement dans une masse d'air assez froide, en direction de Vinon.

     

    Arrivé très haut (2600m) à Saint Auban, j'aperçois, devant moi et environ mille mètres en dessous, une multidude de petits nuages assez espacés (une autre masse d'air plus chaude et très humide ?).

    Lorsque je pénètre dans cette masse d'air, mon cockpit givre immédiatement à la surface externe ne me permettant plus qu'une vision latérale assez limitée qui n'aurait pas permis un atterrissage en sécurité.

    J'ai réduit la vitesse et me suis laissé descendre lentement et j'ai poussé un grand soupir de soulagement lorsque j'ai constaté que, dans ces conditions, le givre fondait et que ma visibilité redevenait normale.

     

    Jean Simon

  4. Bonjour à tous

    Mon ipac hp 1710 ne tient plus et ne prend plus la charge. Le voyant dit que ça charge mais au bout de 24 heures la batterie n'est pas du tout chargée. J'ai essayé d'ouvrir la bête pour voir et changer l'accu mais malgré les vis enlevées pas moyen d'ouvrir :blink:

    Quelqu'un de plus doué que moi pourrait il me donner la solution (marteau excepté :wacko: ) et me dire où éventuellemnt trouver l'accu de rechange

    Merci d'avance

     

    Je viens d'envoyer deux Ipaq H3630 (un modèle pourtant fort ancien) à Angers, à l'adresse suivante :PDA-SERVICES, 9 square E. Varlin 49000 Angers et les ai reçu en retour (en Belgique). Coût : 30€ par batterie et ils peuvent effectuer d'autres réparations. Tél.: 0241350722. Mail : thcragolini@free.fr

    Ils ont un site (voir Google) et ont été recommandés dans ce forum.

     

    Salutations vélivoles

     

    Jean simon

  5. Je voudrais m'adresser à TPJPACT et lui demander qui apparaît officiellement, dans ses documents belges d'immatriculation, comme propriétaire ? L'ancien propriétaire belge a-t-il peut-être accepté de continuer à paraître comme co-propriétaire à moins que le Club belge auquel tu t'es affilié ait accepté de le faire?

     

    Je suis Belge et je vole à Vinon (je crois que nous nous connaissons), et je viens de me renseigner auprès du ministère belge des communications pour un de mes amis de Vinon qui envisage l'achat d'un planeur belge : l'immatriculation belge n'est possible que si le propriétaire (ou un co-propriétaire au moins) réside en Belgique. Comment as-tu résolu ce point ?

     

    Pour le renouvellement (tous les 2 ans) des CN, je suis bien d'accord avec toi, il suffit de faire faire la visite en France par un atelier ou un contrôleur agréé (par la France) et d'envoyer le rapport au Club belge auquel tu t'es affilié;chaque Club possède généralement un membre agréé comme contrôleur technique; celui-ci doit parapher, pour acceptation, le rapport de visite français et le présenter à la fédération.

    Le contrôle, en France peut se faire selon la procédure habituelle du contrôleur français (schéma de visite) ou, au choix, selon le schéma belge qui est plus simple.

    Cette procédure se passe en toute transparence, les deux documents étant annexés à la demande de renouvellement du CN, le rapport de visite français et l'avis du contrôleur belge sur contôle documentaire.

    Le formulaire de demande de renouvellement du CN doit être demandé au responsable de la fédération (M. Claude Vincent) et les seuls frais administratifs sont de 15€ à verser à la féderation (voir modalités et adresses sur le site www.fcfvv.be). Tout cela est simple, pragmatique et rapide.

     

    Par contre, il ya (comme toujours) un sérieux problème qui a été évoqué dans cette rubrique du forum : la Belgique impose une taxe de "mise en circulation" lors de l'immatriculation. Pour mon nouveau Discus2, je viens de payer environ 2.500€.

    Il s'agit d'une taxe dégressive avec l'ancienneté du planeur. Elle diminue de 10% par année d'ancienneté. C'est pourquoi certains pilotes belges de planeurs neufs maintiennent une immatriculation allemande pour ne demander l'immatriculation belge qu'après 6 ou 7 ans, lorsque cette taxe est devenue plus raisonnable. Petite consolation, la demande de versement de la taxe n'arrive qu'avec un retard de un à deux ans sur l'immatriculation , ce qui permet d'étaler l'effort financier après l'achat du planeur.

    Pour ma part, j'ai estimé que la simplicité de la procédure belge (tous les 2 ans au lieu de chaque année, pas de frais "Véritas", . . . .) valait bien d'accepter cette grosse dépense récupérable par la suite.

     

    Amitiés vélivoles.

    simon.jean@skynet.be

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