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pano

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Messages posté(e)s par pano

  1. Touraine-Planeur organise à nouveau son concours amical, international et bisannuel du samedi 30 juillet au samedi 6 août 2016.
    Accueil le vendredi 29 juillet ; première épreuve samedi 30.
    Dernière épreuve et soirée de clôture le samedi 6 août.


    C'est un concours à l'ambiance sympathique, dont le règlement est simple : il s'agit d'aller photographier des châteaux (de la Loire of course) figurant sur une liste ; plus ils sont loin, plus ils rapportent de points. Le concurrent s'organise comme il veut : à l'ouest, à l'est... Mais très vite on se prend au jeu, la gagne devient féroce !


    Nouveauté 2016 : il y aura deux classes, donc deux gagnants par épreuve, deux podiums (podia ?) et deux fois plus de fun : d'un coté les plastiques, et de l'autre, les bois et toile.

    Les règles seront identiques pour chaque classe ; elles se différencierons seulement par les matériaux de construction des planeurs.

    Inscription : 160 €, comprenant la cotisation au club.
    Le bulletin d'inscription et le règlement seront bientôt en ligne, sur le site internet du club http://www.touraine-planeur.org


  2. Je remonte ce très vieux sujet, pour faire part d'une mauvaise expérience. Cet été, jai été victime d'un incident de départ au treuil, en Alliance, avec atterro, disons, butal : une vertèbre cassée.

    Et ben si j'aurais su, j'aurais eu un coussin absorbeur de choc. 45 € c'est moins cher que 3 mois d'immobilisation... JMP

  3. Je ponce donc je suis.

    Touraine-Planeur (Le Louroux) a dégelcoaté un Pégase en 3 jours. Pas mal, hein ? (Merci l'Atelier régional de Vinon).

    JMP

     

    http://img404.imageshack.us/img404/7296/207l.jpg

    Et oui, il reste encore un côté !

     

    http://img517.imageshack.us/img517/5656/110fiy.jpg

    Le plus âgé a 82 ans, le plus jeune 16 ans !

     

    http://img227.imageshack.us/img227/355/210x.jpg

  4. J'ai eu ça il y a qqs années, entre Blois et Tours, à 700 m. Je ramais pour rentrer. Lui il rentrait à Tours tranquille. Mais il avait le soleil déjà un peu bas en pleine gueule. Même hauteur, pile sur moi. J'ai donné un grand coup d'aile pour qu'il me voit. Immédiatement il a changé de direction, il a ralenti, et il est venu faire un grand 360 ° autour de moi. J'ai trouvé ça très gentil. Mais, surtout, je me suis dit que, mine de rien, il regardent bien dehors ces gars-là. Peut-être mieux que nous... ? JMP
  5. J'ai envoyé cette observation de vautours à Tours à La Hulotte, un petit journal qui raconte la vie des animaux d'une manière géniale. Je vous dois leur réponse :

     

    (...) Même si le problème de famine des vautours espagnols est une réalité - fortement médiatisée et avec beaucoup d'approximation -, l'été est traditionnellement, chez les vautours (surtout chez les "immatures", et de manière générale ceux qui ne sont pas occupés à nourrir leur progéniture) la saison des longs voyages : c'est la seule saison où les vautours peuvent planer d'ascendance thermique en ascendance thermique au-dessus des plaines et sur de grandes distances. Il s'agit de prospection pour de la nourriture, peut être pour des sites potentiels de nidification.

    On en a déjà observé jusqu'aux Pays Bas ! On ignore si ces voyages aventureux se soldent par la mort des explorateurs ou si ces derniers finissent par regagner leur patrie.

     

     

    Et je fais de la pub, notamment pour les numéros 91 et 93, consacrés aux vautours, qui ne peuvent qu'aller droit au cœur des vélivoles.

    Pas cher et facile à trouver sur internet :

    La Hulotte

    8 rue de l'Eglise

    08240 BOULT AUX BOIS

    03.24.30.01.30

    lahulotte.fr

     

     

    Julien, vomir en catastrophe pour améliorer le centrage au dernier moment, non : c'est une rumeur. D'ailleurs quand un VI vomit, est-ce que ça se sent (si j'ose dire !) à... l'assiette ? :P

    Par contre, une chose est bien connue, c'est la procédure d'extrême prudence des vautours qui ont repéré une charogne : ils tournent longtemps au-dessus avant de se poser, ils restent longtemps à l'écart pour observer les mouvements éventuels, ils regardent les corbeaux qui eux s'en f... et sont déjà dessus, et quand ça leur parait correct, ils se jettent dessus, dedans, dessous, dans un ordre précis que les chefs ne manquent pas de rappeler aux subalternes à qui la faim aurait fait oublier le respect de la hiérarchie !

    Amitiés. JMP

  6. Hello Julien !

     

    Ce sont des voiliers au long cours, certes, qui doivent aller chercher à manger parfois à des centaines de kilomètres.

    Ils ne se posent sur un sol plat que pour manger (un peu comme moi, tu vois ?). Leur habitat (nids, toilette, repos, réchauffage des vieux os au soleil) ce sont des rebords d'à-pics. Les ailes sont trop grandes. Décoller, c'est se laisser tomber dans le vide. La machine est lourde, et il n'y a que grand pas. Une fois en l'air, ça va. Mais battre du moteur, c'est fatiguant. Et ça ne marche pas très bien.

    Et ce n'est pas agréé vol de nuit. Ce ne sont pas des chouettes ! Le soir, il faut se poser.

    La nourriture ? Une vache crevée, des moutons... Le Grand Nettoyeur. En montagne jadis, ça ne manquait pas. Maintenant, c'est fini : il n'y a presque plus d'animaux dans la montagne. Tu vois des chèvres sur le plateau de Sainte-Maure, le pays des chèvres ?

    Et une vache morte, on la range, c'est plus propre. Surtout avec la vache folle. ça ne fait pas bien, un cadavre dans notre monde tout clean...

    Alors, la chaleur, les pluies d'il y a quelques jours ? Je ne crois pas : en Espagne, ils vivent sur les plateaux de Castille des étés pas possibles, et l'hiver, dans les Pyrénées, ils couvent sous la neige.

    En tout cas, une chose est sûre, c'est qu'il n'y a pas de vautours dans nos parages depuis des lustres !

    Et tiens, plus triste encore : tu imagines la nuit, posé dans un coin de champ de Touraine, à la merci du moindre renard comme un vulgaire poulet, et repartir le lendemain matin... J'espère qu'ils ont repéré le coteau de Rochecorbon !

    Peut-être que j'exagère... J'espère. JMP

  7. http://img84.imageshack.us/img84/5406/p1010886d.jpg

     

    Cet aprèm, il y avait 8 vautours en spirale à 1.000 m, à côté du Louroux. Absolument jamais vu ! Et absolument certain que c'était des vautours (fauves).

    La photo, évidemment, est complètement nulle : le temps de sortir l'appareil, trop tard, ils montaient mieux !

    Je suis terriblement content d'avoir vu ces oiseaux splendides. Mais je suis aussi très touché, parce que s'ils ont quitté leurs Pyrénées si lointaines, ce n'est pas pour briller à la Netcoupe, c'est parce qu'ils ne trouvent plus grand chose à becqueter.

    Il se disait qu'on en a vu jusqu'en Belgique. Je ne voulais pas le croire. Mais là, du coup...

    Tonton Griffon.

  8. Rappel : dans toute com (le public étant forcément ignorant), ne plus utiliser l'expression " Vol à voile " mais " Vol en planeur ". Pour éviter les confusions avec " deltaplane ", " ulm ", " planche à voile ", " char à voile ", et des meilleures. JMP
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