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CB15

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Messages posté(e)s par CB15

  1. Depuis janvier 1923 on pratique le vol en planeur à Vauville ce qui en fait le premier aérodrome vélivole de France !

    A la suite du premier congrès expérimental de Combegrasse, l'Association Française Aérienne décide d'organiser son deuxième congrès en août 1923 à Vauville. En fin compétiteur, Alexis Maneyrol décide de reconnaitre les lieux dès janvier 1923 où il effectue un vol de 08h05 s'emparant du record du monde de l'époque. Le 26 aout 1923 Joseph Thoret réalise un vol en ligne droite de 8,1 km en se posant en mer sur des cailloux : record du monde de distance de l'époque...

    Afin de commémorer le centenaire des premiers vols, le Centre de Vol à Voile de Vauville-Hague organise avec le concours du GPPA et de Dédale un rassemblement de planeurs anciens du 19 août au 27 août 2023.

    Si vous avez un vieux planeur et que vous souhaitez venir gratter la pente, ou tout simplement découvrir ou redécouvrir ce terrain où un planeur y a décollé pour la première fois en janvier 1923, vous êtes les bienvenus :) !

    On vous attend...

  2. Bonjour,

    Effectivement cela peut aller de 37€ (IA de 10 000 €) à 659€ (IA de 200 000€) en fonction du capital de l'IA voulu pour la pratique de l'ULM.

    Le seul avantage que je vois (il faut bien regarder de temps en temps le verre à moitié plein) est que l'on peut avoir à présent une IA ULM supérieure à 10 000€ alors que de mémoire avec la passerelle elle était limitée à 10 000€ même si l'IA prise à la FFVP était supérieure.

     

    --> La passerelle ne gérait pas la RC, uniquement l'Individuelle Accident.

  3. Bonjour,

    Une idée qui pourrait répondre ces questions serait de faire comme pour les VI en ULM avec la FFPLUM. Il existe en effet une assurance passager à 30€/an que le pilote souscrit en début d'année. Plus d'interrogation à avoir avant le vol s'il faut prendre ou pas une assurance pour le passager, c'est le pilote qui l'a prise une fois pour toute.

    Dans notre association nous imposons cette assurance à tous les pilotes qui font des VI et incitons fortement ceux qui emmènent souvent des proches.

     

    Nous avons le même courtier, des passerelles FFVP-FFPLUM, dommage que l'on n'homogénéise pas cela.

     

    Olivier

  4. Pour en avoir discuté il n'y a pas si longtemps, sur base d'échanges avec notre correspondant DGAC et une lecture la plus attentive possible des textes règlementaires, j'en retiens la chose suivante:

     

    La définition du Membre d'équipage de conduite : "Membre d'équipage titulaire d'une licence, chargé d'exercer des fonctions essentielles à la conduite d'un aéronef pendant une période de service de vol", permet de dire que deux pilotes détenteurs d'une licence (et en état d'en exercer les privilèges) sont bien « membres d'équipage » et non « passagers ». Ils peuvent donc être tous deux être commandant de bord (aujourd’hui il faut dire PIC) quelles que soient leur qualifications annexes (et ne sont d'ailleurs pas soumis à la règle des 3 deco/atteros/mois….)

     

    Bonjour à tous,

     

    J'avoue être un peu circonspect de cette analyse, pour moi nos planeurs (même biplaces) sont "mono-pilote" et donc lorsque le pilote "A" est CdB, le pilote "B" est passager. Donc si le pilote "B" est passager, le pilote "A" doit être à jour de ses 3 atterro dans les 90 jours (et non 1 mois) et bien sûr être titulaire de l'emport passager. Car si je suis ton raisonnement 2 pilotes brevetés depuis qq jours peuvent voler ensembles ?

     

    Amicalement

     

    Olivier

  5.  

    Question subsidiaire: s'il y a de grosses vagues, on se pose dans quel sens?

    ça se complique !

     

    Pour moi cela sera parallèle à la houle (c'est comme pour les sillons dans le champ !!!) donc // à la plage en général.

     

    Extrait du manuel de vol du Crystal, section 3 "Procédures d'urgences"

     

    "3-3 Atterrissage sur plan d'eau :

    Le Crystal est étanche et flotte.

     

    Procédure proposée : sortir le train et effectuer un arrondi normal en rentrant lentement et progressivement les AF afin de toucher la surface de l'eau le plus lentement possible. Choisir une trajectoire face au vent, parallèle à la berge, ou convergente à celle-ci en fin de course.

    Cette manœuvre se contrôle très bien au palonnier. Attendre l'immobilisation du planeur pour ouvrir la verrière. Ramer ou nager si votre dextérité ne vous a pas permis l'accostage de la berge (il a de l'humour le Christian !!!).

     

    Remarque : L'atterrissage sur l'eau doit se faire train sorti et aération fermée. "

     

     

    Olivier

  6. Bonsoir,

     

    Oui les cartes sont gratuites et dispo pour la majorité des pays. Tu peux les télécharger directement via ton Ipad (menu/settings/map data) ou sur le site de butterfly (www.butterfly.aero/support) puis les charger (comme les *.cup) via itunes. Idem pour les infos aéronautiques (menu/settings/aeronautical data).

     

    A+

     

     

    Olivier

  7. En parlant des monts d'Arrée il existe une ancienne piste (ULM ?) orientée Nord Est-Sud Ouest en dur, située sur la crête voici les coordonnées :

     

    48° 24' 1" N 3° 55' 29" O

     

    Cela dit dur dur d'y construire un hangar je pense....

     

    Olivier

  8. Etienne,

     

    Même si je serais tenté d'abonder dans ton sens, il ne faut pas oublier que l'on parle de délivrer une klif "ULM", seul un instructeur ULM peut délivrer des autorisations complémentaires sur un ULM (emport passager, radiotéléphonie par exemple). Aujourd'hui un instructeur planeur (ITP ou ITV) qui est pilote avion et remorqueur avion ne peut pas délivrer d'autorisation de remorquage avion car il n'est pas FI ou FE...

    De même, un instructeur ULM (IULM), pilote planeur, ne peut pas délivrer d'autorisation du type dispositif d'envol incorporé en planeur.

    Donc il parait normal "en terme de cohérence législative" (je me comprends !!) d'avoir le même parallèle entre avion et ULM, d'ailleurs c'est ce qu'a écrit le législateur dans les grandes lignes.

     

    Olivier

  9. 1° tout pilote (avion) qualifié remorqueur,licence valide ou pas, et titulaire d' un brevet ULM multi-axes serait d' office qualifié remorqueur ULM.

     

    2° un instructeur planeur (ITP ou ITV) qualifié remorqueur (et pas forcement instructeur ULM) serait habilité à former un breveté ULM au remorquage.

    Je ne me rappelle plus si ce dit breveté ULM doit aussi être breveté planeur pour assurer des remorquages, mais il me semble que non...

    Il n' est point besoin d' effectuer 50 heures en ULM, vu que les heures d'ULM ne servent qu' à la gloire( :rolleyes: ), en tout cas, n' ont aucune valeur officielle.

     

    bref, la formation de ces pilotes remorqueurs ULM ne sera pas si difficile que ça.

    Attention on s'éloigne du sujet qui parle du projet d'arrêté relatif à l'autorisation de remorquer un planeur avec un ULM. L'arrêté dont le lien est en tête de ce post a, me semble-t'il, plus de valeur que des propos tenus à une AG fédérale, non ?

     

    Concernant la transformation de la klif remorqueur avion en remorqueur ULM, j'imagine qu'une équivalence devrait être faisable facilement : klif rem avion + licence ULM + vol de transformation avec ITV/IULM = klif rem ULM.

     

    A ce jour je suis pilote remorqueur (sur rallye). Demain si mon club achète un ULM, je ne suis plus remorqueur car il faut que je passe ma licence d'ULM que j'effectue 50 heures en cdb et enfin que je j'arrive à trouver un ITV instructeur ULM ayant la qualif remorquage ULM. En gros 1 à 2 années avant d'être requalifié.

    Est ce que j'ai bien compris?

    Je ne sais pas s'il existe beaucoup d'ITV avec la klif "IULM" et "remorqueur avion" qui pourront former au remorquage ULM, moi j'en suis, il y en a d'autres ?

     

    Olivier

  10. Mais bon on le sait depuis le début.

    Merci aux animateurs/inspecteurs GNAV rolleyes.gif pour le boulot quasi bénévole fourni.

    Ben non désolé "on" ne le savait, et je pense que d'autres "on" ne le savaient pas non plus à propos des CDNS/CDNR (ce post aura donc ce mérite :blush: !!).

    Alors bien sûr, c'était sûrement écrit qqpart donc c'est NOTRE FAUTE, notre TRES GRANDE FAUTE, mais je persiste (un peu, désolé) et sans aucune animosité (j'ai milité dans mon club pour basculer vers le GNAV dès cette année alors que d'autres préféraient attendre un peu), il est dommage que lorsque nous avons inscrit le Crystal il n'y ait pas eu de réactions, c'est tout ! Cela nous aurait permis d'anticiper la venue du GSAC.

     

    Après je comprends que tout ne peut pas être réalisé dès le début et c'est normal, mais se retrancher derrière

    Quand tu signes un contrat tu ne lis jamais les clauses ??
    c'est dommage pour un mouvement associatif (c'est bon pour les assurances çà non ???!!! ).

     

    Par ailleurs la visite de l'inspecteur du GNAV s'est très bien déroulée en présence de nos mécanos qui fournissent un boulot totalement bénévole, et fut très constructive :rolleyes: . C'est la preuve que "nous" ("on" est un c..) avons fait le bon choix en faisant confiance à la FFVV dans ce projet du suivi de navigabilité.

     

    Mais bon je crois comprendre qu'il n'est pas autorisé d'apporter qq remarques à propos du GNAV, ce post sera mon dernier sur le sujet.

     

    Olivier

  11. :rolleyes: <_< Autant pour moi, c'est lors de la récente venue du GNAV chez nous (pour une partie de notre flotte) que l'inspecteur nous a informé qu'il ne pourrait pas effectuer la visite du Crystal lors de son prochain passage...

     

    Néanmoins, il eut été peut-être de bon aloi de nous prévenir, lors de notre inscription au GNAV, que ce planeur n'entrait pas dans leur domaine d'application...

     

    En espérant que cela ne soit que provisoire car si notre club a basculé vers le GNAV c'est pour tout passer avec eux, et non pas qq planeurs au GNAV et qq planeurs au GSAC. C'est déjà assez difficile à réaliser ces suivis de navigabilité en terme de doc, alors jongler avec différents dossiers et différents inspecteurs...

     

    Compte tenu des contacts que j'ai encore avec le GSAC, je vois pas pourquoi il vont rire

    On verra bien si l'on obtient un RdV en temps et en heures, vu que le mouvement vélivole souhaite se passer d'eux, ils ne vont peut-être pas se couper les cheveux en quatre pour passer 1 seul planeur au fin fond de la Normandie, mais je peux me tromper (je l'espère !!).

     

    Suite au prochain numéro "retour vers le GSAC"...

     

    Olivier

  12. Notre association a été auditée en fin d'année dernière par un représentant de la DGAC et notre pilote-inspecteur attitré.

    L'audit s'est plutôt bien passé, et comme dans tout audit des axes de progrès ont été relevés.

     

    Les consignes de sécurité, tableaux d'affichage, consignes de piste, fiche de progression et gestion des compétences des pilotes ont été analysés et discutés.

     

    Les échanges ont été constructifs avec notre chef-pilote et le CR de l'audit plutôt "light" par rapport aux remarques formulées oralement... (ils ne sont pas là pour casser, en tout cas les nôtres ;) !!)

     

    A priori (et à confirmer) nos associations ont un agrément DGAC (ex SFA) qui nous permet de faire de la formation, d'où un audit de temps en temps, et le risque de se voir suspendre la possibilité de faire de la formation en cas de pb, qq confirme :lol: ??

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