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Guillaume Trichard

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  1. Bonjour Face aux débat enflammé que soulève cet article, et pour désamorcer toutes polémiques, conjectures fantaisistes et hypothèses erronées, je me vois dans l'obligation d'apporter quelques précisions quand à l'article en question et aux conditions de revalidation de licence. Premièrement l'article paru dans la revue de planeur de la fédération visait à faire connaître le simulateur condor auprès des licenciés et de son lien avec le vol réel. Ma contribution à cet article visait à mettre en lumière ce lien qui m'a fait revenir au vol à voile pur après une longue période d'arrêt, et se bornait à un court témoignage. Les impératifs éditoriaux ne me permettait pas de faire un récit complet de mon expérience (et ce n'était pas le sujet de toute façon) mais d'apporter un exemple de réussite. Secondement vous comprendrez bien aisément que ce relâché a été effectué dans les règles en vigueur. Pour être complet sachez que même si je n'étais pas remonté dans un planeur (pur) pendant 10 ans, j'avais continué à voler sur moto planeur SF28, et j'avais passé l'année précédente la qualification ATMG notamment sur le terrain où s'est effectué le lâché planeur. Si l'on s'intéresse plus en détail aux conditions de revalidation de licence, les voici. Cela a débuté par une navigation au moteur entre l 'aérodrome de La Ferté Alais et celui de Sezanne en motoplaneur avec instructeur. Puis sur le terrain un vol de contrôle de compétences sur Marianne d'1h30, suivi de deux demi remorqués dont un avec incident de largage provoqué par l'instructeur afin de pouvoir juger de l'aptitude de l'élève à ramener l'appareil sur le terrain. Les vols solo qui ont suivi n'ont bien évidemment pas constitué à faire des circuits de 500 km au dessus des Alpes en Ventus 2cx, mais à des vols locaux en Marianne et Pégase car je ne possède pas l'autorisation de vol campagne. Enfin pour ceux qui mettraient en doute les compétences et l'aptitude de jugement de l'instructeur, dont je ne diffuserai pas le nom par respect de sa vie privée, sachez que celui ci a une expérience, par le biais du nombre d'heures de vol et du nombre de qualifications qu'il possède, qui force le respect et l'admiration de toute personne se réclamant fana d'aviation. J'imagine que ceux qui auront vu les images de la collision entre un Skyraider et un Mustang au meeting de Duxford l'année passée sauront de qui je parle. Vous comprendrez bien évidemment que je ne pouvais pas détailler mon récit personnel dans un article qui visait à faire connaitre, du public vélivole pur, un logiciel et surtout une communauté qui a permis de mettre le pied à l'étriller à de nombreux pilotes, et à faire remonter en selle beaucoup d'autres. J'espère que ces précisions feront la lumière sur cet article et les objections qu'il a suscité. Cordialement Guillaume Trichard
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