C’est avec une grande tristesse que je viens d’apprendre, que Jean nous avais quitté ce mois d’octobre dernier. Bien que n’ayant pas gardé un contact récent avec lui il était toujours dans mes pensées, j’ai été son équipier pendant quelques années en team Racing. Je garde de cette période des souvenirs et une intensité d’activité comme il savait la communiquer. Les weekends de compétition surtout en province. Et particulièrement Dijon en plein mai 68 où nous sommes partis en pleine pénurie de carburant, sans être sûr de pouvoir revenir.
Quelques championnats de France où nous étions presque toujours sélectionnés en tête sans jamais concrétiser, une seule fois nous finissions en première place, mais 0,2 ou 0,3 cm 3 en trop au réservoir nous avaient éliminés. Un seul championnats du monde à Namur (Belgique ) c’était moins loin que les autres où nous n’avions pu nous rendre faute de finances. Les journées et soirées à l’atelier du CES à faire des essais et rechercher de nouvelles techniques, les huiles les carburants les hélices les cellules et la construction du Fauconnet. Et bien d'autres choses mais je ne voudrai pas être trop long.
J’adresse toutes mes amitiés à ses enfants et à Françoise.
Jean Magne
dans www.planeur.net
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C’est avec une grande tristesse que je viens d’apprendre,
que Jean nous avais quitté ce mois d’octobre dernier. Bien que n’ayant pas
gardé un contact récent avec lui il était toujours dans mes pensées, j’ai été
son équipier pendant quelques années en team Racing. Je garde de cette période
des souvenirs et une intensité d’activité comme il savait la communiquer. Les weekends
de compétition surtout en province. Et particulièrement Dijon en plein mai 68
où nous sommes partis en pleine pénurie de carburant, sans être sûr de pouvoir revenir.
Quelques championnats de France où nous étions presque toujours sélectionnés en tête sans jamais concrétiser, une seule fois nous finissions en première place, mais 0,2 ou 0,3 cm 3 en trop au réservoir nous avaient éliminés.
Un seul championnats du monde à Namur (Belgique ) c’était moins loin que les
autres où nous n’avions pu nous rendre faute de finances. Les journées et soirées à l’atelier du CES à faire des
essais et rechercher de nouvelles techniques, les huiles les carburants les
hélices les cellules et la construction du Fauconnet. Et bien d'autres choses mais je ne voudrai pas être trop long.
J’adresse toutes mes amitiés à ses enfants et à Françoise.