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Vinc

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Messages posté(e)s par Vinc

  1. Bonjour à tous,

     

    il se trouve que, confinement aidant, l'équipe restauravia (http://restauravia.fr/) vient de sortir un magnifique Wassmer WA-28 Espadon pour X-plane 11, plusieurs immatriculations et une version Squale sont en cours de développement, j'essaie de glaner pour eux des infos comparées sur le comportement des AF de l'Espadon et du Squale…

     

    Y-a-t-il ici des gens qui ont volé sur ces deux planeurs ? on aimerait avoir des témoignages sur le comportement en vol des deux machines AF sortis (les manuels de vol de Wassmer sont un peu laconiques là-dessus) …

     

    merci d'avance :)

     

    Vincent

     

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  2. Bonjour,

    Je suis un artiste photographe, j'ai déjà volé plusieurs fois en planeur et je compte devenir vélivole une fois trouvé le bon club en région parisienne.
    Je prépare actuellement un concours d'entrée au studio du Fresnoy qui accorde un résidence de 2 années de production avec des moyens techniques conséquents mis à disposition (https://www.lefresnoy.net/fr)
    Mon projet de création de 2e année est un court métrage qui traite du vol à voile et de la météorologie (2e année mais j'y travaille déjà pour gagner du temps)
    De mon côté ma démarche en est encore à l'étape de la candidature pour intégrer le Fresnoy pour, une fois le concours d'entrée passé, utiliser leur moyens de production pour réaliser mon film.
    Voici un résumé de la note d'intention qui sera le fil conducteur du propos du film :

    Le court-métrage que je compte réaliser traite du vol à voile en mettant en regard la météorologie et le vol à voile à travers une plongée dans les calculateurs et algorithmes de MétéoFrance modélisant les mouvement de l'atmosphère d'une part, et le caractère intuitif et aléatoire du vol en planeur d'autre part ; à savoir qu'avant de s'envoler dans son planeur, le pilote accumulera un maximum de mesures prévisionnelles sorties de ces calculateurs pour, une fois en vol, arbitrer de la façon la plus intuitive possible face au cours des choses.

     

    Ici nous avons la puissance informatique qui essaie de mesurer/d'anticiper la puissance du ciel.

     

    Rien n'est plus trompeur qu'un nuage dans le ciel..

    Ces masses d'eau en suspension créent un monde éphémère aussi magnifique pour les yeux qu'impitoyable avec le premier imprudent s'y aventurant de trop près..

     

    Là-haut, avec ces nuages, le ciel devient paysage alors qu'en bas, le paysage devient planète.

     

    Rien n'est plus trompeur qu'un planeur dans le ciel..

    Le pilote dans son planeur se bat avec la nature et quelque part avec lui-même pour rester en l'air le plus longtemps possible ; de la même façon qu'un artiste se bat avec lui-même pour trouver l'ascendance sur le cours des choses qui lui permettra de produire ses créations tandis que les gens «normaux» s'imaginent qu'il ne se passe pas grand-chose là-haut vu que le planeur n'a pas de moteur et que l'artiste semble ne pas en ficher une..


    Plus concrètement la trame du film s'articulera autour d'un vol en planeur à partir des premières prévisions de la veille révélant une configuration propice du ciel, jusqu'à l'atterrissage final en fin de journée. (phénomène «spectaculaire» recherché dans l'idéal : onde de ressaut au dessus d'une montagne ou d'un front froid ? Saut de bidone ? Thermique bleu? Vol de pente près d'une falaise ? Etc..)


    Le montage fera s'alterner, d'une part, des images de prévisions, des calculateurs et des équipes de MétéoFrance faisant ressortir une puissance de calcul au travail et, d'autre part, des images de caméra embarquée du pilote dans le cockpit de son planeur, les sens en alerte et sa solitude face à l'évolution du vol avec en toile de fond ce bruit du vent relatif sur la cellule (ignoré de tous les néophytes qui s'imaginent un silence), le signal sonore du variomètre en guise de compagnon de vol et les inquiétants/rassurants échanges radio avec le sol.


    L'intention consiste ici à faire transparaître la vertigineuse confrontation de l'Homme avec la puissance de la Nature à travers la potentielle «hostilité» du ciel. (ce danger qui, une fois accepté, est maintenu à une distance de sécurité par les décisions du pilote)


    Le résultat visuel s'approchera du caractère minimal qui ressort du documentaire «Moonwalk One» de Theo Kamecke sorti en 1972.

    La renommée du Studio du Fresnoy est mondiale dans le milieu de l'art contemporain, les places y sont convoitées et seules les candidatures les plus "solides" sont retenues..
    J'ai jusqu'au Mercredi 24 Avril 2019 avant Midi pour soumettre mon dossier de candidature,
    d'ici-là sauriez-vous vers qui je peux me tourner dans le milieu du vol à voile pour pouvoir appuyer ma candidature au moyen d'une lettre de recommandation? contact mail du président de la fédération ou d'un centre de vol à voile ? ou le contact de Jean-Marie Clément le recordman auteur d'un beau livre "danse avec le vent" qui me sert de support technique ?
    Merci d'avoir lu, si vous avez une idée qui pourrait m'aider n'hésitez pas :)
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