Michel Posté(e) le 14 février 2011 Signaler Partager Posté(e) le 14 février 2011 (modifié) http://www.cvvm.fr/div/images/trombi/christian.jpgC’est avec une grande tristesse que nous avons appris Dimanche la disparition de Christian Picot de la Beaume, suite à une fulgurante maladie. Son père, René, créait dans les années 55/60 le terrain du Pic Saint Loup. C'est aujourd'hui le plus ancien membre du club qui tire sa révérence. La Montagne-Noire, Florac, la Grande-Combe, Le Pic Saint Loup mais aussi Bédarieux (où il officiait encore comme chef pilote)... c'est toute la famille vélivole du Sud-est qui tient à soutenir sa famille, son fils Guillaume et ses amis dans cette dure épreuve. “Un pilote ne meurt jamais, il s'envole juste et ne revient pas” - A. St Exupery Modifié le 15 février 2011 par Michel Citer http://www.cvvm.frIl n'y a que les vélivoles qui savent pourquoi les oiseaux chantent Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Tic-Tac Posté(e) le 14 février 2011 Signaler Partager Posté(e) le 14 février 2011 Merci à toi Christian pour tout ce que tu m'a donné.C'est grâce à toi que je vole aujourd'hui......et ce n'est pas prêt de s'arrêter. J'aurais été ton dernier élève mais je volerais sous tes ailes......et celles de ton Twin. Si voler était le langage de l'homme, planer serait sa poésie Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
OLV48 Posté(e) le 15 février 2011 Signaler Partager Posté(e) le 15 février 2011 à te retrouver au détour d'un cumulus lozérien bon dernier vol C hristian Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
bocquet bill Posté(e) le 15 février 2011 Signaler Partager Posté(e) le 15 février 2011 J’ai croisé Christian sur le terrain du Chanet en 1992, Je me souviens, si ma mémoire ne me joue pas de tours, d’une page de journal jaunie par le temps que Christian m’avait montré, on pouvait y voir un « tigre Mou » le nez à la verticale à quelques mètres du sol… Je crois que c’était son premier pied de nez à la grande faucheuse, à l’issue je crois, d’un largage para qui avait mal tourné. Par la suite il me semble qu’il avait également surmonté une terrible maladie … Je me souviens aussi de quelques merveilleux vols en hélico au dessus des Causses, et de quelques conseils bien avisés sur les conditions de vols, quelques fois particulières, du Causse Méjean. En bref je me souviens d’un sacré bonhomme, avec un sacré grand cœur. Le voilà parti pour un bougre de circuit, mais j’ai quand même un drôle de pincement en pensant qu’il a inscrit l’éternité comme premier point virage. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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