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Vol A "voile" Magazine


NICO challes

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fidel de la revue

mon magazine préféré me colle une photo de bateau en page finale !!

que ce passe t il ? il n aurait plus de mécène dans notre milieu ,....

http://img824.imageshack.us/img824/3770/catana.jpg

 

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Modifié par NICO challes
Ne rien lacher .....pour ne rien regretter !
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Meilleurs contributeurs dans ce sujet

Visiblement, les catamarans se vendent mieux que les planeurs !... :blush:

 

Bonne Année ! :noel::super:

http://www.spina-bac.biz/catalog/images/hny_fdart_bleu.gifhttp://www.spina-bac.biz/catalog/images/hny_fdart_red.gif

Modifié par Yurek

Yurek
http://www.yankee-romeo.com
If God meant man to fly, He'd have given him more money.
Honni soit qui mal y pense ! http://informatiquefrance.free.fr/sms/sms_04.gif

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Visiblement, les catamarans se vendent mieux que les planeurs !... :blush:

 

Il y a de fortes probabilités.... Y'a même 1 hic sur la Côte d'Azur. On dénombre tellement de rafiots que le délai pour louer un anneau est de l'ordre de 2 à 3 générations. Faut juste être patient si tu veux amarrer une embarcation. Cool.

Et je ne parle pas d'argent, ce serait indécent. :lol:

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Visiblement, les catamarans se vendent mieux que les planeurs !... :blush:

 

Il y a de fortes probabilités.... Y'a même 1 hic sur la Côte d'Azur. On dénombre tellement de rafiots que le délai pour louer un anneau est de l'ordre de 2 à 3 générations. Faut juste être patient si tu veux amarrer une embarcation. Cool.

Et je ne parle pas d'argent, ce serait indécent. :lol:

 

 

Bah un katana 50 pieds c'est quand même une bonne machine, sinon Afro il y a des anneaux à louer sur Sete et d'autres sur Leucate, bon pour le prix d'une tres grosse saison en club ou pour une une bien belle machine neuve en 18m turbo des anneaux dispo sur Port Leucate.

 

Bon si tu peux cumuler les deux, un cata c'est le pied absolu.

 

Reste le loto.

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il y a des anneaux à louer sur Sete et d'autres sur Leucate

 

C'est exact et ce depuis plusieurs années. Zéro anneau côté est et quelques un à l'ouest. Pas trop branché bateau mais je connais un peu, j'ai trainé quelques années à l'arsenal de Toulon où je suis né, cong !

Modifié par afro
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Visiblement, les catamarans se vendent mieux que les planeurs !... :blush:

 

Il y a de fortes probabilités.... Y'a même 1 hic sur la Côte d'Azur. On dénombre tellement de rafiots que le délai pour louer un anneau est de l'ordre de 2 à 3 générations. Faut juste être patient si tu veux amarrer une embarcation. Cool.

Et je ne parle pas d'argent, ce serait indécent. :lol:

 

 

Aussi longtemps que pour une place de hangar ???? J'y crois pas !!

Donnons des ailes à nos rèves !

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salut

 

chaque année, la place de hangar pour un planeur coute une "poignée" de centaine d'euros alors que pour un bateau, c'est plutôt une "poignée" de MILLIERS d'euros

 

pas si cher finalement le vol a voile....

 

bonne fin d'année

2 options ? prends la mauvaise, comme ça si tu te trompes...

 

vincent.jvt01"xxx"free.fr

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Visiblement, les catamarans se vendent mieux que les planeurs !... :blush:

 

Il y a de fortes probabilités.... Y'a même 1 hic sur la Côte d'Azur. On dénombre tellement de rafiots que le délai pour louer un anneau est de l'ordre de 2 à 3 générations. Faut juste être patient si tu veux amarrer une embarcation. Cool.

Et je ne parle pas d'argent, ce serait indécent. :lol:

 

 

Aussi longtemps que pour une place de hangar ???? J'y crois pas !!

C'est quel hangar ? Celui en Namibie ?!!

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alors que sur un autre magazine et en première page:

http://img401.imageshack.us/img401/6858/volpaysbasque190.jpg

Modifié par rimaroc
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salut

 

chaque année, la place de hangar pour un planeur coute une "poignée" de centaine d'euros alors que pour un bateau, c'est plutôt une "poignée" de MILLIERS d'euros

 

pas si cher finalement le vol a voile....

 

 

+1

Je suis arrivé à la même conclusion.

Reste le systeme de location mais une semaine egale une saison de vol a voile.

Autant passer quatre semaines à StAuban, mais bon madame n'a pas le même avis.

Difficile les discutions de fin d'années parfois.

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Reste le systeme de location mais une semaine egale une saison de vol a voile.

Sauf que pour ce prix on a un bateau qui loge plusieurs personnes et donc le prix est à diviser par le nombre de personnes si on veut que la comparaison soit honnête.

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Sauf que pour ce prix on a un bateau qui loge plusieurs personnes et donc le prix est à diviser par le nombre de personnes si on veut que la comparaison soit honnête.

 

Certe,on peut le voir comme cela, mais bon quatre personnes de la même famille, difficile de diviser en quatre.

Un peu tiré par les cheveux en effet.

On est déjà a l'appéro faut dire.

Bon reveillon et bonne année.

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  • 5 mois après...
Dans le dernier numéro, un tiers (14 pages sur 43) est concacré à des publi-reportages qui ne disent pas leur nom, publicités faites par les deux organisations concurrentes sur la marché des records en Patagonie. Ca commence à faire beaucoup pour des quasi non évènements (1 seul record internationnal) et beaucoup d'animosité entre les organisations. Ne serait-il pas possible de créer, par exemple un courrier des lecteurs, de reprendre certains articles d'Aviasport (c'est le même groupe) dans le genre : "Il y a 50 ans ou 30 ans dans Aviasport", ou plus de traductions d'articles parus dans des revues étrangères, etc etc. Je sais que cette revue ne vit que par les articles que les gens veulent bien y mettre, mais cette fois ci, c'est pousser le bouchon un peu loin. Au fait, un doute me prend, j'ose espérer que les auteurs du "Duel en Patagonie" ne sont pas pigistes, ce serait un comble. (on me souffle à l'oreille qu'il ne faudrait pas bêcher l'élite.)
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Dans le dernier numéro, un tiers (14 pages sur 43) est concacré à des publi-reportages qui ne disent pas leur nom, publicités faites par les deux organisations concurrentes sur la marché des records en Patagonie.

Magnifique, faites-nous rêver !

 

 

Ne serait-il pas possible de créer, par exemple, de reprendre certains articles d'Aviasport (c'est le même groupe) dans le genre : "Il y a 50 ans ou 30 ans dans Aviasport"

Non merci, de grâce, ce baratin-là on l'entend déjà assez dans les clubs... ;)

 

 

de créer un courrier des lecteurs

Bonne idée.

 

 

ou plus de traductions d'articles parus dans des revues étrangères,

Non merci, quand tu es abonné à Sailplane & Gliding et à Segelfliegen, tu en as assez des copié-collés...

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...

(on me souffle à l'oreille qu'il ne faudrait pas bêcher l'élite.)

 

Il faut un minimum de laideur dans cette belle rubrique.

:P

Philoo

A.C.E.S. @ LFOY

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Dans le dernier numéro, un tiers (14 pages sur 43) est concacré à des publi-reportages qui ne disent pas leur nom, publicités faites par les deux organisations concurrentes sur la marché des records en Patagonie. Ca commence à faire beaucoup pour des quasi non évènements (1 seul record internationnal) et beaucoup d'animosité entre les organisations. Ne serait-il pas possible de créer, par exemple un courrier des lecteurs, de reprendre certains articles d'Aviasport (c'est le même groupe) dans le genre : "Il y a 50 ans ou 30 ans dans Aviasport", ou plus de traductions d'articles parus dans des revues étrangères, etc etc. Je sais que cette revue ne vit que par les articles que les gens veulent bien y mettre, mais cette fois ci, c'est pousser le bouchon un peu loin. Au fait, un doute me prend, j'ose espérer que les auteurs du "Duel en Patagonie" ne sont pas pigistes, ce serait un comble. (on me souffle à l'oreille qu'il ne faudrait pas bêcher l'élite.)

 

T'aurais pas une dent contre les Patagons???

Si tu avais su profiter de l'excellente opportunité pour voler en Patagonie (voir autre post ou tu as si bien contribué), tu aurais pu te rendre compte par toi-même à quel point c'est un "non évènement" que de voler la-bas... puis tu aurais pu pondre un article pour nous raconter tout ça! :D

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Magnifique, faites-nous rêver !

 

 

Dans les années 80, la relation d'un vol de 1 000 km dans Aviasport m'avait fait rêver. La déception fut grande quand j'ai appris que ce vol avait été bidonné, truqué...Comment pouvait-on en arriver là? Depuis je suis méfiant.

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Dans les années 80, la relation d'un vol de 1 000 km dans Aviasport m'avait fait rêver. La déception fut grande quand j'ai appris que ce vol avait été bidonné, truqué...Comment pouvait-on en arriver là? Depuis je suis méfiant.

29 juillet 1976, mais ça n'empêche pas de rêver...

Jean-Noël Violette

How many here and now, who slip off to this place for the fun of it,

slide gently across to fly on air vastly simpler than ours, in different

sunlight, to work on flying-machines that in our time don't exist,

to meet friends and loves they've missed here?

Richard Bach, Out of my mind (De l'autre côté du temps)

http://marque-en-ciel.blogspot.com/

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Dans le dernier numéro, un tiers (14 pages sur 43) est concacré à des publi-reportages qui ne disent pas leur nom, publicités faites par les deux organisations concurrentes sur la marché des records en Patagonie. Ca commence à faire beaucoup pour des quasi non évènements (1 seul record internationnal) et beaucoup d'animosité entre les organisations. Ne serait-il pas possible de créer, par exemple un courrier des lecteurs, de reprendre certains articles d'Aviasport (c'est le même groupe) dans le genre : "Il y a 50 ans ou 30 ans dans Aviasport", ou plus de traductions d'articles parus dans des revues étrangères, etc etc. Je sais que cette revue ne vit que par les articles que les gens veulent bien y mettre, mais cette fois ci, c'est pousser le bouchon un peu loin. Au fait, un doute me prend, j'ose espérer que les auteurs du "Duel en Patagonie" ne sont pas pigistes, ce serait un comble. (on me souffle à l'oreille qu'il ne faudrait pas bêcher l'élite.)

 

Puisque tu me cites implicitement, je réponds.

 

Première erreur, il n’y a aucune publicité implicite ou pas de la part d’aucun des auteurs, ni directe ni indirecte. Le noms des sites Web des entreprises qui gèrent ces expéditions ne sont jamais citées. Dans un précédent numéro, il y a eu une pub payante (bandeau de ¼ page) et il y en aura une autre dans un prochain numéro.

 

Deuxième erreur (et je vois que tu n’as pas bien lu les articles), il n’y a pas 1 seul record international mais 7 records du monde battus les uns après les autres par ces deux pilotes (il faut aussi lire les déclarations faites à l’IGC et pour ma part reportées sur le forum, en leur temps). Certes, ils ne seront pas tous homologués, mais chacun a été une performance extraordinaire.

 

Troisième erreur : puisque tu aimes, et j’approuve à 100%, relire les bons articles d’Aviasport d’il y a 30 ans, tu trouveras les plus pertinents (au vol dynamique) sur mon site www.topfly.aero (PUB !!! Scandale !), dont en particulier ceux de Barbera et de Rovesti, qui ont été mes maîtres dans ma découverte du vol à voile il y a plus de 50 ans.

 

Quatrième erreur : en ce qui me concerne, je n’ai jamais pris le moindre centime de pigiste. Ni même ne me suis jamais fait rembourser mes frais quand je faisais un rapport d’essais en vol ou un reportage par exemple sur les réunions IGC/FAI ou le Grand Prix d’Italie dans le prochain numéro. Si tu lisais Aviasport il y a 30 ans, j’écrivais déjà régulièrement. Toujours gratis.

Tu as raison en écrivant que « cette revue ne vit que par les articles que les gens veulent bien y mettre ». Alors prends ta plume et écris nous quelque chose d’intéressant ! Si tu savais le temps et l’énergie qu’il faut pour écrire ces 8 pages…. C’est à se demander si ça vaut la peine de continuer…

 

Je te rejoins sur un point, moi aussi me suis posé la question : « mais qu’est ce que l’article d’un Allemand vient faire dans une revue française ? » La revue allemande ne m’a jamais rien demandé (mais je n’écris pas dans la langue de Goethe) !. Et puis j’ai laissé tomber, car en fin de compte, même si cet article ne m’apprend personnellement rien, il y a certainement quelque chose à apprendre de la part du grand public vélivole. Accessoirement, aucun des deux auteurs n’était au courant de la publication de l’article de l’autre. Et étonnamment, les philosophies qui en découlent, les états d’âme, les stratégies et les tactiques, sont exactement les mêmes. Et croyez moi, il n’y a aucune communication entre nous autre que de courtoisie sportive et d’entraide technique.

 

Maintenant, il faudra bien que tu admettes que la narration de ces deux performances extraordinaires et uniques au monde que sont ces trois triangles FAI d’env. 1.700 km réalisés à quelques jours d’intervalles par un Allemand et par un Français, dans des conditions aussi rocambolesques que complexes et même parfois médiocres pour ne pas dire catastrophiques, ne peuvent trouver une meilleure place que dans la rubrique « GRANDS VOLS ». De mon côté, la narration est surtout destinée à exprimer les sentiments, les états d’âme, à décrire la préparation et la conduite d’une performance extraordinaire, la gestion des problèmes, non pas pour moi, je n’en ai pas besoin, mais pour que chaque lecteur, et surtout les plus jeunes, puisse en faire trésor, la faire fructifier et faire ressortir du chapeau, comme un magicien, la bonne décision au bon moment en disant « Ah oui, j’avais déjà lu ça quelque part, je l’ai essayé et ça a fonctionné!» C’est comme cela que j’ai pu améliorer mes performances tout au long de ces 52 ans de VàV. Lire, lire, et encore lire. Je ne sais même plus où mettre ces bouquins !

 

Parce que dans dix ans, mon cher ami, j’aurai tiré ma révérence et je souhaite vivement que la génération suivante puisse profiter autant de mes écrits que j’ai profité des écrits de ceux qui m’ont précédé.

 

Un autre point sur lequel je te donne raison : la carence en traduction d’articles provenant de revues étrangères. J’en parle souvent avec le rédacteur en chef. Il serait preneur, mais il lui faut des traducteurs ! Alors, pourquoi pas toi ? En ce qui me concerne, je l’ai déjà fait et le referai encore, deux traductions sont en cours.

 

En ce qui concerne les grands vols, ceux-ci sont, avec les championnats du monde, la pointe de l’iceberg de notre sport, la partie émergente, celle qui apparaît dans les journaux, à la télé, dans les médias. Celle qui fait rêver. Les rêves sont gratuits, ils sont le moteur de la vie, ils sont nécessaires pour entreprendre (Attilio Pronzati). Les expéditions en Patagonie sont l’expression maximum du rêve, je l’ai rendue accessible à tous, par le fruit de mon esprit d’entrepreneur et beaucoup de mes deniers personnels. Où est le mal ?

 

Il y aura toujours des jaloux, de ceux qui ne jurent que par l’assistentialisme, le clientélisme, associationnisme, le subventionisme. La Fédé en est remplie. Ce vol à voile est en chute libre depuis des années, il ne conduit à rien d’autres que faire des brevetés à la sueur de nos instructeurs pour la plupart bénévoles (dont j’ai fait partie), des brevetés qui abandonnent à plus de 80% parce qu’il n’ y plus rien derrière qui vaille vraiment la peine. Les grands vols, les vols de rêve, sont une porte de sortie. Certainement pas la seule. Mais de grâce, ne la fermons pas pour des blocages idéologiques !

Dans le monde du vol à voile, la jalousie nous donne une toute petite idée de ce qu’est l’infini….

 

Bons vols, même sans rêve !

JM

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Eh oui... La jalousie, encore la jalousie ! <_<

Un sentiment vieux comme le monde, très puissant, et distribué généreusement à travers l'espèce humaine.

Ne t'en fais pas trop, Jean-Marie. Continue à nous faire rêver !

Yurek
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Puisque tu me cites implicitement, je réponds.

 

Première erreur, il n’y a aucune publicité implicite ou pas de la part d’aucun des auteurs, ni directe ni indirecte. Le noms des sites Web des entreprises qui gèrent ces expéditions ne sont jamais citées. Dans un précédent numéro, il y a eu une pub payante (bandeau de ¼ page) et il y en aura une autre dans un prochain numéro.

 

Deuxième erreur (et je vois que tu n’as pas bien lu les articles), il n’y a pas 1 seul record international mais 7 records du monde battus les uns après les autres par ces deux pilotes (il faut aussi lire les déclarations faites à l’IGC et pour ma part reportées sur le forum, en leur temps). Certes, ils ne seront pas tous homologués, mais chacun a été une performance extraordinaire.

 

Troisième erreur : puisque tu aimes, et j’approuve à 100%, relire les bons articles d’Aviasport d’il y a 30 ans, tu trouveras les plus pertinents (au vol dynamique) sur mon site www.topfly.aero (PUB !!! Scandale !), dont en particulier ceux de Barbera et de Rovesti, qui ont été mes maîtres dans ma découverte du vol à voile il y a plus de 50 ans.

 

Quatrième erreur : en ce qui me concerne, je n’ai jamais pris le moindre centime de pigiste. Ni même ne me suis jamais fait rembourser mes frais quand je faisais un rapport d’essais en vol ou un reportage par exemple sur les réunions IGC/FAI ou le Grand Prix d’Italie dans le prochain numéro. Si tu lisais Aviasport il y a 30 ans, j’écrivais déjà régulièrement. Toujours gratis.

Tu as raison en écrivant que « cette revue ne vit que par les articles que les gens veulent bien y mettre ». Alors prends ta plume et écris nous quelque chose d’intéressant ! Si tu savais le temps et l’énergie qu’il faut pour écrire ces 8 pages…. C’est à se demander si ça vaut la peine de continuer…

 

Je te rejoins sur un point, moi aussi me suis posé la question : « mais qu’est ce que l’article d’un Allemand vient faire dans une revue française ? » La revue allemande ne m’a jamais rien demandé (mais je n’écris pas dans la langue de Goethe) !. Et puis j’ai laissé tomber, car en fin de compte, même si cet article ne m’apprend personnellement rien, il y a certainement quelque chose à apprendre de la part du grand public vélivole. Accessoirement, aucun des deux auteurs n’était au courant de la publication de l’article de l’autre. Et étonnamment, les philosophies qui en découlent, les états d’âme, les stratégies et les tactiques, sont exactement les mêmes. Et croyez moi, il n’y a aucune communication entre nous autre que de courtoisie sportive et d’entraide technique.

 

Maintenant, il faudra bien que tu admettes que la narration de ces deux performances extraordinaires et uniques au monde que sont ces trois triangles FAI d’env. 1.700 km réalisés à quelques jours d’intervalles par un Allemand et par un Français, dans des conditions aussi rocambolesques que complexes et même parfois médiocres pour ne pas dire catastrophiques, ne peuvent trouver une meilleure place que dans la rubrique « GRANDS VOLS ». De mon côté, la narration est surtout destinée à exprimer les sentiments, les états d’âme, à décrire la préparation et la conduite d’une performance extraordinaire, la gestion des problèmes, non pas pour moi, je n’en ai pas besoin, mais pour que chaque lecteur, et surtout les plus jeunes, puisse en faire trésor, la faire fructifier et faire ressortir du chapeau, comme un magicien, la bonne décision au bon moment en disant « Ah oui, j’avais déjà lu ça quelque part, je l’ai essayé et ça a fonctionné!» C’est comme cela que j’ai pu améliorer mes performances tout au long de ces 52 ans de VàV. Lire, lire, et encore lire. Je ne sais même plus où mettre ces bouquins !

 

Parce que dans dix ans, mon cher ami, j’aurai tiré ma révérence et je souhaite vivement que la génération suivante puisse profiter autant de mes écrits que j’ai profité des écrits de ceux qui m’ont précédé.

 

Un autre point sur lequel je te donne raison : la carence en traduction d’articles provenant de revues étrangères. J’en parle souvent avec le rédacteur en chef. Il serait preneur, mais il lui faut des traducteurs ! Alors, pourquoi pas toi ? En ce qui me concerne, je l’ai déjà fait et le referai encore, deux traductions sont en cours.

 

En ce qui concerne les grands vols, ceux-ci sont, avec les championnats du monde, la pointe de l’iceberg de notre sport, la partie émergente, celle qui apparaît dans les journaux, à la télé, dans les médias. Celle qui fait rêver. Les rêves sont gratuits, ils sont le moteur de la vie, ils sont nécessaires pour entreprendre (Attilio Pronzati). Les expéditions en Patagonie sont l’expression maximum du rêve, je l’ai rendue accessible à tous, par le fruit de mon esprit d’entrepreneur et beaucoup de mes deniers personnels. Où est le mal ?

 

Il y aura toujours des jaloux, de ceux qui ne jurent que par l’assistentialisme, le clientélisme, associationnisme, le subventionisme. La Fédé en est remplie. Ce vol à voile est en chute libre depuis des années, il ne conduit à rien d’autres que faire des brevetés à la sueur de nos instructeurs pour la plupart bénévoles (dont j’ai fait partie), des brevetés qui abandonnent à plus de 80% parce qu’il n’ y plus rien derrière qui vaille vraiment la peine. Les grands vols, les vols de rêve, sont une porte de sortie. Certainement pas la seule. Mais de grâce, ne la fermons pas pour des blocages idéologiques !

Dans le monde du vol à voile, la jalousie nous donne une toute petite idée de ce qu’est l’infini….

 

Bons vols, même sans rêve !

JM

JM,

tout à fait d'accord, des que j'en aurais le temps je participerais (j'envisage un sabbatique prochainement ), pourquoi pas une grande expédition dans les Andes.

J'ai également posté sur les possibilité du Maroc (falaises)

malheureusement le niveaux des posts de quelques jeunes "vélivoles" sur ce site voisine avec ce qu'il appellent "Troll"

Horizon pas net reste à la buvette (marin Breton)
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"je l’ai rendue accessible à tous,"

Permettez moi de douter . Ces records ne sont accessibles qu'aux gens fortunés,Tant mieux pour eux . Le seul critère que je retiens est la confrontation nationale . Les grands champions ne sont pas en Patagonie cela se saurait.

Bernard MESSIER

 

Je connais un J M C qui lui est un champion ! Du monde !

Bon, encore un à qui il faut que je raconte tout. Mais comment est-ce possible que vous soyez si mal informés? Ou alors vous refusez la réalité? Les psy expliquent cela, aussi.

 

Quand je dis que dis que j'ai rendu ces vols accessibles à tout le monde, je ne peux pas mieux m'expliquer. Pour 1.833 Euros, tu peux passer 3 semaines sur le Nimbus 4 avec deux autres copains. Pour ce prix là, tu ne fais rien en Europe! Je viens de lire une pub où pour 1.900 Euros tu fais 3 jours à Oskosh, en simple spectateur. Et l'avion sera plein!

 

Je ne vois pas le rapport avec le fait d'être un grand champion, mais si cela peut te consoler, ont volé avec ou contre moi (sportivement, s'entend bien!) Stefano Ghiorzo (champion du monde en titre), Giorgio Galetto (ex champion du monde), Sebastian Kawa (10 fois champion du monde), Terry Delore (champion du monde à l'age de 18 ans). Je ne serai jamais champion du monde puisque j'ai raccroché le manche en 1990, mais je me contente d'un titre de champion d'Europe, d'une 4ème place en championnat du monde, d'une médaille d'or, d'argent et de bronze à Vinon, d'une victoire à l'Open de Fayence, et j'en passe. J'ai une très grande admiration pour d'autres très grands champions dont malheureusement un bon nombre n'est plus là et c'est aussi pour cela que j'ai arrêté. Je n'arrive pas à justifier de risquer ma vie pour gagner une minute sur des allers et retours à Plampinet…. S'attaquer aux records n'est que la continuation naturelle de la courbe d'expérience d'un pilote "complet".

 

Un autre petit détail: avant d'aller explorer la Patagonie, je me suis quand même offert une grande partie des records de France de distance et de vitesse sur aller et retour ou 3 points, chez moi, dans les Alpes, entre Carcassonne et Graz avec un petit détour jusque du coté de Biarritz. Et toujours avec un copilote qui a bien fait trésor de cette expérience..... Évidemment gratuitement.

 

Voilà, maintenant, ça se sait, tu n'as plus d'excuses!

Bons vols,

JM

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Quand je dis que dis que j'ai rendu ces vols accessibles à tout le monde, je ne peux pas mieux m'expliquer. Pour 1.833 Euros, tu peux passer 3 semaines sur le Nimbus 4 avec deux autres copains. Pour ce prix là, tu ne fais rien en Europe! Je viens de lire une pub où pour 1.900 Euros tu fais 3 jours à Oskosh, en simple spectateur. Et l'avion sera plein!

 

 

Peut-on me dire ce qui est compri dans ce tarif car cela m'intéresse pour les 2 propositions

Vol AR, séjour et activité et, vol, entrée et séjour.

Merci

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Merci Bernard, tu as raison tout les pilotes n'ont pas le même budget.

Alors que notre fédé nous vend le treuil pour des décollages à moins de 10 euro

et que nos membres ont parfois du mal a investir 1000 à 1500 euro dans une saisons.

le budget pour aller dans ces pays et impossible pour une personne qui a le salaire

Moyen en France de 2500 euro par mois (et une famille à nourrir).

Pour certain le simple fait de voler demande des sacrifices et de la passion.

Le vol a voile en France a déjà beaucoup de difficulté et certain préfère s'investir

Dans la vie associative de leur club.

Je ne discute pas la performance ni la beauté de la chose mai si un jour je peux me

Payer ce genre de séjour je me considérerai comme un privilégié.

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Perso j'ai trouvé que le dernier vol à voile Magasine était assez sympa

et en tout cas plus intéressant que les n° précédents.

 

Même si le vol à voile pratiqué en Argentine demande des moyens conséquents, ça reste une aventure humaine extraordinaire et moi ça me fait rêver.

Comme l'ont été le Vinon/Fez des frères Herbaud, les vols en Namibie, le 1er 1000 en France de Mazzalerat, relatés ds la revue.

Et se lever plusieurs jours à 3h30 pour se taper 15 heures de vol en onde, en optimisant son vol jusqu'au coucher du soleil

Respect !

 

J'ai volé la semaine dernière avec un Cdb qui possède un ulm Swift.

il a été plusieurs fois champion de france de delta et champion du monde par équipe.

Il songe à acheter un Silent Targa et s’inscrire aux compét de la classe club.

Si on arrive à récupérer quelques pilotes par cette voie ce sera une bonne chose.

 

Et j'ai bien aimé le portrait de Claire Lablée.

Parcours atypique mais tellement intéressant prouvant que qd on veut,on peut.

Je me souviens maintenant que Claire m'a fait passer le test IFR quand j'étais à Merville.

 

@+ flo

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