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Formation Instructeur


Invité Rasta53

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Invité Rasta53

Bonjour à tous

 

j'ai le projet de passer ITP dans quelques temps et je voudrais connaître le nombre d'heures minimum pour débuter la formation.

Les notes fédérales disent ceci "300h de vol en avion et en planeur (200h en tant que cdt de bord dont 30 dans les 12 derniers mois)" et sur le site du cnvv, on peut trouver ceci " Etre titulaire de la licence de pilote de planeur en état de validité et justifier d’un mimimum de 300 heures de vol planeur dont 30 heures de vol planeur comme commandant de bord dans les 12 mois" :huh:

 

Alors, qui croire??? :P

 

 

Voila lr but de ce post

 

 

Bv hivernaux

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Invité françois Hache

attention les 200h planeur en commandant de bord dt 30 dans les 12 mois sont incontournables. C'est le complément à 300 total qui peut être fait en avion.(quand on dit total cela comprend la DC)

Il faut aussi 1000 km sur la campagne dans le cadre de coupe fédérale ou de la netcoupe.

FH

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Invité Invité_Christophe_*

Le minimum est suffisant si tu a fait tes 300 h en deux ans. Si tu ne voles que 50 h par an, que tu ne circuites pas plus que les 50 bornes nécessaires au D, tu penses avoir suffisamment de disponibilité en vol pour te concentrer sur la formation de ton élève? :P

Un instructeur dois maitriser complètement son pilotage, pour qu'en vol il puisse se concentrer sur celui de son élève.

J'ai vu ces dernières années au moins un ITP non titulaire du D, un pilotage tout juste, imagine en club ce qu'il peut amener... les élèves sont beaucoup plus long à former... quand ils finissent ... Pas de connaissances du vol à voile, une expérience tellement faible qu'il n'a aucune aura auprès des élèves...

 

Pour ma part je pense que les minimums ne sont à prendre en compte que dans des cas extrême, considère plutôt une base de 500 H cdt de bord et une bonne expérience sur la campagne.

 

Je comprend que tu sois impatient de devenir instructeur, mais peut être que l'appellation d'instructeur minimum ne te ferais pas trop plaisir. De plus, le stage de formation théoriquement ne comprend pas de mise à niveau de pilotage et les exercices qui te sont demandés requières un très bon niveau de pilotage, alors si tu ne veut pas revenir dépité entraine toi encore deux cent heures. Fais les concours régionaux et/ou nationaux, je t’assure que c'est une école très formatrice.

 

Bons vols

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Fais les concours régionaux et/ou nationaux, je t’assure que c'est une école très formatrice.

 

Cristophe

 

Et si pour des raisons de disponibiltées ou autres tu ne peut faire de concours, comment etre certain de disposer d'un niveau correct ?

 

A+

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Invité Invité_benj_*

Le club est engagé dans la formation de ses cadres, le chef-pilote ou tout ITV a une fonction de formateur de cadres, il est donc en mesure de juger si un pilote est potentiellement un futur cadre.

Après, Christophe a bien raison, le sport est un élément clef de maîtrise du vol, et ce sport peut se pratiquer au quotidien dans un club, sans "compétition" nommée comme telle.

Il ne faut pas oublier qu'être instructeur, c'est être un entraîneur. Cela implique d'aller au-delà du "simple" apprentissage de la technique du pilotage, d'inviter chaque pilote à être autonome dans toutes les circonstances pour prendre plus de plaisir dans notre sport. A en maîtriser la glisse, à sentir le planeur et la masse d'air, à voler en sécurité, à éviter le culte de la peur... trop médiatisé de nos jours!

Bravo aux futurs vélivoles qui veulent transmettre ce plaisir responsable!

 

Benj

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Invité Invité_benj_*

Ce n'est bien évidemment pas une question de former des compétiteurs, mais bien des pilotes aptes à s'adapter à toute situation.

C'est pourquoi on conseille d'avoir une expérience sportive, qui vous a mis dans ces situations, et dont vous êtes conscients qu'elles existent, vachez-vous!

De plus, le critère unique à bien avoir dans la tête est bien d'être assez disponible pour gérer un pilote en plus de se gérer soi-même... Et ce n'est pas si facile, d'où ces 300 heures mini qui marquent une certaine aisance technique et psychique. Après, faut savoir comment on a fait les heures, mais la préformation est là pour combler les manques que tout le monde a, ou les mauvaises habitudes qu'on a prises ;-)

Pour ce qui est du prix, et du temps passé pour être formé, on ne peut qu'être insatisfait, je le comprends. Mais placez vous de l'autre côté de la barrière : on ne peut former un cadre en une semaine, ce serait suicidaire, et je ne me suis pas senti "prêt" après les 3 semaines que j'ai fait au CNVV...

Pour le prix, il faut se rapprocher des Comités Régionaux qui sont en contact avec les collectivités territoriales (Conseil Régional), le Comité départemental (Conseil Général) pour obtenir des subsides. Ca paie en grande partie la formation normalement, mais ça demande de s'y prendre à l'avance.

C'est bien pour cela que les clubs doivent avoir une politique de formation des cadres prévoyante, pour prendre de l'avance.

Enfin, des préformations régionales existent auprès de formateurs de formateurs régionaux, des CTS, contactez la FFVV (Jean-Michel ROY) pour avoir des adresses : info@ffvv.org

Bon courage, c'est une formidable aventure!

 

Benj

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Invité Invité
une expérience tellement faible qu'il n'a aucune aura auprès des élèves...

 

« AURA » :

 

Définition 1 : Atmosphère spirituelle qui enveloppe un être ; :P

Définition 2 : Halo visible aux seuls initiés, dans les sciences occultes. :sick:

 

Certes notre activité à un côté occulte mais en ce qui concerne « l’AURA », je ne suis pas persuadé que ce soit les adeptes (élèves) qui y sont le plus sensibles ou qui s’y intéressent le plus. Certains gourous (instructeurs) eux mêmes peut-être ? <_<

 

Bon Ok, je sors! :huh:

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une expérience tellement faible qu'il n'a aucune aura auprès des élèves...

 

« AURA » :

 

Définition 1 : Atmosphère spirituelle qui enveloppe un être ; :P

Définition 2 : Halo visible aux seuls initiés, dans les sciences occultes. :sick:

 

Certes notre activité à un côté occulte mais en ce qui concerne « l’AURA », je ne suis pas persuadé que ce soit les adeptes (élèves) qui y sont le plus sensibles ou qui s’y intéressent le plus. Certains gourous (instructeurs) eux mêmes peut-être ? <_<

 

Bon Ok, je sors! :huh:

 

 

Dans aura, je suppose que christophe a voulu dire une crédibilité qui a pour conséquence une confiance dans le jugement et l'enseignement de l' instructeur de la part des élèves... ;)

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Invité Rasta 53

merci pour toutes les précisions au niveau de la réglementation mais je ne pensais pas lancée un tel débat

 

je suis d'accord avec Christophe quand il "Un instructeur dois maitriser complètement son pilotage, pour qu'en vol il puisse se concentrer sur celui de son élève. J'ai vu ces dernières années au moins un ITP non titulaire du D, un pilotage tout juste, imagine en club ce qu'il peut amener... les élèves sont beaucoup plus long à former... quand ils finissent ... Pas de connaissances du vol à voile, une expérience tellement faible qu'il n'a aucune aura auprès des élèves...dit " mais quand il dit "Le minimum est suffisant si tu a fait tes 300 h en deux ans. Si tu ne voles que 50 h par an, que tu ne circuites pas plus que les 50 bornes nécessaires au D, tu penses avoir suffisamment de disponibilité en vol pour te concentrer sur la formation de ton élève?"

 

En effet, tous les pilotes de planeur ne volent pas en montagne et ne sont pas tous les week-end et toutes les vacs à faire le sport favorie. Je ne désire pas faire ma formation d'instructeur avec juste les minimas mais juste commencer à préparer le théorique pour passer ensuite à la pratique dans les années qui suivent, quand je me sentirai près à gérer un élève et quand j'aurai une petite expérience de la compète

De plus, avec le pré ITP pratique, je pense que les pilotes justes ne réussissent pas cet examen

 

sinon bv à tous

 

Clément (18 ans et décidé à être instructeur avant 25ans)

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Invité Invité_Christophe_*

Bravo <_<

 

Pour mémoire les instructeurs "minimum" ne renouvelle statistiquement pas leurs qualifications (il y a toujours des exceptions...) :sick:

 

Alors je préfèrerais que l'ont aide ceux qui renouvellent ou qui effectuent plus de 300 heures d'instruction au cours des 6 années qui suivent l'obtention du diplôme... :P

 

Beaucoup crieront au scandale mais c'est toujours pareil la minorité s'exprime avec une telle véhémence que l'on finit pas croire qu'il s'agit d'une majorité.... :huh:

 

Vous avez certainement tous lu les résultats de l'enquête de Ch Brunelière, no comment ...

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Salut christophe...

Oui je suis d'accord sur le fait que "minimum" veut surtout dire garde-fou pour éviter que l'on ne fasse n'importe quoi. Un peu comme les 5 heures à faire pour maintenir sa licence, ou les 8h minimum pour être lâché. Il est évident que de l'expérience est demandée, avoir vu beaucoup de situations différentes, de lieux différents, pour pouvoir se sentir à l'aise soi-même avant d'y emmener quelqu'un.

De toute façon, avant d'entrer en stage instructeur, il y a le PTP (conseillé mais pas obligatoire, il remet effectivement le pilotage d'aplomb, et ça vient vite de s'obliger à piloter à l'asiette et au plan), l'évaluation théorique qui témoigne d'une réelle motivation (pas toujours suffisant ok) mais surtout le test pratique d'entrée où le testeur teste une large panoplie de situations (en tout cas dans mon cas). Ensuite, les formateurs peuvent à tout moment de la formation "réorienter" le candidat ITP vers autre chose (c'est prévu dans les textes).

Tout cela pour dire qu'effectivement 300h c'est faible a priori, mais pour certains c'est suffisant. Je fais suffisamment confiance aux formateurs pour en juger au cas par cas.

Y'a pas d'hélice, hélas ! C'est là qu'est l'os !
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Je pense que les 300 heures sont largement suffisantes pour peu que l'on ne soit pas trop mauvais, bien dans sa tête, ouvert à la critique, que l'on vole régulièrement et que l'on soit très motivé. C'est le cas de beaucoup de jeunes pilotes non?

 

Un peu de plomb dans la tête, cela ne peut pas nuire non plus.

Former qq'un c'est déjà sérieux, mais quand il s'agit de lâcher un élève c'est lourd de responsabilités.

 

Personnellement, j'ai un peu de peine à croire qu'un minot de 18 ans aie les épaules assez larges pour porter une telle responsabilité.

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Invité Rogier P

Je ne crois pas qu'un "minot" de 18 ans ne puisse pas prendre de responsabilité.

Par exemple à l'Ecole de l'air américaine; les élèves de première année sont initié au planeur par leurs ainés de deuxième année, qui n'ont guère plus de 19 ans. Certes la formation ne va pas au-delà du tour de piste.

Je crois pas que l'age est un quelconque rapport avec la capacité à laché quelqu'un.

Seul l'expérience a de l'importance.

Je ne crois pas que le premier laché d'un intructeur soit plus difficile à 18 ans, qu'à 50 ans.

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Pour que des instructeurs forment des futurs pilotes qui sachent aller plus loin que le tour de piste(donc qu'il reste dans le vol à voile), il faut des instructeurs avec un bagage, et peut importe l'age.
Ils ne savaient pas que c'était impossible, ils l'ont fait.....
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Idée de sondage (pour Fred si c'est possible ici ou pour Ch.Brunelière pour la prochaine

enquête) pour les instructeurs:

* à quel âge avez-vous fait votre ITP

(ou ISVV ou Instructeur Adjoint, 1er cycle, etc. suivant les générations) ?

* combien aviez-vous alors d'heures de vol (solo/total) ?

* à quel âge avez-vous lâché votre premier élève ?

* à quel âge avez-vous fait votre ITV (ou êtes-vous devenu IVV, 2ème cycle, etc.) ?

* avec combien d'heures de vol ?

* combien avez-vous lâché d'élèves en tout ?

 

Quand je l'ai fait, nous étions chaque année plusieurs du club à partir en stage instructeur.

Nous nous sommes retrouvés tout une bande d'instructeurs entre 20 et 25 ans, et ça

passait très bien au niveau des jeunes élèves.

Je ne sais pas si, à 18 ans, j'aurais pu lâcher un élève. Peut-être :blink:

 

Je connais une instructrice lyonnaise qui le faisait à 19 ans, sans problèmes apparemment :pinch:

Jean-Noël Violette

How many here and now, who slip off to this place for the fun of it,

slide gently across to fly on air vastly simpler than ours, in different

sunlight, to work on flying-machines that in our time don't exist,

to meet friends and loves they've missed here?

Richard Bach, Out of my mind (De l'autre côté du temps)

http://marque-en-ciel.blogspot.com/

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Bonjour,

 

C’est plein de bonnes idées tout ça.

 

Je pense que le problème est plus complexe.

 

1er point : Attention, ce n’est pas une critique mais un constat !

 

Il a été très difficile de connaître de façon précise le nombre d’instructeur en activité. Selon les sources, les chiffres variaient du simple au double. La seule référence exploitable retenue a donc été le fichier des licences de la DGAC. Il est curieux, au vue de l’énorme investissement personnel et financier que représente une formation d’instructeur, que personne ne sache vraiment combien d’instructeurs instruisent et dans quelles conditions. Pour prendre une image, cela revient à naviguer sur un navire dont le Commandant ignore totalement le nombre de membre d’équipage, leurs qualifications, leurs expériences, leurs conditions de travail et combien sont passés par-dessus bord.

 

2ème point : Attention ce n’est pas une critique mais un constat !

 

Il est très difficile de réaliser une enquête. Les personnes sondées ne voient pas toujours l’intérêt d’une enquête et à quoi elle va bien pouvoir servir. Chacun ne partageant pas les mêmes préoccupations que les autres (C’est ce qui fait la richesse d’une population mais qui devient une difficulté lorsqu’il faut fédérer). Il faut compter également ceux qui sont et resteront allergiques à toutes formes d’enquête, sondage d’opinion, changement.

 

3ème point :

 

Pour revenir à nos instructeurs, vous avez entièrement raison, l’expérience est irremplaçable. Mais il faut bien débuter à un moment ou à un autre. Certains instructeurs peu expérimentés seront d’excellents pédagogues, d’autres très expérimentés n’arriveront jamais à instruire. Certains feront un stage instructeur par vocation d’autres pour profiter. Certains instruisent encore après plus de 30 ans de sacerdoce, d’autres se retirent après seulement 2 ans, etc.

 

Notre communauté de vélivole est un échantillon représentatif de la population. C’est dur à dire mais tout le monde n’a pas les capacités pour devenir médecins, ingénieurs, instituteurs, tourneurs ou charpentiers au même titre que tous les vélivoles n’ont pas les capacités pour devenir circuiteurs, compétiteurs, instructeurs ou mécaniciens.

 

Il n’y a pas de sélection juste et infaillible. La motivation, l’honnêteté et l’expérience des pilotes candidats devraient suffire et le verbe devoir n’a pas été choisi au hasard et n’est pas conjugué au futur mais au conditionnel. Si la motivation et l’honnêteté sont détectables, pour l’expérience ça reste délicat comme expliqué plus haut.

 

Bons vols et bonne semaine, Christophe Brunelière. :blink:

http://www.fly-net.org/aeromedia/lb751.jpg

 

Un Pik 20 E à la NASA, çà déchire!

 

VEGA :VEGA qu'est ce que c'est ?

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Invité Rasta 53

Je pense que la responsabilité de l'instructeur au moment du lâcher est la même à 18 ans qu'à 50 ans mais c'est le regard du public qui change. En effet, on fait plus confiance à une personne de 50 ans plutôt qu'à une autre de 20 ans (surtout en cas de problème) pour la même expérience et le même nombre d'heures. On a plus l'habitude de voir une personne plus âgée lâcher quelqu'un de plus jeune mais pas l'inverse (en prenant ces deux tranches d'âge). :blink:

 

 

 

BV

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Invité Invité_Christophe_*

:pinch: Je crois que l'on peut commencer le vav à 15 ans brevet à 16... je ne vois pas de pb à ce qu'un instructeur ai 18 ans , s'il a l'expérience.

Baptiste tu as raison les formateurs d'instructeurs sont parfaitement opérationel, sauf que des fois le cotès financier prime sur le reste, d'où au moins un ITP non titulaire du 50 km et formation comprise il n'avait pas 200 hdv :blink: Tu penses que cela est normal?

Je suis entièrement d'accord avec le fait que la valeur n'attend pas le nombre des années, plusieurs champions du Monde sont là pour le prouver, force est de constaté que certains utilisent les aménagements prévus pour des pilotes entrainés et parfaitement dans les clous pour être ITP et ITV afin de tirer avantage pour des pilotes qui n'ont pas et loin s'en faut le niveau.

Que faire ?

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Pour que des instructeurs forment des futurs pilotes qui sachent aller plus loin que le tour de piste(donc qu'il reste dans le vol à voile), il faut des instructeurs avec un bagage, et peut importe l'age.

 

Mais il faut d'abord former des pilotes qui savent faire des tours de pistes.

 

Le jour où tu voudras uniquement des profs d'université dans toutes les écoles du pays, tu devras songer à fermer ces écoles.

 

J'ai vu des grands circuiteurs qui, comme instructeurs, n'étaient bons qu'à boguer les élèves débutants. Le « bagage » d'un instructeur qui va d'abord former un bon pilote avant de former un vélivole ne se mesure ni à l'âge, ni même à l'épaisseur de son carnet de vol.

 

Bien que la probabilité soit plus grande de trouver un instructeur accompli avec 1000 heures de vol qu'avec 100 heures, ce n'est pas du tout une garantie, d'où le peu de pertinence à vouloir à tout prix hausser les limites d'heures.

 

300 heures pour un ITP qui fera de l'ab initioo, c'est déjà plus que ce que l'on exige pour un instructeur avion au niveau PPL monomoteur.

 

 

 

 

 

Je pense que la responsabilité de l'instructeur au moment du lâcher est la même à 18 ans qu'à 50 ans mais c'est le regard du public qui change. En effet, on fait plus confiance à une personne de 50 ans plutôt qu'à une autre de 20 ans

 

Il y a peut-être un effet automobile...

 

Qui dit accidents de bagnole dit jeunes : ils sont davantage impliqués dans de tels accidents et là, on retient à la fois leur témérité et leur inexpérience.

 

En aviation, incluant le vol à voile, la situation s'inverse. Les jeunes ont proportionnellement moins d'accidents que leurs aînés.

 

Cette image n'a peut-être pas atteint le grand public, il est vrai...

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Ne prenons pas exemple sur l'avion où en 250h on est pilote pro ifr mcc etc... peut-être que les situations rencontrées en avion sont moins étendues qu'en planeur...

Oui c'est vrai l'aspect financier est impoprtant dans les centres de formation, et on ne refusera pas une formation à quelqu'un qui s'engage à la payer jusqu'au bout. Alors que faire?

C'est vrai aussi Christophe que même pas le 50 pour le stage c'est un peu juste. Pour moi c'est en faisant un peu de circuit que nos réflexes s'affutent et nos capacités de réaction aussi. Ce n'est pas parce-que l'on apprend des tours de piste (ce qui est faux en plus, nous pouvons faire du niveau II) que l'on ne doit savoir faire parfaitement que ce que l'on apprend.

Y'a pas d'hélice, hélas ! C'est là qu'est l'os !
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Invité françois hache

D'accord avec Batiste. le rôle de l'ITP n'est pas limité au tour de piste.Peut être que certains Itp un peu limités s"en contentent...L'enseignement du vol à voile en local (grand local) fait partie de la fonction.

c'est une phase de la formation dont la négligence amène à des accidents chaque année.Sans compter les abandons des gens qui s'ennuient.

La comparaison avec le vol moteur n'est pas bonne.Car c'est beaucoup plus facile de gérer un vol d'instruction en avion qu'en planeur.

On à sûrement pas besoin de prof de fac en CP, ceci dit il me semble que pour enseigner dans ces "petites classes", il faut au moins le niveau de la licence.

Les 300 heures et 1000 bornes démandés ne correspondent qu'à un petit "vécu" du futur instructeur indispensable pour d'abord avoir quelquechose à transmettre à ses élèves (y compris un peu de rêve...) et aussi pour aborder le stage pédago( que tout le monde veut le + court possible) avec la sérénité nécessaire.

bons vols

FH

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"Certes la formation se limite au tour de piste ..."

Je ne veux pas être désagréable, mais écrire celà c'est ne pas tout avoir compris à l'instruction :(

Car en résumant, pour réliser co

 

"Certes la formation se limite au tour de piste ..."

Je ne veux pas être désagréable, mais écrire celà c'est ne pas tout avoir compris à l'instruction :(

Car en résumant, pour réliser correctement un beau TdP en solo et en toute sécurité, il covient de maitriser :

- le décollage,

- le virage,

- l'approche en analysant la précision du PaB (qui n'est pas aléatoire même sur 1000 m de piste) ,

- le vol lent,

- les manoeuvres d'urgence (virage engagé et décrochage).

 

Bon en gros faut savoir piloter.

Donc la méthode du singe pour fabriquer un pilote fut-il réduit au TdP c'est pas glop, même et surtout en TdP.

 

Par ailleurs, Thierry a raison :mdr: 300 h ce n'est quand même pas la mer à boire avant de devenir ITP.

Et l'âge n"a pas grand chose a y voir.

Simplement, quelque soit l'expérience du postulant, il faut admettre que tout le monde n'est pas fait pour devenir instructeur.

Bise

JM

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