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Commissaires Sportifs Et Observateurs Officiels


Invité JEAN-MARIE CLEMENT

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Invité JEAN-MARIE CLEMENT

Bonjour à tous,

 

La FFVV a décidé, à juste titre, d'instaurer une commission Juges et Arbitres, dont la présidence a été confiée à l'excellent Philippe de Péchy. Suite à la parution de la première Note Permanente 4.7, et à la circulaire précédente de mai 2004 signée F.L. Henry, et en tant que probable "plus gros utilisateur" de Commissaires Sportifs (et d'Observateurs Officiels) depuis trois ans et surtout à l'étranger, je me permets de formuler quelques remarques constructives visant à bien définir le rôle des Observateurs Officiels selon le Code Sportif et à le différencier de celui des Commissaires Sportifs, le Code Sportif FAI devant rester notre unique référence afin de ne pas désavantager les compétiteurs Français, surtout lorsqu'ils volent à l'étranger.

 

Le rôle des Observateurs Officiels devant se résumer à celui d'OBSERVATEURS, comme le définit clairement le Code Sportif, celui des Commissaires Sportifs (terme inexistant dans le Code Sportif) pouvant alors être celui souhaité par la FFVV (je cite) d'animateurs sportifs, de promoteurs, de conseillers sur badges, records, Netcoupe et championnats, de coordinateurs entre le pilote et le "NAC claim officer", d'étalonneurs de barographes, de rédacteurs de dossiers d'homologation, d'assistants de pilotes candidats aux badges et records, et de validateurs d'épreuves de badges.

 

Pour les commissaires sportifs actuels et les pilotes intéressés par la question (en pratique tous ceux qui désirent tôt ou tard obtenir un badge ou pourquoi pas un record), le document peut être déchargé sur:

 

http://topfly.free.fr/060219JMC_DEPECHY.pdf

 

Bons vols à tous, ou plutôt, pour l'instant, bon travail de maintenance!

 

Jean-Marie Clément

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Invité Invité_Christophe_*
Je suis surpris des quelques différences // au code FAI que tu relèves à propos des OO, j'ai lu il y a quelques temps sur même forum qu'il n'y avait aucunes différences :mdr::D , fort de cette réponse j'applique donc le premier article du code à la française: la seule référence reste le code sportif FAI version originale. :lol:
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Le rôle des Observateurs Officiels devant se résumer à celui d'OBSERVATEURS, comme le définit clairement le Code Sportif, celui des Commissaires Sportifs (terme inexistant dans le Code Sportif) pouvant alors être celui souhaité par la FFVV (je cite) d'animateurs sportifs, de promoteurs, de conseillers sur badges, records, Netcoupe et championnats, de coordinateurs entre le pilote et le "NAC claim officer", d'étalonneurs de barographes, de rédacteurs de dossiers d'homologation, d'assistants de pilotes candidats aux badges et records, et de validateurs d'épreuves de badges.

 

Pour les commissaires sportifs actuels et les pilotes intéressés par la question (en pratique tous ceux qui désirent tôt ou tard obtenir un badge ou pourquoi pas un record), le document peut être déchargé sur:

 

http://topfly.free.fr/060219JMC_DEPECHY.pdfJean-Marie Clément

Bravo pour cette analyse très pertinente à de nombreux égards.

 

Mais ne compliquons pas les choses : le terme "commissaire sportif" est de facto la traduction française de celui d'Official Observer, restons en là (AMHA les définitions des deux termes que tu cites ne sont pas vraiment différentes)... Et gardons en mémoire que le code sportif définit des exigences maximales (du niveau des records du monde) et que s'il est naturel d'adapter ou d'assouplir certaines règles pour des performances de moindre niveau (que ce soit un record régional ou pour des 50 km) comme ça a été largement pratiqué jusqu'à un passé récent, il est difficilement compréhensible d'imposer des contraintes supplémentaires qui ne peuvent que nuire à notre sport.

 

D'autre part, et pour appuyer ta démarche, il n'est peut-être pas pas inutile de rappeler que le code sportif FAI/IGC précise :

OOs and national claims officers are encouraged to take the position that, while ensuring the rules are met, their job is to make awards, not turn them down for minor bureaucratic reasons or oversights that do not affect the proof of a soaring performance.
à savoir que les règles doivent être respectées, sans toutefois qu'un esprit chagrin puisse s'en prévaloir pour invalider une performance si tout indique qu'elle a été réussie...

 

La question de fond est de savoir si la fédération souhaite réellement promouvoir l'activité sportive vélivole en incitant chacun à poursuivre un objectif motivant et de niveau progressif (du lâché au record du monde sans oublier la compétition) : si oui (j'ose l'espérer, mais peut-être l'expression de la position officielle ne serait-elle pas inuitile), ne décourageons pas par des exigences superfétatoires ni les commissaires potentiels ni surtout les pilotes !

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J’ai lu avec grand intérêt le courrier de Jean-Marie. Il s’agit à n’en pas douter de remarques constructives (même si je connais la fable du corbeau et du renard). Je comprends que chasser les records dans d’autres hémisphères induit des contraintes que nous ne connaissons pas en Métropole. Nous apportons une grande importance aux records. Cependant ne perdons pas de vue que ceux qui ont le plus besoin d’aide aujourd’hui, ce sont nos clubs. Ma réponse est donc orientée vers cette priorité.

 

La traduction française du code sportif associe au terme anglais « Official Observer » celui de « Commissaire Sportif ».

« Commissaire », ce n’est pas le terme le plus attrayant, j’en conviens. Cependant dans une course de Formule1, comment s’appellent les « arbitres » en bord de piste ?

La FAI gère des records et des diplômes de performances pour les différentes disciplines aéronautiques. L’AéroClub de France est membre fondateur de la FAI et représente la France. Le Conseil National des Fédération Aéronautiques et Sportive de l’AéroClub de France désigne les représentants français à la FAI, gère les licences FAI, les records sportifs et désigne les « juges et commissaires sportifs ». La FFVV reçoit par délégation de l’AéroClub de France pour le Vol à Voile la gestion des badges, records et la désignation des juges et commissaires sportifs de l’AéroClub de France.

http://www.aeroclub.com/cnf.htm

 

Donc Commissaire Sportif Vol à Voile = « Official Observer » désigné par la FFVV

 

Voila pour ce petit rappel (historique) de l’organisation des sports aériens en France.

 

Parlons de la fonction maintenant. Le code sportif indique au chapitre 5 :

5.1.2 Le Commissaire assure les contrôles et validations pour les vols suivants :

a. records et badges

b. compétitions internationales FAI ;

c. d’autres performances de caractère national.

5.1.3 Le Commissaire assure :

a. le contrôle en observant le décollage, le départ, l’arrivée et l’atterrissage et, au besoin, le déroulement et l’heure des étapes de vérification imposées par le code ;

b. la validation en vérifiant les éléments d’homologation et en signant les certificats les concernant.

(En Anglais, pour les esprits chagrins qui doutent de la traduction…)
5.1.2 OO duties

The OO shall, as the FAI and IGC representative, control and certificate the following soaring performances:

a. Record flights and FAI badge flights,

b. Flights in international championships and competitions sanctioned by the FAI,

c. Other soaring performances that NACs may specify and define within their sphere of influence.

5.1.3 Control and certification

a. CONTROL is the observing of takeoff, start, finish and landing and, where applicable, the timing of individual events such as declarations, sealing, installation, removal and unsealing of barographs, flight recorders and cameras, motor glider means of

propulsion and other devices.

b. CERTIFICATION is the checking of evidence and signing of appropriate certificates covering the evidence concerned.

Rappelons aussi le §5.1.4

5.1.4 Le Commissaire doit avoir une bonne connaissance du code sportif et posséder l’intégrité, le savoir-faire et la compétence nécessaires pour un contrôle rigoureux des performances. Sa nomination devrait procéder d’une conférence ou d’un enseignement approprié.

Le Commissaire Sportif, tout comme les « Official Observers » des autres pays, doit donc contrôler et certifier.

 

D’autre part il est faux d’écrire que le commissaire sportif ne doit pas s’occuper par exemple de la récupération du fichier de vol dans l’enregistreur (cf Annexe C, § 12.2). Il est bien indiquer que si le commissaire sportif n’est pas coutumier de l’opération, le pilote peut effectuer le transfère sous le contrôle de l’observateur.

 

Concernant l’analyse du vol en lui-même, il est souhaitable que le Commissaire Sportif y jette un œil : inutile de transmettre un dossier qui n’est pas valable !

 

Notons en effet que, pour l’instant, le dépôt d’un dossier d’épreuve de badges ou d’un record, n’est pas gratuit. Qu’il est dommage de recevoir des dossiers qui doivent être aussitôt rejetés parce que les règles de bases ne sont pas connues du pilote (nous avons déjà reçu des dossiers où les 25 premiers kilomètres ont été effectués derrière un avion ou encore à cause de hors-secteurs). C'est pourquoi, nous souhaitons que le Commissaire Sportif effectue un premier filtrage qui fera gagner du temps à tout le monde.

 

Il est vrai que les premières réunions d’information des commissaires sportifs ont pu donner l’impression de se centrer sur l’outil informatique. Il va de soit que ce n’est ni le cœur de la fonction d’un Commissaire Sportif, ni celui du Vol à Voile en général. Mais les participants réclamaient de comprendre et de maitriser ces outils.

 

Etalonnage des enregistreurs ? La FFVV a fourni un outil gratuit, simple et pédagogique (PV=nRT par l’exemple). Qu’il est agréable de recevoir un coup de fil de la Commissaire Régionale Midi-Pyrénées demandant des précisions sur son utilisation, afin d'en faire bénéficier les pratuquants et les clubs de sa région.

 

Alors oui, on demande beaucoup de chose aux Commissaires Sportifs. Mais ne s’agit-il pas de tâches plus valorisantes que de simplement remplir des dossiers et d’observer passivement? Rappeler qu’un Commissaire Sportif est un cadre technique dans un club sensé conseiller et promouvoir l’activité sportive est-il un si lourd fardeau que ça ?

Et puis c’est un peu comme avec nos ITV. On sait bien que bien peu effectuent de la formation campagne… Tous les commissaires sportifs n’effectueront pas la totalité des missions qu’on leur propose : nous ne sommes pas des intégristes. Par contre, nous avons à cœur d’accompagner ceux qui voudraient s’y intéresser.

 

Quelle était la situation au 31 décembre 2005 ? La Note Permanente 4.7 datant de 1990 indiquait deux commissaires maximum par club, demande à renouveler chaque année avec comme seule condition de payer 8 euros.

 

Qu’apporte la NP4.7 de janvier 2006 ? Elle ne limite plus le nombre de Commissaires Sportifs par club, l’inscription est gratuite et valable 4 ans. En contre partie, il est demandé à chaque candidat d’accepter de se former sur le règlement et les outils, avec l’aide de son représentant régional et des documents supports en cours de finalisation par la Commission Juges et Arbitres.

 

Est-ce vraiment un excès de bureaucratie ? En quoi ce changement est-il susceptible de faire baisser le nombre de commissaires sportifs dans nos clubs, sauf à admettre qu’il y en avait un bon nombre qui ne connaissaient pas leur rôle et qui ne veulent surtout pas progresser?

 

La proposition de records régionaux est une excellente idée. Elle a été d’ailleurs présentée par notre NAC Official, Eric Thellier, lors du séminaire de la commission sportive en 2005. Un comité régional a repris la suggestion en instaurant samedi dernier des records régionaux qui se limitent à la classe club, afin de ne pas privilégier les grands plumiers (qui ont de quoi jouer au niveau national et mondial).

 

Pour parler du NAC Official, il est faux et presque insultant de laisser croire que les vérificateurs valident leurs propres performances. Fort heureusement, nous avons un brin de déontologie. En cas de conflit, c’est le CA de la FFVV, élu par les clubs, qui tranche.

 

En tout cas, je suis heureux que l’on parle du rôle du Commissaire Sportif et que des personnes comme toi, Jean-Marie, participent à sa mise en valeur.

 

PS pour nos deux amis du Sud-Ouest : la chasse aux moulins fédéraux est-elle bonne en ce moment ? ;)

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Invité Invité_Christophe_*

C'est bien, tu progresse dans la formulation .... ;) Peut être un peu trop péremptoire encore mais beaucoup plus amical que d'habitude.

 

 

Pour mémoire les records régionaux du SO, acté en AG commission sportive du SO février 2003, seuleument pour les -25, tous type de planeurs; minimum requis 500 km et Vmoy 90km/h.

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Pour mémoire les records régionaux du SO, acté en AG commission sportive du SO février 2003, seuleument pour les -25, tous type de planeurs; minimum requis 500 km et Vmoy 90km/h.

kesako ???

 

Bonne question, sans doute une reformulation serait bienvenue ;)

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Donc Commissaire Sportif Vol à Voile = « Official Observer » désigné par la FFVV

Oui, mais pas le contraire, dans tous les autres pays du monde où j'ai pu pratiquer le vol à voile et fréquenter les Observateurs Officiels locaux (USA, Argentine, Finlande, Suède, Allemagne, Autriche, Italie, Roumanie).

 

Il est donc indéniable qu'un « Official Observer » étranger n'aura pas les connaissances, les compétences et les prérogatives d'un « Commissaire Sportif Vol à Voile désigné par la FFVV ». Or ces Observateurs Officiels étrangers seront tôt ou tard autorisés à pratiquer sur le sol français. Deux poids deux mesures?

 

La question qui se pose est la suivante: est-il nécessaire de créer une exception française également sur ce terrain, alors qu'il serait si simple de former des «Observateurs Officiels» d'un profil identique à celui des autres pays, sans pour cela, bien entendu, renoncer à former des «Commissaires Sportifs FFVV» dont les rôles sont ceux définis dans les deux circulaires? Que je considère même comme nécessaire, et je soutiens personnellement le concept du Commissaire Sportif Régional, étant entendu que vu le profil du personnage, il s'agira sans aucun doute d'un personnage fédéral professionnel rémunéré soit par la FFVV soit par quelque Ministère ou Club.

 

D’autre part il est faux d’écrire que le commissaire sportif ne doit pas s’occuper par exemple de la récupération du fichier de vol dans l’enregistreur (cf Annexe C, § 12.2). Il est bien indiquer que si le commissaire sportif n’est pas coutumier de l’opération, le pilote peut effectuer le transfère sous le contrôle de l’observateur.
Jamais je n'ai écris une telle affirmation, surtout aussi tranchée! S'il te plait, n'utilises pas cette méthode digne de régimes de sinistre mémoire, tu n'en as pas besoin. Mon mémoire dit:

 

«la FAI recommande à l'Observateur Officiel de ne pas procéder lui-même au déchargement du logger, cette responsabilité incombant au pilote et à lui seul, mais pour la FAI, il est hors de question qu'un Observateur Officiel soit également un expert en informatique».

 

Cet avis est la synthèse de divers contacts avec des NAC Senior Officers de différents pays, en parfaite harmonie avec l'article original du Code Sportif qui dit:

 

Annex C, 12.2

..the OO shall check and break any sealing to the glider, and take the FR to a computer. If the OO is not familiar with the actions required, the pilot or another person may transfer the data while the OO witnesses the process.

 

Concernant l’analyse du vol en lui-même, il est souhaitable que le Commissaire Sportif y jette un œil : inutile de transmettre un dossier qui n’est pas valable !

Absolument! Mais tu parles là du Commissaire Sportif, pas de l'Observateur Officiel! J'aurais moi-même bien aimé pouvoir disposer, lors des rédactions de mes demandes d'homologations de records, d'un conseiller ayant la compétence du Commissaire Sportif idéal que tu cites! Les examinateurs (dont tu fais partie) auraient perdu moins de temps à corriger mes erreurs! Mais par contre le travail demandé aux Observateurs Officiels a été celui nécessaire et suffisant.

 

Conclusion: il faut bien développer les deux fonctions!

Pour parler du NAC Official, il est faux et presque insultant de laisser croire que les vérificateurs valident leurs propres performances. Fort heureusement, nous avons un brin de déontologie.

 

Encore une fois, jamais je n'ai écris cela! Je me suis permis de douter de la neutralité d'un examinateur en position de conflit d'intérêt, parce que je l'ai vécu récemment, un président de commission sportive (que je ne connaissais personnellement pas et ce n'est pas celui actuel) ayant fait changer avec effet rétroactif l'interprétation du règlement français. Ce très surprenant (et jamais vu) synchronisme rétrospectif lui permit de conserver son record, de surcroît en m'interdisant de défendre mon dossier d'appel devant le Comité Directeur alors que lui-même s'est octroyé le droit à la parole, et, apothéose, a convaincu le Comité Directeur en lisant un article du Code Sportif qui ne correspondait pas aux records mais aux championnats du monde. Sans compter les insultes publiques proférées à mon égard par ce personnage (que je ne connais toujours pas). Il n'y a donc pas, à ma connaissance, de code de déontologie, ou alors le plus haut responsable de la commission d'homologation s'en moque royalement! Si je me trompe, STP transmets le moi, et je ferai amende honorable.

 

Pour la petite histoire, ce record a été non pas battu mais pulvérisé cette année, et par deux fois, même avec ces "mauvaises" règles que la France voudrait porter devant la FAI à Lausanne le 4 mars prochain. Le résultat du vote risque d'être très intéressant. Voir mon intervention sur la liste de discussion récente IGC.

-------------------------------------------------------------

Pour clore ce débat, je regrette beaucoup qu'aucun Observateur Officiel ou Commissaire Sportif ne soit intervenu sur le fonds dans ce forum, mis à part Denis, qui lui aussi est fortement concerné en tant que gros consommateur de ces deux races rares. Au cas où le grand public ne connaîtrait pas les deux circulaires citées, elles peuvent être téléchargées sur mon site au lien: http://topfly.free.fr/CirculairesFLH2004+PDPNP4_7.pdf

 

Je viens de lire l'excellent document d'information ComJA-IntroductionBadges-v1.00.ppt mis sur le forum et j'avoue que j'ignorais certaines subtilités des badges d'aujourd'hui. Comme quoi on peut connaître par coeur les procédures pour obtenir l'homologation d'un record du monde et ne pas connaître celles d'un badge de 300km. Mais au moins, je sais où trouver les références le cas échéant. Démonstration supplémentaire qu'un bon Observateur Officiel peut ne pas être un bon Commissaire Sportif!

 

Bien amicalement, et bon travail!

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En tant que commissaire sportif belge, je peux vous assurer que les fonctions

d'animateurs sportifs, de promoteurs, de conseillers sur badges, records, Netcoupe et championnats, de coordinateurs entre le pilote et le "NAC claim officer", d'étalonneurs de barographes, de rédacteurs de dossiers d'homologation, d'assistants de pilotes candidats aux badges et records, et de validateurs d'épreuves de badges.
font partie intégrante de ce que beaucoup de mes collègues considèrent comme leur fonction. Mais je dois admettre que depuis l'introduction des enregistreurs de vol, il y a pas mal de CS (ou OO, terme que nous n'utilisons ni en français ni en néerlandais) qui ne pratiquent plus vraiment. D'autant plus que notre coupe fédérale n'exige plus l'intervention d'un CS. Il y a donc dans chaque club quelques mordus qui se tiennent au courant et interviennent pour les badges. Il n'y a que l'étalonnage de baros qui pose des problèmes chez nous.

 

J'ajouterai qu'avec l'autorisation du NAC de ces pays, j'ai également fait fonction de CS pour des collègues belges en France, en Espagne et en Pologne. Ah, j'oubliais: chez nous, il faut passer un examen théorique (avec le code sportif en version anglaise) et pratique pour devenir CS.

Stéphane Vander Veken
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