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Champs Vachables Ou Zone Vachable ?


Invité Jacques Noel

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Non, je te laisse cette galère. Avant de me jeter sur Coupe parce que je ne suis pas sur, j'assure le local St Auban surtout qu'avec du vent d'Est ça devrait passer finesse 20 à 25 avec un ASH25

En retour du Nord entre les 3 eveches et la Coupe j'ai deja eu un changement de vent de 180° avec pour finir avec de l'est sur Coupe ..... St Auabn ca fait loin si tu passes sous les cretes .... et Seynes t'y pense meme plus !

 

Tu as tord de laisser croire (j'ai p-e mal compris) que ceux qui se vachent en ASH25 a Marcoux sont des mecs qui vol en local de rien ....

 

Il y a (a eu ?) un projet de velisurface a qq km de Marcoux : le coin de Marcoux ne pose pas trop de pb (c'est pas partout vrai !)

Faites que le rêve dévore votre vie afin que la vie ne dévore pas votre rêve

 

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Invité Invité_Jean-Paul BERRY

Si un certain DG800

Quelle rancune mon pauvre Jean Paul. :mdr:

 

je vole autant que faire se peut avec des marges
C'est bien, mais soit un peu moins aigri. :D

Aucun rapport! On s'en tient aux faits et ils sont tétus(retour d'expérience). Le pilote en question est mon ami et cela me fait de la peine qu'il ait pris de tels risques.

 

Aigri de quoi? D'avoir dit la vérité à de braves gens de St Gaudens qui se voilent la face concernant certaines circonstances dramatiques du concours de 2003? ça va merci Voler avec des marges ça aurait plutot à voir avec un caractére timoré plutôt qu'aigri.

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J'ai expérimenté une fois en 1987en pegase, champ long  de blé dur (1 m de haut), vent 10m/s environ , j'ai fait l'approche vent de face à 105, arrondi , rentré les AF et plané au raz des épis jusqu'au decrochage. J'ai fait un quart de cheval de bois, aucun dégat.

As-tu vraiment été jusqu'à l'incidence de décrochage et l'assiette qui va avec, ce qui me semble difficile en restant au ras des épis sans mettre la queue franchement dedans, ou t'es-tu contenté de compenser la perte de vitesse par une augmentation d'assiette jusqu'à ce que la queue vienne froler les épis, le planeur s'enfonçant ensuite de lui-même si l'assiette n'augmente plus ?

Pourquoi rentrer les AF ? Une réponse qui me vient à l'idée est que ça diminue la vitesse minimale de sustentation, celle en dessous de laquelle le planeur s'enfonce irrésistiblement, mais pourquoi ne pas les sortir à ce moment de façon à ce que la vitesse chute ensuite le plus vite possible?

Modifié par Robert Ehrlich
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As-tu vraiment été jusqu'à l'incidence de décrochage et l'assiette qui va avec, ce qui me semble difficile en restant au ras des épis sans mettre la queue franchement dedans, ou t'es-tu contenté de compenser la perte de vitesse  par une augmentation d'assiette jusqu'à ce que la queue vienne froler les épis, le planeur s'enfonçant ensuite de lui-même si l'assiette n'augmente plus ?

Bonjour,

 

En complément à cette question :

 

Si tu as mis "la queue franchement dedans" à l'approche du décrochage, penses-tu que ça a eu pour effet :

 

1) De ralentir rapidement le planeur ?

2) De guider le planeur sur son axe, limitant l'effet du toucher des épis par la première aile ?

3) Les deux effets ci-dessus à la fois ?

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Je me demande si le conseil de rentrer les AF pour se poser dans des cultures hautes ne serait pas simplement une réminiscence de l'époque où les AF s'ouvraient aussi à l'intrados... Là, l'utilité de la manip était évidente.
Stéphane Vander Veken
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Robert

 

Oui j'ai décroché dans le blé les ailes à 15 cm du blé et la queue (à la fin) qui trainait dans les épis (assiete cabrée).

 

Comme le champ était long je ne regardais pas devant mais uniquement la position des ailes par rapport au blé et j'ai tenu le max de temps horizontal pour ne pas toucher une aile avant l'autre..... en fait au moment du décrochage* c'est l'aile droite qui touchée les épis en 1er d'ou le quart de cheval de bois. Aucun PB.

 

Si je dois le refaire je ferai pareil.

 

Un champ long dans l'axe du vent. Une approche normale FACE au vent (bien brelé).Puis arrodi au raz du blé et aeorofreins rentrés. Puis je tiens l'horizontale le max de temps jusqu'au decochage*.

 

Good luck

 

*decrochage mou car freiné par le mur d'épis qui frappe les ailes.

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Invité Invité_Léo

;) Je m'étonne grandement de lire certaines des interventions liées à ce qui est presque devenu "l'affaire Marcoux"..., surtout de la part de certaines figures emblématiques du vol à voile français, notre pote de Vinon et Bitterwasser "Tatave" notamment ! Qui est à l'abri d'une casse, aux vaches ou ailleurs ? Est-ce que tous les intervenants n'ont jamais pulverisé une machine sur un champ officiel (même sans herbe haute ?) ? D'abord il n'y a eu aucun dégat humain ce qui est l'essentiel... Ensuite interrogeons nous plutôt des raisons pour lesquelles au moins l'une des trois bandes n'a pas été fauchée conformément aux arrangements contractuels financés par tous les vélivoles et pilotes étrangers volant sur l'autoroute alpestre qui achètent chaque année le guide des aires de sécurité ? Et encore, pourquoi l'information (connue de certains semble-t-il) selon laquelle les champs de Marcoux n'étaient pas fauchés n'a pas été répercutée dans les briefing des clubs, à Vinon ou ailleurs, et surtout auprès du paysan qui a un contrat à respecter ? Enfin et surtout, combien de vélivoles ont échappé pendant cette période d'herbes hautes à la correctionnelle, en travaillant "local Marcoux" ?

L'un d'entre nous a eu de la poisse, contantons nous d'être très heureux qu'il soit encore parmi nous : "on ne voit bien qu'avec le coeur, l'essentiel est invisible pour les yeux" disait le Petit Prince de St-Ex...

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Est ce que quelcun sait si "Marcoux est posable maintenant ?"

Au moins un des 3 champs est actuellement fauché à Marcoux (j'y suis passé un peu haut pour bien voir personnellement, mais l'info a été donnée en briefing à Vinon). Une bande assez vaste pour y poser un planeur a également été fauchée à La Mure, et Barrême et Thorame ont également l'air d'avoir été fraîchement fauchés (informations que j'ai notées au cours d'un survol à environ 1900m QNH de ces champs le vendredi 10 juin). La zone de Caille semblait très verte (très humide?) et je n'ai pas vraiment réussi à savoir s'il y avait des cultures ou si c'étaient simplement des prairies (hautes?).

- vinch -
Heureux celui qui peut d'une aile vigoureuse
s'élancer vers les champs lumineux et sereins;
Celui dont les pensers, comme des alouettes,
Vers les cieux le matin prennent un libre essor,
-Qui plane sur la vie, et comprend sans effort
Le langage des fleurs et des choses muettes!

(Charles Baudelaire, Elévation)

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[Je m'étonne grandement de lire certaines des interventions liées à ce qui est presque devenu "l'affaire Marcoux"..., suivi de l'évocation des responsabilités incombant au non fauchage des champs].

 

Si le problème de l'herbe haute fait partie des paramètres importants à prendre en considération au cours d'un atterrissage en campagne, il n'est pas, loin de là, le seul fût-ce pour un champs répertorié (ce n'est tout de même pas un aérodrome). Il faudrait aussi, pour être complet, considérer la phase de vol qui précède immédiatement la prise de décision (difficulté, stress), les précautions minimales prises au cours de la prise de terrain (brève mais indispensable visualisation latérale, pour reconnaissance du champs, lors d'une sorte d'étape de base, stabilisation des paramètres, concentration) et l'approche finale (hauteur à l'entrée du champ, maîtrise d'une sur-vitesse éventuelle).

 

L'expérience ayant prouvé que le respect de ces règles tant psychiques qu'organiques était de nature à minimiser la casse.

 

Délivrer un jugement philosophique en se focalisant sur le seul état du champs me semble un peu réducteur. Est-on d'ailleurs fondé à émettre un jugement sur cet incident sauf à être sûr d'en détenir tous les éléments?

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Je lis beaucoup de jugements, mais est-ce que quelqu'un sait ce qui c'est réellement passé et dans quelle mesure le planeur est-il cassé!! :lol:
Ils ne savaient pas que c'était impossible, ils l'ont fait.....
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Mon cher Léo ( mon pote de Sion je suppose ),

 

Excuse moi de répondre tardivement à ton post d'ily a une semaine. Tout d'abord je suis flatté et confus que tu me cites comme une figure emblématique du vol à voile français alors que tant d'autres pilotes brillent depuis longtemps d'un autre éclat que moi.

 

Je suis un peu surpris que tu t'étonnes grandement ( selon ta propre expression ) de mon opinion que le vélivole doit rester un être humain formé et entraîné à exercer son sens de l'observation et son esprit de décision, au lieu de devenir une sorte d'ordinateur aux programmes et aux fichiers peut être incomplets ou obsolètes et lui-même éventuellement sujet à des bugs. Mes précédentes interventions n'avaient que cette portée générale et, si je connais les ciconstances détaillées de cet accident, je ne souhaite pas les exposer sur ce forum.

 

Au plaisir de te revoir bientôt j'espère.

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Invité Christophe Brunelière

Bonjour,

 

"...si je connais les ciconstances détaillées de cet accident, je ne souhaite pas les exposer sur ce forum."

 

C'est vrai que ce n'est pas toujours facile de faire un compte rendu succint d'un accident surtout lorsque cela concerne un planeur ou un pilote que l'on connait. J'ai eu un peu de mal à en faire un concernant le pilote du Pégase qui s'est éjecté en vol de convoyage après avoir perdu le contrôle de son planeur. C'est surement pénible pour beaucoup de monde surtout pour le pilote qui était impliqué. Toutefois un compte rendu des faits, sans citer ni le club ni le nom du ou des pilotes, sans jugement ni critique peut amener à l'édition d'un flash sécurité, modifier un chapitre de la formation de base, faire des briefings sécurités, etc. C'est ce qui a résulté du compte rendu de l'accident du pilote de Pégase. Edition du flash sécurité sur les vols de convoyage et la phase de mise en palier et introduction de cette particularité lors de la formation campagne.

C'est toujours plus interressant et constructif de lire un compte rendu neutre rédigé sans passion que d'apprendre et surprendre des bribes de conversation relatant un accident de façon déformée, amplifiée et bien plus traumatisante pour les acteurs.

C'est un peu le rôle des REC et des REX mais les vélivoles semblent toujours allergiques à ces notions. Question de mentalité sans doute.

En ce qui concerne cet accident, j'ai reçu à ce jour plusieurs versions très différentes dont une pas plus tard qu'hier au boulot et elles ne refletent pas toujours la réalité bien au contraire. C'est dommage.

 

Bonne semaine, Christophe Brunelière.

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Si tu as eu plusieurs versions différentes, il y en a malheureusement au maximum une qui est exacte.

 

Comme l'exprime Denis Flament par ailleurs, je pense souhaitable que les informations concernant la sécurité puissent circuler. Reste à trouver le moyen pour que ces infos soient positives et que ça ne tourne pas à la foire d'empoigne ou au règlement de compte.

 

En intervenant sur ce forum, je n'avais pas d'autre but que d'appuyer l'opinion de Jacques Noël, auteur du premier post sur le sujet, qui me semble empreinte d'un élémentaire bon sens, même si elle est à contre courant de ce qui se dit et se pratique couramment.

 

En ce qui concerne l'acident de remorquage dont tu parles, même si c'est un peu en dehors du sujet initial, je pense que l'essentiel du boulot, comme pour un retour au sol, est fait par le pilote remorqueur. Le pilote du planeur n'a qu'à suivre comme on lui a appris. Dans le ( bon ? ) vieux temps, le test pour l'obtention de l'autorisation de remorquage comportait un vol en palier d'au moins 10 minutes. Je peux le dire maintenant car il y a prescription, je n'ai jamais imposé aux candidats que j'ai testés un aussi long palier, mais je faisais faire une mise en palier stabilisée au moins 30 secondes. Maintenant, je me contente d'un briefing sur la question. Les prix faramineux des remorquages ont, sur ce point comme sur d'aures, un effet négatif sur la

Modifié par Tatave
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Y a eu un bug ! Je n'ai pas terminé mon précédent post. Il est parti tout seul.

 

Je parlais évudemment d'un impact négatif sur la sécurité.

 

Bon, c'est promis, je n'interviendrai plus sur le sujet, sauf droit de réponse à une improbable attaque personnelle.

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