www.planeur.net | www.netcoupe.net | www.volavoile.net
Aller au contenu

Multi Activité Sur Un Aérodrome


AAVA

Messages recommandés

Bonjour,

 

La pratique d'une activité vol en planeur trés importante (jusqu'à 80 remorqués par jour au plus fort de la saison) est -elle compatible avec l'implantation d'une activité parachutisme commerciale à base de sauts tandem (en l'occurence.) sur un aérodrome?Ceci sur un aérodrome compliqué avec 3 pistes sécantes ,non contrôlé et ou la multi activité est déjà trés forte (ULM,Aéroclubs Avions, beaucoup d'avion extérieur etc...)

J'ai posé la question à notre Président par mail ,je n'ai toujours pas son avis.

Donc Merci de donner vos avis éclairés ;)

Il n'est pas question de dénigrer les passionnés de parachutisme juste savoir si sur un aérodrome une activité ne se fait pas au détriment de l'autre en l'occurrence le planeur compte tenu des contraintes propres à notre sport.

Cordialement,

Noêl Faucheux

Président AAVA

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Réponses 31
  • Créé
  • Dernière réponse

Meilleurs contributeurs dans ce sujet

Meilleurs contributeurs dans ce sujet

Sur cette question, à ma connaissance deux terrains ont une expérience : GAP à voir sur la période Juillet aout où Chérence vol en plus des planeurs basés qui sont peu nombreux à ma connaissance, et aussi le terrain d'Orléans: Saint Denis de l'Hôtel.

A GAP les mouvements des avions largueur de parachute sont "originaux"Mais il y a une grosse activité para.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Sur cette question, à ma connaissance deux terrains ont une expérience : GAP à voir sur la période Juillet aout où Chérence vol en plus des planeurs basés qui sont peu nombreux à ma connaissance, et aussi le terrain d'Orléans: Saint Denis de l'Hôtel.

A GAP les mouvements des avions largueur de parachute sont "originaux" Mais il y a une grosse activité para.

 

Sur la VAC de Gap :

Durant les heures d'activité du parachutage ou du vol à voile, les avions de servitude (avions largueurs ou remorqueurs)

peuvent utiliser le QFU 024° à l'atterrissage alors que le QFU préférentiel est le 204°

 

Rien de spécial parachutisme sur celle d'Orléans, pourtant :

https://parachutisme-orleans.net/pratiquer/

 

Ces deux terrains ont un AFIS et pas de pistes croisées.

Modifié par CPT

 

La philanthropie de l'ouvrier Charpentier est bien connue !Tout en avance d'un jour Une même passion, 2 sites :

https://bia-z-and-aerologic.jimdosite.com/

f7052aaf-1d1b-4b5a-84ad-0b1461559131.jpg

https://cpt-promet.s3.eu-west-1.amazonaws.com/promet/index.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

A Niort pas de problèmes particuliers.

On évite la verticale pendant les largages qui sont clairement annoncés sur la fréquence (2 minutes avant).

L'avion largueur utilise la même piste que les planeurs (on a une seule bande en herbe)

Un AFIS surveille

On cohabite donc bien avec courtoisie sans soucis

Sylvain
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

A Niort pas de problèmes particuliers.

On évite la verticale pendant les largages qui sont clairement annoncés sur la fréquence (2 minutes avant).

L'avion largueur utilise la même piste que les planeurs (on a une seule bande en herbe)

Un AFIS surveille

On cohabite donc bien avec courtoisie sans soucis

Oui merci Sylvain mais l'échelle d'activité est différente et tu as un AFIS

Niort environ 800 remorqués par an Vinon environ 5000 remorqués par an en situation normale

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bonsoir,

 

A Maubeuge, nous avons également pas mal d'activités différentes sur la même plateforme à savoir Parachutisme, écoles ULM, club avion et club vol à voile.

Les pistes utilisées sont parallèles (piste en dur pour motorisés et piste en herbe pour planeurs).

Tout se passe sans grosses difficultés, on évite de voler dans la zone de largage para quand l'avion annonce un lâché.

Les seuls avec qui c'est parfois tendu, c'est l'activité paramoteur qui font parfois un peu n'importe quoi, mais, aucun accident à déplorer.

Cirrus pilote does it better
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je pense que le maître mot pour que la cohabitation se passe bien est « discipline ». Avec des parachutistes professionnels, pas dinquiétude à avoir, quand cest des paramoteurs... cest tout autre chose !
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a une trentaine d'années environ, au sujet d'un aérodrome à multi-activités importantes, le chef d'un district aéronautiques avait nettement dit aux intervenants :

" Si cela se passe mal, je ferais pour cet aérodrome des tranches horaires obligatoires, chaque tranche pour une seule activité, par roulement, du genre : de 7 h à 8 h du matin, les montgolfières, de 8 à 9, le parachutisme, de 9 à10 les ULMs, de 10 à 11 le vol moteur, de 11 à 12 les planeurs, etc ... A bons entendeurs ..."

Heureusement, cette menace n'a jamais été appliquée.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

A Vinon il y a depuis longtemps des horaires pour les paramoteurs

 

Zone paramoteur :
- Zone incluse sur la partie Ouest de la piste 30.
- Zone réservée aux paramoteurs basés munis de la fréquence A/A 118.150 MHz.
- Période d'utilisation :
01 APR- 30 SEP:
SR-0900,
01
OCT- 31 MAR: SR-1100 et 1400-SS (ETE - 1HR)

 

mais dans la pratique, il n'y en a plus ! :covid:

 

La philanthropie de l'ouvrier Charpentier est bien connue !Tout en avance d'un jour Une même passion, 2 sites :

https://bia-z-and-aerologic.jimdosite.com/

f7052aaf-1d1b-4b5a-84ad-0b1461559131.jpg

https://cpt-promet.s3.eu-west-1.amazonaws.com/promet/index.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bonjour,

Sur un terrain comme Vinon, l'arrivée d'une activité para et de plus professionnelle, peut quand même constituer le début des emmerdes, si tout n'est pas bien cadré dès le départ, notamment en ce qui concerne:

- Activités simultanées possible: possibilité de continuer à remorquer même si un largage est en cours ou si des voiles de para sont encore en l'air. Si ce n'est pas possible, alors là c'est la cata pour le remorquage des planeurs (sauf s'il est prévu sur la carte VAC des horaires spécifiques pour l'activité para, compatibles avec les horaires journaliers où il y a le plus de remorquages planeur).

- Bien faire comprendre aux paras qu'ils n'ont aucune priorité dans l'espace aérien vertical terrain tant que l'annonce des 2 minutes avant largage n'a pas été faite. Le largage ne peut être entrepris, sous la responsabilité du starter para et du pilote largueur, que si l'espace prévu vertical terrain (ou légèrement décalé à cause du vent) est "clair" de tout aéronef.

- Bien faire comprendre aux paras que des planeurs en vol dans la zone prévue de largage restent prioritaires (mais généralement les planeurs essayent toujours de dégager avant le largage, sauf cas de force majeur que les paras doivent prendre en compte, et envisager un 360° de retardement)

- Bien faire comprendre aux paras que quand la nébulosité est de 8/8ème, on ne largue pas (respect de la réglementation)

- Obliger le(s) avion(s) largueur para de s'équiper d'un système Flarm: à La Roche sur Yon, nous avons failli avoir 2 collisions de planeur avec l'avion largueur lors de sa descente. Quand l'avion largueur est en descente, c'est pire qu'un avion remorqueur: très peu de visibilité vers le bas, et le pilote ne pense qu'à descendre le plus vite possible au détriment de la sécurité...

- Bref, exiger des paras qu'ils respectent la réglementation (bien que celle-ci ne soit pas toujours très claire) et ne s'octroient pas des droits ou priorités indus.

 

Pour info, à La Roche sur Yon, depuis que l'activité para s'est fortement réduite (depuis 2 ans) et s'est délocalisée vers Les Sables d'Olonne, c'est beaucoup plus cool pour nous. D'autant plus qu'on fait les mises en l'air également au treuil.

JMD.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

A Bex, nous avons une piste en herbe 15/33 de 600 m (planeurs, avions, hélicos) et depuis une dizaine d'années une école professionnelle de parapentes qui tournent pas mal avec 1 ou 2 PC6.

Quand les PC6 sont en air, on évite la verticale (ou bien on leur demande les minutes restantes). En contre-partie, les paras se tiennent sans exception à l'est de la piste; ils se posent à une vingtaine de mètres à l'est de la piste.

On n'a jamais eu de problème.

Bert

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bonjour, Pour le Blanc nous avons également les paras avec parfois deux Pilatus, bien que notre activité VaV se résume à 10 15 remorqués par jour en période estivale, cela n’empêche pas comme le souligne JMD que le "Bien faire comprendre" n'est pas toujours acquis...

voler haut ! voler vite !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le problème à Vinon ce sont les 3 pistes, voir 4 avec la 28 auxilliaire et pour toutes ces piste des TDP avions et planeurs séparés de chaque coté.En plus avec le nombre de mouvement avions ulm et planeur très important à partir du printemps.Cela pourrait être vite le début des emmerdes.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pour avoir vu de trop prêt un planeur lors que j'étais en chute libre, c'est chaud.

Même après en avoir discuté avec le chef pilote du club en question, je n'étais pas toujours rassuré ...

 

Et je voudrais insister sur le fait que le largage n'est pas toujours vertical terrain, mais souvent au vent du terrain et d'autant plus décalé que le vent est fort en altitude.

 

Attention aussi aux zones de largage qui sont dans nos secteurs de vols (TMA de Chambéry surtt quand elle est en G, Megève, Chamonix, ...)

 

Donc oui, dans la plus part des cas ca va bien se passer ... après Vinon, c'est un peux pousser le bouchon a mon avis.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bonjour,

 

Anciennement instructeur de parachutisme militaire, et utilisant tous les étés la plateforme de Vinon, voilà ce que je pourrais dire à ce sujet:

L'intégration d'une activité parachutiste (commerciale ou non) inclut de fait une confrontation entre une activité aérienne horizontale (planeur, ulmaire, avion...) et une verticale (parachutisme, voltige...). Si le parachutisme doit se pratiquer pendant les activités horizontales, il faut la coordonner (présence d'un AFIS).

Connaissant un peu Vinon, la charge de travail du starter planeur est déjà très chargée du fait des nombreux décollages en planeur à coordonner à l'activité avion et ulm, notamment au niveau des Hot spots autour des 2 pistes 30. Coordonner une activité para avec les autres est très spécifique et nécessite une formation.

A la différence de la voltige qui est dans un box de 1km3 immuable, le para utilise un cylindre de largage dont le diamètre dépendra du nombre de paras à larguer (nombre de sorties de l'avion largueur au niveau de largage) et que l'on doit déplacer d'autant plus que le vent météo sera fort. De plus, l'avion largueur doit s'aligner suffisamment tôt sur son axe de largage avant la sortie du 1er para.

Cela étant dit, ça engendre plusieurs conflits: - espace aérien autour du terrain, négociable à la verticale terrain avec les militaires puis Marseille en fonction du niveau demandé. Un largeur pro qui fera du tandem montera rarement au FL140 pour faire du vrai 4000m comme à Gap, mais préfèrera enchainer des rotations à 2500m/sol (donc FL95 environ). Par contre, en cas de vent de de nord-nord ouest, l'avion s'alignera du sud vers le nord et génèrera un conflit avec les zones de Cadarache.

- taille du cylindre de parachutage et hauteur d'ouverture des voiles: pour schématiser, un cylindre de parachutage fait 2NM de rayon environ à ramener à 1,5NM si largage autour du FL100, dont le centre du cylindre est décallé en fonction du vent. Les tandems doivent ouvrir à 1500m/sol mais avec l'abaissement, les voiles tandems sont ouvertes vers 1100-1200m/sol. Les para individuels qui accompagnent les tandems en vidéo ouvriront vers 1000m/sol, parfois moins, le mini officiel étant 850m/sol. Avec abaissement ça fait dans les 700m/sol, voiles ouvertes. Donc ça contraint la hauteur des arrivées planeurs dans ce cylindre et l'école de début. En revanche, ça ne devrait pas contraindre les remorqués et départs en fin de matinée - début d'après-midi en circuit.

- au sol: les circuits de descente des avions largeurs sont assez particuliers car leur taux de chute est important pour diminuer le temps de rotation et consommation carburant. Les avions largeurs sont souvent de type train classique (Pilatus, Cessna...). Lorsque la brise n'est pas établie, ils peuvent se poser sur n'importe quel QFU. Mais lorsque la brise est établie, ils préfèrent se poser face au vent. Dans une structure commerciale, les pilotes largueurs sont eux même pilotes pro avec des expériences très variables. Donc assez procéduriers mais pas toujours très à l'aise en maniablilité.

Toujours au sol, les questions à se poser sont: quelle infrastructure utiliseront-ils? Un hangar au sol (accueil des clients, briefing avant saut, pliage des voiles...)? Quelles horaires comptent-ils utiliser en fonction de la saison? Je doute qu'ils aient une activité entre juillet et août de 13h à 16h vue la chaleur au sol (environ 45°) ce qui pose un problème sur le posé des voiles (faible densité influençant les vitesses de posés des voiles), le bien-être des clients au sol...

Quel type d'avion utiliseront-ils? Utilisation 100LL ou JET A1 (kéro), si avion à moteur à piston, leur hauteur de largage sera forcément plus basse qu'avec une turbine.

Les recommandations: définir des plages horaires compatibles avec les différentes activités déjà présentes tant qu'un AFIS n'est pas présent à Vinon,. En cas de vol à voile et para en même temps, s'assurer que les règles supprimant tout risque de conflit (les plus simples et compréhensibles possible, des étrangers volent à Vinon et ne sont pas tous francophones) soient connues de tous, ce qui inclue que l'instruction du début doit être modifiée en conséquence. Carte VAC à modifier et définition d'une zone de parachutage temporaire (ou permanente en fonction de l'activité). Communication auprès de Cadarache sur la présence de cette nouvelle activité.

 

Carl



J'oubliais un point important, mais c'est mentionné dans un post précédent: évidemment l'avion largueur doit avoir un flarm, mais ça n'empêche pas que le pilote largueur doit communiquer sa position de descente et surveiller son environnement.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

D'expérience hélas, les sociétés de paras ne répondent pas forcément favorablement pas aux propositions d'installation d'un Flarm sur leur avion largueur pour sécuriser les trafics avec les planeurs.

Modifié par WAVE
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Quand c'est leur intérêt, ils sont d'accord. A Gap, l'environnement a poussé les para à équiper leurs avions. Mais il y a d'autres exemples d'ouverture où planeurs et paras fonctionnent ensemble.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je confirme concernant l'installation du système Flarm dans les avions largueurs, c'est très difficile de faire comprendre cette nécessité aux responsables des clubs de para. En tout cas c'est très simple à constater, il suffit de regarder en direct les sites comme OGN (spot the glider) ou Glider tracker pour voir qu'il y a très peu d'avions largueurs en vol équipés. Dans l'Ouest de le France, je ne vois que le gros centre para de Vannes dont les avions sont équipés de Power Flarm.

Sans doute que cela coûte trop cher! (à mettre en parallèle avec les tarifs pratiqués de saut en tandem...).

J'avais déjà proposé à notre Fédération de contacter la fédération de parachutisme afin de les sensibiliser à cette problématique, mais apparemment rien n'a été fait.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

JMD confirme mon précédent post : bien que certains le fassent, tous les paras ne répondent pas forcément aux propositions de Flarm.

Les raisons sont difficiles à cerner pour avancer.

On pourrait penser au côté réglementaire à bord de l'avion, mais en y mettant du sien le Flarm peut être installé.

Quant à l'aspect financier, le coût est très modique en valeur absolue, et même en proposant de le partager ou le faire subventionner localement il n'y a pas plus de résultats.

Comme toujours dans de tels cas, la difficulté provient des non réponses des différentes strates qui laissent les choses en l'état au fil des ans, alors que des réponses même négatives permettraient au moins d'identifier les objections pour proposer des solutions locales concertées.

Modifié par WAVE
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

De mémoire, dans mon club de para, ca nous avait couté prêt de 6000 Euros pour faire installer un Power Flarm dans un PC6.

Donc très loin d'être négligeable pour les clubs qui ont toujours du mal a avoir un équilibre financier.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

6000€ ??

Ils vous ont fourni la vaseline avec j'espère.

Je vais regarder combien m'a coûté le mien mais tu peux diviser par 3 ou 4.

 

Eric

Un pigeon, c'est plus con qu'un dauphin, d'accord... mais ça vole... (Audiard)

http://www.touraine-planeur.org

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

6000€ ??

Ils vous ont fourni la vaseline avec j'espère.

Je vais regarder combien m'a coûté le mien mais tu peux diviser par 3 ou 4.

 

Eric

 

Installé par l'atelier agréé en charge de la maintenance de l'avion, avec le son qui arrive dans le casque .... donc oui ca fait cher.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

JMD confirme mon précédent post : bien que certains le fassent, tous les paras ne répondent pas forcément aux propositions de Flarm.

Les raisons sont difficiles à cerner pour avancer.

On pourrait penser au côté réglementaire à bord de l'avion, mais en y mettant du sien le Flarm peut être installé.

Quant à l'aspect financier, le coût est très modique en valeur absolue, et même en proposant de le partager ou le faire subventionner localement il n'y a pas plus de résultats.

Comme toujours dans de tels cas, la difficulté provient des non réponses des différentes strates qui laissent les choses en l'état au fil des ans, alors que des réponses même négatives permettraient au moins d'identifier les objections pour proposer des solutions locales concertées.

 

 

De mémoire, dans mon club de para, ca nous avait couté prêt de 6000 Euros pour faire installer un Power Flarm dans un PC6.

Donc très loin d'être négligeable pour les clubs qui ont toujours du mal a avoir un équilibre financier.

 

C'est l'illustration du pb :

L'aspect réglementaire est levable et ne rend pas impossible l'installation d'un Flarm si on le veut bien compte tenu de l'enjeu de sécurité.

Quand au coût financier, le "modique" peut même tendre vers le pur symbolique après propositions de partage partiel voire total du restant après subventionnements locaux.

Retours néant : c'est là qu'est l'os...

Modifié par WAVE
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

Chargement

×
×
  • Créer...