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JdeM

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Messages posté(e)s par JdeM

  1. Bonjour à tous,

     

    Nous avons un Astir CS-77 dont le tube de pitot a été malencontreusement débranché à l'entrée, c'est-à-dire à l'intérieur de l'empennage vertical (drôle d'endroit pour installer un pitot, mais c'est un Grob).

     

    Quelqu'un a-t-il une idée précise de la technique à utiliser pour rebrancher tout ça et pouvoir remettre le planeur en vol ?

     

    Merci à l'avance à ceux qui répondront.

     

    Jean

  2. Pour un wave camp en hiver au Norvège (ou Canada), il faudrait plein de lampions sur les ailes et sur la piste :-)

     

    Par contre en Argentine, il y a deux opérateurs - Klaus Ohlmann et Jean-Marie Clement.

     

    Au Canada, les camps d'onde se font en automne et non en hiver. Un avion remorqueur à -30 °C, ça ne monte pas haut car le moteur refuse de démarrer.

     

     

     

  3. Bonjour à toutes et tous,

     

    Les juniors ont débuté les championnats du monde junior à Leszno, après une période d'entraînement plutôt favorable, les 1ers jours de compétition sont neutralisés pour cause météo. Vous pouvez suivre leurs résultats sur :

     

    Bonjour,

     

    Sont-ce les Australiens qui n'ont pas mis le site web à jour : la période d'inscription est terminée et je ne vois ni Français, ni Belges sur la liste des participants inscrits, liste sensiblement plus courte que celle de Leszno en 2013 ?

     

    J'ai lu quelque part que les Belges n'arrivaient pas à trouver les fonds nécessaires pour financer l'envoi de deux équipes. Envoyer une quinzaine de personnes de l'autre côté de la planète, ça peut coûter une fortune. De plus, comme c'est un championnat junior, et que des juniors au début de décembre, c'est parfois en pleine session d'examen, le choix de l'Australie n'est peut-être pas le meilleur.

  4. Merci pour ces réponses. C'est encourageant.

     

    Entre temps, nous avons réalisé que le service à la clientèle était en vacances et reprenait le travail lundi dernier. Réflexe de Nord-Américain pour qui vacances ne riment pas avec fermeture, sauf pour les écoles...

     

    Quant à la communication en anglais, c'est la seule langue que le responsable de l'entretien connaisse (c'est un sympathique Made in UK émigré au Québec depuis plusieurs années). Toutefois, nous avons au sein du club des ressources multilingues nombreuses, y compris des germanophones. Quand on regarde les mauvaises traductions des manuels de l'allemand vers l'anglais, on apprend que ce n'est pas inutile d'avoir des gens qui comprennent le deutsche... :)

     

    Bref, on va attendre nos tiges de commandes d'AF et les hublots de plexi pour remplir les trous que nous devrons percer dans les ailes – en attendant la prochaine CN. :) :)

  5. Nous avons un Grob Twin II touché par cette consigne. Il est actuellement cloué au sol car la commande des AF d'un côté est défectueuse.

     

    On se demande dans combien de temps pourrons-nous refaire voler cette machine, car l'atelier allemand qui a pris les planeurs Grob sous son aile ne semble pas pressé de répondre à notre commande de pièces. Même une simple demande d'accusé de réception est restée sans réponse. Le grand silence quoi !

     

    D'autres retours d'expérience à propos de cette consigne ?

  6. moi y avait un américain qui m'avait donné une astuce, juste avant de commencer à rouler au décollage en remorqué: verrière AF

    c'est les deux principales causes d'accident mortels au décollage. ça remplace pas le cris, mais bon, depuis c'est devenu une habitude, c'est pas si mal, meme si c'est redondant.

    Ajoute les ceintures et tout sera parfait. On part du plus haut – verrière – et on descend – AF, ceinture (oui, j'ai vu des gens qui oublient de les boucler) et voilà une checkliste brève et efficace, qui ne noie pas l'essentiel dans un plein dictionnaire.

     

    Des accidents pour cause de verrière non fermée, j'en ai vus. Idem pour des AF non verrouillés. Et même des ceintures non bouclées...

     

    Par ailleurs, on a tendance à confondre une checkliste, qui confirme l'état statique des choses, et des procédures préparatoires. Ça donne des checklistes trop longues et mal exécutées.

  7. Tu pourrais essayer d'en mettre un dessus et un dessous, pour voir...

    Après, tu pourras nous faire à l'usage un compte rendu circonstancié !!!

     

    Bonne idée ! Le club est bilingue après tout... :)

     

     

    Ai volé cette année avec une charmante québécoise qui voulait découvrir les Alpes, Catherine.

    Il semblerait que JdeM signifie en québécois "journée de m...." ?

     

    Je n'y avais pas pensé, mais ça pourrait être ça. Prévi pour demain : Tmax, 33 °C et point de rosée 23 °C, autrement dit, humide. et sur le téphi, la courbe des températures est très inclinée. Bon ! Encore des jolis CB jusqu'au FL600...

  8. Pour remettre le vol à voile sur une pente remontante, il faut former des pilotes de planeur, des dizaines, des centaines.

     

    Et ici, pour ou contre les applications électriques ? Voyons un peu...

     

    - Le planeur remorqué par avion n'est pas une solution d'avenir. Les coûts associés à ce type de lancement sont astronomiques pour les élèves et ils augmentent plus vite que le coût de la vie.

     

    - Le treuil partage avec l'avion remorqueur certaines contraintes dont beaucoup de travail au sol. Il a l'avantage d'être plus silencieux pour les voisins et de coûter beaucoup moins cher pour l'élève. Pour ceux qui ne disposent que d'un modeste terrain, il n'est pas trop utile.

     

    - Le planeur autonome, jusqu'ici mal exploité probablement parce que mal jumelé au planeur conventionnel, pourrait être remis à la mode car il offre le potentiel de l'heure de vol la moins chère.

     

    Acceptée l'idée du biplace autonome ? Dans ce cas, devrait-il être électrique ou à pétrole ?

     

    - Le bruit – Il faut en faire moins, tous les voisins nous le disent. Un point pour l'électrique.

    - Le coût – l'électrique coûte moins cher en énergie consommée, mais le coût excessif des accumulateurs, qui ne sont pas éternels, vient faire basculer la balance. Même avec une recharge rapide, le risque de temps morts importants ne pourrai être réduit qu'en utilisant au moins deux unités rechargeables par planeur (ce qui veut aussi dire des batteries très faciles à remplacer).

    - La fiabilité – Le moteur qui offre le meilleur compromis poids-performance reste le deux-temps de type Rotax. Ce n'est pas ce qui est le plus fiable. En contrepartie, si le moteur électrique est simple et très fiable, l'informatique de contôle l'est souvent beaucoup moins.

    - L'entretien – La simplicité du moteur électrique joue en sa faveur sur ce point.

    - Le montage – Le montage sur pylône (comme le Taurus) est loin de l'idéal en école de début. L'hélice dans le nez semble être nettement plus performante et plus simple. Toutefois, avec un moteur à essence, cette solution semble problématique.

     

    Peu écolo le montage électrique ? Certes, la grande vertu proclamée par les vendeurs de solutions électriques rechargeables est plutôt un leurre. Sauf que les moteurs deux-temps sont encore et pour longtemps des engins très polluants (bruit et gaz d'échappement).

     

    Et lourd ? Sur le Taurus par exemple, pour avoir une masse équivalente on devra se contenter d'une autonomie verticale de 2000 mètres à pleine puissance. En gros, ça signifie l'équivalent de 3 remorqués à 600 ou 700 mètres. La version pétrole fait beaucoup mieux. En ècole, une autonomie de 2000 mètres se traduirait plutôt par deux décollages et montées + une réserve pour prolonger le vol et terminer la leçon en vol.

     

    Le planeur électrique sur papier est donc viable. Sa mise au point pourrait toutefois nécessiter un certain temps.

     

     

    je reste contre les applications électriques (à mon avis : manque d'autonomie donc peu/pas utilisable en montage, peu écolo...sur le bilan global, lourd)

     

     



     

    en gros..un Silent electro !

     

    OLivier

    Qui malheureusement est 2 fois plus cher. Un de mes amis possède un Silent electro, super petite machine, peut-être un poil moins performante que mon LS3A "vieux Delft ".

     

    Si on veut redonner un peu d'air au vol à voile, il faut peut-être en découdre avec la vieille culture rencontrée dans certains clubs, culture où on place la performance pure au sommet des critères de sélection d'un planeur. Certes, la compétition a sa place dans les clubs ou les fédérations, mais y mettre toutes ses billes est l'erreur à ne pas faire.

     

    Le planeur léger amène une dynamique nouvelle et un grand potentiel. Or, lui fermer la porte pour insuffisance de finesse, c'est une erreur à ne pas faire.

  9. Beau sujet !

    Le bon créneau : un monoplace ULM moteur électrique à moins de 50 k€, ayant les performances d'un pégase au minimum

    Le projet EUROGLIDER va ouvrir la voie !

     

    Le bon créneau ne serait-il pas plutôt celui vers lequel Euroglider se dirige, à savoir un BIPLACE d'entrainement de début, à puissance embarquée, et autonome ?

     

    Imaginons un peu, une sorte d'ASK-21 modernisé, carbone bien sûr, allégé d'au moins 100 kilos, et un peu plus léger aux commandes (quelque chose qui pourrait être aussi maniable qu'un Taurus, avec un peu plus d'envergure évidemment)...

     

    En Europe de l'ouest, la situation est un peu différente, mais en Amérique du Nord, l'arrêt de vol de quelques dizaines de Blaník L-13 a mis bien des clubs dans l'embarras. Quand, faute de moyens, on doit se rabattre sur de lourdingues Grob Twin II ou Twin Astir, mal adaptés à l'école de début, ce n'est pas ce qui va donner au vol à voile et aux clubs une seconde jeunesse.

  10. Bonjour à tous,

     

    Nous avons un Grob Twin II dont le palonnier en place arrière est réglable. Chaque pédale se règle individuellement, après avoir déverrouillé le mécanisme en tirant sur un petit bouton rouge placé SOUS/AU-DESSUS de chaque pédale.

     

    Si j'écris SOUS/AU-DESSUS, c'est que le nôtre est placé SOUS la pédale, ce qui me semble un non sens (le petit bouton peut se dévisser tout seul et tomber sur le plancher, ce qui s'est produit récemment).

     

    Je suis tombé sur une série de photos montrant un Grob Twin II en restauration (voir le lien ci-dessous). On y voit le bouton de déverrouillage des pédales – et il est au-dessus. La question que je me pose : lequel a monté les pédales du palonnier à l'envers, celui qui nous a vendu le Twin II ou celui de la photo ?

     

    Si jamais quelqu'un vole dans un club où on a un Twin II de cette série, j'aimerais juste savoir de quel côté de la pédale se trouve le petit bouton rouge-brun.

     

    https://www.flickr.com/photos/mangtronix/6868185685/

     

    Bons vols !

  11. Bonjour à tous,

     

    Deux collègues d'aéroclub ayant deux configurations identiques, soit XCSoar sur une tablette Nexus7, ont aussi un drôle de problème identique.

     

    Il arrive, de façon plutôt aléatoire, que la date générée en début de fichier IGC soit 000000, et quand on regarde la liste de fichiers sauvegardés dans l'appareil, on obtient dans un tel cas le 30 novembre 1999.

     

    Les fichiers sont bien sûr refusés par OLC.

     

    Quelqu'un a-t-il déjà connu ce problème ?

     

    Merci à l'avance à qui aura la solution – et à ceux qui auront tenté de la trouver.

     

     

  12. Le rapport d'enquête sur l'accident du Grob Twin III du mois d'août 2014 en Italie a été publié il y a quelques jours.

     

    La thèse d'une manœuvre trop brutale à une vitesse élevée a été retenue, faute de trouver d'autres éléments évidents. L'analyse des débris laisse entrevoir la probabilité qu'il y ait eu un effort excessif vers le haut.

     

    http://www.ansv.it/cgi-bin/ita/Relazione%20I-IVVO.pdf

  13. J'ai l'impression que la distinction "libre"//"comme prévue" n'est pas la même que sur netcoupe.net

     

     

    Dans le cas (très très très très rare sur l'OLC) d'une déclaration valide, l'onglet OLC league (le deuxième en haut à gauche dans les infos de vol) donne des statistiques du vol par rapport à cette déclaration.

    S'il n'y a rien, c'est qu'il n'y avait pas de déclaration, ou que celle-ci n'était pas bonne...

     

    Mais je me trompe peut-être, les circuits à 24 branches n'étant d'aucun intérêt sportif selon ma conception du vol à voile, je ne m'y suis absolument pas intéressé...

     

    Il faut prendre OLC pour ce qu'il est, UN JEU. Et plusieurs s'y amusent, ce qui n'a rien d'illégitime.

     

    Il parait que le plaisir est une sorte de signal qui nous amène à faire des gestes essentiels à la survie. Alors, si de nombreux vélivoles tournent le dos à la compétition dite classique et éprouvent du plaisir à jouer à OLC, ce n'est peut-être pas si mauvais pour le vol à voile. Le hic toutefois, c'est qu'on pousse parfois un peu trop pour faire tourner le compteur à points et que la sécurité en souffre. Mais au fond, c'est un peu la même chose avec la compétition conventionelle.

     

    Si le nom OLC (On Line Competition) vous agace, appelez-la OLG (On Line Game). :) :)

  14. Je viens de tomber par hazard sur ce forum italien :

     

    http://www.postfrontal.com/forum/topic.asp?ARCHIVE=true&TOPIC_ID=657

     

    Ainsi, on y apprend qu'en décembre 2006, un Grob Twin III Acro très semblable à celui de l'accident récent (I-IVVP et le plus récent est I-IVVO) a perdu une aile en vol lors d'une leçon de voltige en double avec un instructeur expérimenté en voltige. L'instructeur et l'élève avaient réussi à sauter et s'en étaient sortis indemmes.

     

    La capacité voltige des Grob Twin Acro sera sûrement remise en question, après deux ruptures en vol...

  15. D'après la literature les composites fibre de verre sont insensible à la fatigue et leurs resistance augmente avec le temps , rien à voir avec la structure métalique du Blanik, on peut donc exclure à prioris la fatigue d'autant que le nombre de cycles sur un planeur mème de voltige reste très faible.

    Et pourtant, les composites finissent par casser d'une manière un peu comparable à celle du métal.

     

    http://www.lanazione.it/lucca/sequestrati-documenti-e-velivolo-mistero-sulle-cause-dell-incidente-1.119829

     

    On sait maintenant que l'aile du Grob 103 Twin III italien s'est bel et bien rompue en vol et le point de rupture a été identifié. Et des analyses microscopiques seront faites sur les zones voisines du point de rupture pour y déceler, entre autres, la présence de microfissures, comme avec le métal.

     

    On sait aussi que le Twin III était bel et bien utilisé lors d'une leçon de voltige en double au moment de l'accident et qu'il avait servi à une autre leçon de voltige juste avant.

     

    Il ne faudrait pas s'étonner d'une nouvelle interdiction de voltige pour les Grob d'ici les résultats définitifs de l'enquête. C'est à suivre...

  16. D'après la literature les composites fibre de verre sont insensible à la fatigue et leurs resistance augmente avec le temps , rien à voir avec la structure métalique du Blanik, on peut donc exclure à prioris la fatigue d'autant que le nombre de cycles sur un planeur mème de voltige reste très faible.

    Il y a la fatigue des matériaux, il y a celle de l'ensemble.

     

    Dans le cas du métal, il y a deux facteurs importants : la corrosion et le développement des microfissures.

     

    Dans le cas des composites, c'est plus complexe. Les propriétés des résines changent avec le temps, en particulier si elles sont exposées à certains types de rayonnement (les UV entre autres). Par ailleurs, les composites ne sont pas totalement imperméables. La présence d'eau, meme sous forme de gouttelettes microscopiques, peut causer problème lors de cycles de gel et de dégel.

     

    La délamination est encore un phénomène bien présent avec les matériaux composites (et les Grob en ont eu plus que leur part dans leur histoire). Un début de délamination pourrait s'accélérer sous des efforts élevés et encore pire sous des efforts excessifs.

     

    On ne sait encore rien du Grob Twin italien, sinon que des témoins ont vu une aile détachée du fuselage ainsi que d'autres pièces. Une rupture de l'immense longeron est peu probable, mais qu'en est-il du bizzaroide système d'attache des ailes (en métal...) ? Si on découvre que le système d'attache est en cause, surveillez l'émission d'une CN... Je me suis toujours méfié de ce système à la con.

  17.  

     

    Merci d’avoir recentré le sujet

     

    10/07/2014
    HB2298
    SCHEMPP-HIRTH VENTUS CM
    Eourres (05) 1 0 0
    Rupture d'une aile en vol, collision avec le sol
    Il semblerait que se soit un ventus 2CM (et un CM comme annoncé par le BEA)

    Comment casser une aile de planeur ??? sortie de vrille ? Je n'ai jamais entendu parler de rupture d'aile en vol à part dut à une collision.

    Des ailes qui cassent ou qui se détachent en vol ?

     

    Il faudra suivre l'enquete sur le récent accident en Italie. Un Grob Twin III Acro a perdu une aile en vol. Planeur en miettes au sol, deux décès, un instructeur et un élève. L'instructeur était un champion italien de la voltige.

     

    http://www.tgcom24.mediaset.it/cronaca/2014/notizia/lucca-precipita-aliante-2-morti_2062206.shtml

     

    Le planeur appartenait à ce club :

     

    http://www.voloavelalucca.it/foto.html

     

    Que s'est-il passé ? Manœuvre de voltige ratée ? Fatigue anormale causée par la voltige ? Il y a dix ans, les Grob 103 écopaient d'une CN limitant les manœuvres de voltige. Moyennant certaines modifications, il a été possible de remettre ces planeurs en état de voltige (pour les versions Acro). Était-ce suffisant ?

     

    Le scénario du pire : et si on revivait quelque chose de semblable à la triste fin de centaines de Blaník L13 ? Un L13 avait perdu une aile en vol et vous connaissez la suite...

     

    http://iltirreno.gelocal.it/lucca/cronaca/2014/08/10/news/deltaplano-precipita-all-aeroporto-di-tassignano-2-morti-1.9739640

  18.  

    ces rayons de soleil entre les nuages : "Pieds de vent" .

    http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/7/7a/Pied_de_vent_Iles_de_la_Madeleine.jpg/300px-Pied_de_vent_Iles_de_la_Madeleine.jpghttp://fr.wikipedia.org/wiki/Pied-de-vent

    Mon épouse appelait ça depuis son enfance les "cornes de Moïse" parce que ce prophète est souvent représenté avec ce genre de rayons lui sortant de la tête.

    Ma mère appelait ça des barres de vent. Quand on les voyait en fin d'après-midi, habituellement juste derrière les dépressions, le lendemain, il ventait.

     

    Les Madelinots ont baptisé un fromage ainsi, ce qui ajoute une définition à l'expression.

     

    http://p4.storage.canalblog.com/41/51/163138/56295532.jpg

  19. J'ai beau être un grand supporter des solutions informatiques grand public, je ne démonterais pas de sitôt alti, vario et badin mécaniques, une panne électrique est trop vite arrivée.

     

    Je ne veux pas me faire l'avocat de l'informatique, mais l'atmosphère aussi tombe parfois en panne. Il suffit d'un moucheron dans la prise statique et voilà le badin et l'altimètre qui déconnent. Quant au vario, il est encore plus capricieux.

     

    Bon, d'accord, j'avoue que l'informatique et les pannes sont des amis qui se fréquentent souvent...

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