www.planeur.net | www.netcoupe.net | www.volavoile.net
Aller au contenu

Denis F

Membres
  • Compteur de contenus

    1 532
  • Inscription

  • Dernière visite

Messages posté(e)s par Denis F

  1. ... et quelques autres, dont Milos Pajr, plus de 1500 km au départ de La Cerdanya (sans compter les 3600 km pour l'aller retour depuis la Tchéquie)... Rien qu'en 2023, des Pyrénées aux Carpathes il y a déjà une bonne vingtaine de vols de plus de 1000 km : 

    https://www.weglide.org/flight/map?continent=Europe,EU&distance_gt=%3E%201000%20km,1000&scoring_date_start=2023-01-01&scoring_date_end=today&order_by=-distance

  2. Le 14/02/2023 à 13:02, Bob a dit :

    Bonjour

    Je n'y connais rien, donc j'essaye d'être moins bête : quel est le retour d'expérience (technique) avec les moteurs des planeurs autonomes ?

    J'ai vu que Binder "remplace" le moteur Wankel de l'ASH25MI pour mettre un Solo. Y a-t-il une vraie raison technique ?

    Merci

    Où donc as-tu vu ça ? Binder a mis des Solo sur ses EB 28 depuis l'ASH 25 EB 28 mais à l'époque je crois qu'il n'y avait pas encore la version ASH 25 Mi avec Wankel 

    Le 15/02/2023 à 19:05, afro a dit :

    Et les Wankel ont la réputation de chauffer énormément (pas de refroidissement interne (échange gazeux) comme sur un 4 ou 2 tps). Du coup, le moteur doit être à moitié rentré pour refroidir le temps kivabien (cf le fût du canon). En conséquence, tu as un AF sur le dos et si petit temps, apaglop.

    La température des gaz d'échappement est plus forte sur un Wankel, d'où un pot d'échappement volumineux. Ceci dit sur celui d'AustroEngines il y a un refroidissement par air interne au rotor, en plus du refroidissement par eau. Et comme dit plus haut, le fait de garder l'hélice sortie de 30° pendant quelques minutes n'a rien d'un AF, la différence sur le taux de montée en spirale est négligeable.

  3. Le 06/02/2023 à 09:56, Stéphane a dit :

    N'empêche, si mes souvenirs sont bons, c'est une collision avec un planeur "hors des clous" sur le flanc du mont Pelat dans le Mercantour, ayant résulté dans la mort d'un vautour fauve, qui a servi de raison pour que le Parc dénonce l'accord passé avec la FFVV (pas encore P) pour le passage dans la partie extrême ouest du Parc (au nord d'Allos). C'est aussi depuis lors que les gardes scrutent les vols sur OGN pour poursuivre les plus petites incursions (quand on vole le long du flanc sud de l'Ubaye, on n'a pas beaucoup de marge).

    Les collisions avec des vautours ça n'arrive pas que dans les parcs nationaux, et il y a eu plusieurs accidents d'avion mortels 

    Collisions aviaires en aviation générale Faire face aux grands rapaces

  4. Le 21/12/2022 à 09:16, JFonseca a dit :

    Quelqu'un sait-il ce qui est nécessaire pour certifier un Super Dimona pour le IRF et le VFR de nuit et combien cela coûte-t-il ? Après quelques recherches sur internet je pense que ce n'est pas faisable. Et pour le Phoenix ? 

     

    D'après son manuel de vol, "le Super Dimona est certifié pour le VFR de jour. Le vol de nuit requiert des équipements supplémentaires conformément à la réglementation. L'IFR, le vol de nuage et la voltige sont interdits"

  5. Le 15/01/2023 à 18:14, Ludovic Launer a dit :

    Je vais déjà ajouter les indications.
    Je verrai ensuite comment retrouver une altitude de décollage "exacte" dans le cas des traces GPS. Cela suppose que le delta entre altitude GPS et altitude pression est constant, ce qui n'est pas vrai non plus...

    C'est même complètement faux. Même sans aucune erreur des capteurs, le GPS indique une altitude vraie et l'altimètre une altitude QNH (si recalée au décollage) et les deux ne sont identiques qu'en atmosphère standard, dès qu'il fait un peu chaud il y a plus de 5% d'écart entre les deux et ça fait vite plus de 100 m... à moins que tu tiennes compte de la température du jour mais j'imagine que ça complique sérieusement les choses

  6. Le 09/01/2023 à 18:46, Etienne a dit :

    C'est une des questions du théorique planeur : la distance requise par rapport au nuage fonction de la zone de vol (classe D, E, G, TMA, zone contrôlée etc...) Et cette distance n'est jamais inférieure à zéro pour le VFR.

    Après, du vol de nuage, j'en ai fait... En Angleterre avec un instructeur et une bille aiguille. Je recommande (avec instructeur qui sait faire), c'est instructif, quand vous pouvez apprendre et comprendre dans la légalité !

    Oui j'ai quelques souvenirs théoriques, mais ce dont tu parles ce sont les conditions VMC, elles sont définies par l'OACI et ne sont donc pas un obstacle au vol de nuage dans les pays où il se pratique. 

    Sais-tu si en Angleterre, avant l'EASAxit, il y avait des textes qui autorisaient le vol de nuage et lesquels ? Ou bien considèreraient-ils, à l'inverse de la France, que si rien ne l'interdit, c'est autorisé ?  

    Le 11/01/2023 à 15:40, Stéphane a dit :

    Historiquement, le vol de nuage a souvent été interdit lorsqu'on a commencé à introduire une réglementation pour le vol sans visibilité. Certains pays ont alors choisi de ne plus permettre le vol sans visibilité en dehors de cette réglementation (qui est devenu l'IFR). D'autres ont décidé de permettre le vol de nuage des planeurs sous certaines conditions. En général, le minimum c'est d'être en contact avec un organisme de contrôle aérien. En Suisse par exemple, il faut une autorisation ATC, un transpondeur, maintenir la communication radio bidirectionnelle avec ATC et rester en dehors des CTR/TMA, des espaces de classe G, des zones réglementées LS-R "planeurs", des zones P, R, D... Bref, c'est loin d'être le n'importe quoi.

    Je ne sais pas quand il a été interdit en France, je pense qu'il était encore permis dans les années 50. Et au niveau de l'IGC (ou plutôt la CIVV) jusqu'au championnat du monde 1972.

    La Suisse étant aussi dans l'EASA, même question qu'à Etienne, puisque tu as l'air de bien t'y connaître, saurais-tu nos indiquer les textes suisses qui réglementent le vol de nuage  ?

    PS : Est-il possible de transférer ceci dans un thread séparé "Vol de nuage" ?

  7. Le 02/12/2022 à 10:07, Ludovic Launer a dit :

    Bonjour

    Dans la lignée de la Heatmap, la thermalmap 2022 utilise tous les vols de la Netcoupe afin de compiler les emplacements des thermiques sur une année.
    La représentation change en fonction du zoom: cluster et points, points et heatmap.
    Des filtres vous permettent de visualiser l'année entière ou un mois en particulier, mais également de choisir le seuil de visualisation et l'altitude de départ.

    https://netcoupe.thermalmap.net/

    La carte est mise a jour annuellement avec les traces disponibles sur la NetCoupe.

    • Les traces sont totalement anonymisées,
    • Les données exploitées par la thermalmap se limitent aux positions 3D, et date

    Frederic,Samuel et Ludovic

    Bravo !

    Il serait intéressant de pouvoir filtrer par direction du vent (dérive en spirale)... 

  8. Le 10/12/2022 à 07:05, CPT a dit :

    Il peut y avoir des "vagues" sur la mer de nuage en amont d'un relief, mais pas stationnaires comme cette vidéo sur Ténérife dans les Alizés :

    https://mastodon.world/@davidho/109415934993681987

     

     

    Belles images... mais es-tu sûr qu'il y ait du vent venant de la droite au-dessus de l'inversion ? Il me semble que c'est le contraire. Et comment expliquer ces ondes non stationnaires (quoique leur déplacement est assez lent vu que la vidéo est très accélérée) ? Un effet de la progression de la brise de mer dans la journée, qui se heurterait au vent d'altitude, un peu comme le Morning Glory ?

  9. Le 21/12/2022 à 21:52, Etienne a dit :

    Salut,

    le vol de nuage n'est pas autorisé pour les planeurs en France, pas plus que pour les ULM.

    ...

    Salut Etienne,

    C'est un peu hors sujet mais qu'est-ce qui ferait que le vol de nuage ne soit pas plus autorisé en France que dans les autres pays d'Europe ? Cf la réglementation EASA qui prévoit le vol de nuage (même si les conditions dans lesquelles on peut en faire ne sont pas très claires) ? Y aurait-il u texte franco-français qui vienne l'interdire ?

    Denis 

  10. Le 14/09/2022 à 18:07, philippe VV a dit :

    Bonsoir à toutes et à tous,

    Merci Laurent et Régis de projeter une lumière douce sur la mémoire de Jean Vuillemot.

    Et il est bien utile et juste, pour notre collectivité de vélivoles, d'honorer celles et ceux qui nous ont guidés et un peu construits au fil du temps.

    Philippe VV

     

    sans oublier de rappeler qu'il a inventé dès 1983, et longtemps soutenu notamment dans Aviasport puis Vol à Voile, le classement des compétiteurs français éponyme... ainsi qu'il le décrivait lui-même en 2003

    69301fb91a47f358b54af2278b5087e28b27e28c

     

  11. Le 29/08/2022 à 18:57, Gilou a dit :

    En Ka 6,J’ai fait mes 500 du « F » en 1976 en AR Nogaro(32)/Ruffec, le jour de mes 25ans le 05/06….eeeeh oui! .Il n’y avait qu’un planeur plastique au club un LS1 D et c’est le moniteur qui l’a pris pour tenter aussi le but fixé du F.Un vent de face incroyable, 7h00 pour atteindre le point de virage !! Et 2h 30 pour rentrer !! 

    oui je m'en souviens (presque) 🤣

    et bienvenue sur le forum Gilles...

  12. À noter aussi le site travelbyglider.eu (pour le vol à voile itinérant) — Il manque pas mal de clubs français, mais il suffit de se créer un compte pour ajouter ceux qui manquent :

    Travelglider.eu est une plateforme d’échange d’information sur les possibilités de décollage pour planeurs en Europe. Le but est de rendre le voyage en planeur plus facile, notamment pour les planeurs à décollage non autonome. Ici, vous trouverez les informations sur les possibilités de treuillage ou remorquage dans les différents clubs : où, quand et comment ?

    En été, il existe en partout Europe de nombreux clubs avec des hangars et une possibilité quotidienne d’être treuillé ou remorqué. Le voyage en planeur - de quelques jours à plusieurs semaines - devient alors possible lorsque l’on sait où atterrir le soir pour pouvoir redécoller le lendemain. Les informations présentes sur ce site sont directement données par les pilotes et clubs à l’attention des autres pilotes partageant la même passion. Elles peuvent être filtrées par jour et type de décollage (treuillage ou remorquage). Les résultats sont donnés sous forme de cartes, tableaux ou directement de points de cheminement à télécharger.

    Si votre club participe, il est important de mettre à jour les informations afin qu’elles soient toujours actuelles. Nous éviterons ainsi de voir des pilotes atterrir sur votre terrain avec l’espoir de redécoller le lendemain, alors que, par exemple, l’avion-remorqueur n’est plus disponible. Ce site a été optimisé pour fonctionner sur Smartphone, ce qui doit permettre aux ‘pilotes-voyageurs’ de télécharger quotidiennement les informations mises à jour.

     

  13. J'ai essayé, ça marche... à condition de ne pas mettre de caractères spéciaux (pas de slash...) et d'indiquer des coordonnées plutôt que des indicateurs d'aérodrome non OACI qui sont inconnus même en case ZZZZ 

    Attention toutefois, par défaut les recherches sont déclenchées quelques minutes après l'heure d'arrivée prévue (heure d'activation au décollage + durée indiquée)

    L'autonomie n'est pas prise en compte pas plus que le tracking FLARM... il faut donc prévenir d'un retard éventuel par radio ou garder le transpondeur en marche, et clôturer au +33 1 56 301 301

    440a9165039ece00e710bf84af0bfe02b1ca99e2

  14. Le NOTAM R1404/22 n'aura certainement échappé à personne :

    LFFF/QRTCA/IV/BO/AW/000/065/4719N00141E011
    LOWER: Surface, UPPER: FL065
    FROM: 30 May 2022 10:00 GMT (12:00 CEST) TO: 09 Jun 2022 18:30 GMT (20:30 CEST)
    SCHEDULE: 1000-1330 1500-1830

    pas plus que sa signification, à savoir l'activation d'une ZRT de 11 NM autour de Romo pour l'International Air (10 NM en fait). Il est précisé que le contournement est obligatoire pour tous sauf les participants ou sur accord préalable du directeur de la compétition. Avord APP se charge de le rappeler et de la faire respecter, en interdisant même aux planeurs du club de Romo de revenir s'y poser (cas entendu hier)

    Questions aux spécialistes : d'habitude ce genre de zones est créée par une SUP/AIP avant d'être activée si besoin par NOTAM, ici il n'y a pas eu de SUP/AIP, comment se fait-ce ? Qui en est à l'origine ? Pourquoi interdire la zone à tous les VFR y compris les planeurs et autres aéronefs équipés de FLARM ? Quel est sa plus-value en matière de sécurité une fois que les planeurs sont partis et qu'ils sont pratiquement tous à l'extérieur de la ZRT ?

×
×
  • Créer...