www.planeur.net | www.netcoupe.net | www.volavoile.net
Aller au contenu

Brialmont

Membres
  • Compteur de contenus

    42
  • Inscription

  • Dernière visite

Messages posté(e)s par Brialmont

  1.  

    Par comparaison, j’ai formé en TMG en 2018 un pilote titulaire d’une SPL française, qui avait sur sa licence EASA la qualif TMG, sans avoir jamais mis son derriere dans un motoplaneur.

    Au moment des demandes de conversion gérées par la fédé, j'étais le "valideur" des demandes sur les 2 clubs où je volais.

    J'ai vu des demandes sur lesquelles les copains avaient oublié la moitié de leurs prérogatives et d'autres où ils avaient coché "un peu au hasard"... Toutes sont parties corrigées, si nécessaire en demandant les copies des carnets des copains ! Pour moi il en allait de notre crédibilité (le mouvement vol à voile) vis à vis de l'administration !

    Le cas que tu cites est soit une erreur soit une "fraude". Mais ce n'est pas réglementaire !

    Merci pour l’info. Je vais un peu investiger car, au moment des conversions EASA, pas mal de dossiers étaient mal compris.

    Bonne soirée

    O Brialmont

  2. C'est le contraire des citations que j'ai faites précédemment.

     

    Comment peux-tu superviser si toi-même tu ne serais pas autorisé à faire le vol ?

     

    Précision : je n ai pas d expérience SL mais ce type de lancement est bien mentionné sur ma licence. Cela a été, si je ne me trompe pas, le cas de tous les pilotes titulaires d’une SPL au moment du passage au systeme EASA, qui étaient également titulaires d’une licence avion TMG (licence avion en Belgique a l’epoque pour un TMG), et qui transféraient cette qualif vers leur licence planeur.

    La plupart des qualif SL ont été attribuées comme décrit plus haut chez nous, par des FI (S) TMG, à la satisfaction de l’administration. La procédure colle d’ailleurs avec ce que vous décrivez.

    Par comparaison, j’ai formé en TMG en 2018 un pilote titulaire d’une SPL française, qui avait sur sa licence EASA la qualif TMG, sans avoir jamais mis son derriere dans un motoplaneur.

    Bonne soirée

    O Brialmont

  3. Pour compléter, voici la réglementation :

     

    « Dans le cas d un lancement aerotracté ou dun décollage autonome, au moins 5 lancements en instruction au vol

    en double commande et cinq lancements en solo sous supervision. Dans le cas dun décollage autonome, une instruction au vol en double commande peut être effectuée sur moto planeurs «

     

    Reste à trouver un FI S TMG dans votre région.

     

    Bonne soirée

    O Brialmont

  4. Bonsoir,

    5 vols DC en TMG reprenant les procédures durgence (interruption décollage, simulation panne moteur,.....), suivis de 5 décollages de linteressé en solo sur son planeur autonome, supervisés du sol par linstructeur, et la qualif self launch est acquise. Jai formé un élève lan passé de cette manière, à la satisfaction de la DGTA Belge.

    Je suis FI (S) TMG, mais nai pas dexperience sur planeur autonome (SL).... la qualif FI (S) Self Launch ne semble dailleurs pas exister au niveau EASA.

    My two cents...

    Bonne soirée

    Olivier Brialmont

    St Hubert Belgique

  5. Bonsoir,

    My two cents...

    J’ai beaucoup aimé le DG800 S pour son confort et sa longue verrière, mais pour avoir fait un WGC à son bord, son défaut majeur est sa charge alaire Max de 44kg/m2 qui est vraiment trop faible, et ses commandes un peu dures en roulis. Pour les grands vols et la plaisance, il est parfait.

    J’ai apprécié le Ventus 2ct, il est facile à exploiter et possède un bon turbo, sa charge alaire Max de 47 kg/m2 est un peu faible, mais c’est à mon avis le maître achat pour avoir la performance, un turbo et une belle machine à volets.

    Je vole depuis 10 ans avec un ASG 29e : le confort est au top, la performance aussi (charge alaire Max 57 kg/m2 et toujours agréable à voler). C’est clairement une génération différente du DG, mais il est encore cher sur le marché de l’occasion.

    Bonne soirée

    O Brialmont

  6.  

     

    Y'a plus d'un club de plaine ou les élèves vont attendre que les instructeurs fassent leur 3 vols avant de commencer à voler en début de saison...

    Pourquoi ?

     

    A plusieurs reprises dans ma "carrière" j'ai pris un planeur, fait trois tours de piste avant de partir avec un élève ! En une demi-heure c'est réglé.

    A condition d'accepter de se payer trois remorqués (ce qui est difficile pour certains ! J'en connais qui ne conçoivent pas d'avoir à payer...).

    C'est la règle que nous appliquons en Belgique. Et ça doit être fait en planeur, pas en TMG, qui est soumis aux mêmes obligations (3 deco/att. dans les 90 derniers jours). Est-ce identique en France, ou un TMG peut-il suffire ?

  7. Bonsoir,

     

    Ah, l'onde en plaine.. J'ai eu la chance de pouvoir l'exploiter une dizaine de fois sur les 5 dernières années au départ de St-Hubert en Belgique, avec un vol particulier le 29/8/2015 (visible sur Olc) : départ sous Cu avec 600m sol. Vent du 180/10kt au sol. Base des Cu turbulente et passage du vent à 240/20kt. Ligne droite au vent à 600m, ca pousse gentiment en laminaire dans le bleu, virage, une nuelle se forme en dessous du planeur et la bulle pousse et déforme vers le haut la couche laminaire. Montée vers 800m et retour vers la pente des cumulus plus bas, qui génèrent un ressaut et s'organisent en rue.

    Un copain avec un autre asg29 se joint à moi et nous surfons durant 2 heures au- dessus d'une couche très "lisible" jusqu'à 1500 m sol, avec plusieurs changements de rue et deux branches de 50 km. Contrairement aux autres vols, le phénomène était relativement constant, prévisible et facilement exploitable jusqu'à environ 300m au-dessus du sommet des cumulus. Varie moyen vers 0.3m/s.

    Les ingrédients : augmentation de la vitesse du vent avec l'altitude, associée à un chgt de direction (proximité d'un front ?), inversion marquée, un peu de curiosité et de chance.

    Les indices : ascendance thermique très turbulente à la base des Cu, nuages "aplatis" du côté supposé au vent (bord d'attaque), rues de nuage...

     

    Y a plus qu'à attendre les conditions... et bons vols à ceux qui en ont l'occasion.

     

    Olivier Brialmont

    Belgique

  8. Ce qui est clair, c'est qu'avec des commentaires du style de "Gozilla", plus personne n'émettra de Rex sous peine de se faire insulter!

    Dans quel environnement a-t-il été formé ? Personne ne sait.

    Il a fait une grosse connerie, c'est clair et il le confirme. Et il veut faire réfléchir par son récit, qui lui a manifestement servi de leçon. C'est bien.

    Olivier brialmont

  9. Bonsoir,

     

    Ceux qui ont suivi le WGC a travers les différents sites Facebook des équipes ou des pilotes auront constaté que beaucoup parmi eux sont de plus en plus critiques par rapport à la dangerosité de ces compétitions, et par rapport aux stratégies de course appliquées par les pilotes.

    Deux collisions en vol, dont une avec deux éjections, un nombre élevé de " c est passé tout près", ont notamment pousse un pilote à abandonner la compétition.

    Un constat : le comportement de plus en plus agressif et inconscient de certains, prêts à tout pour gagner 0,2m/s ou ne pas se laisser distancer dans le paquet (exemples vécus en2014).

    Un autre constat : de plus en plus souvent les paquets se forment et on voit partir des petits trains de 15 planeurs suivant un ou deux leaders. La tactique consiste donc à partir trois minutes plus tard, à rattraper le paquet qui a balisé les premiers cheminements, et à rester avec jusqu'à l arrivée pour être bien classe à l épreuve où, au pire, limiter la casse. Car le scoring est ainsi fait : il penalise beaucoup plus les erreurs qu'il ne récompense les choix individuels. Exit, donc, le vol seul avec ses propres choix, et bonjour la meute !!

    Si un pilote rentre et que tous les autres se vachent, l écart avec le premier vache sera relativement faible en points. Par contre si le même pilote va aux vaches et que les autres rentrent, il peut oublier le podium. En d autres termes, un bon choix vous apporte 150 points, et une grosse erreur vous en coûte 600 (ordre de grandeur et non chiffré absolu)

    Mon propos est certe un peu caricatural, mais exprime une réalité ( 3 participations aux WGC) qui devrait pousser l' lGC à se poser des questions : ne faut-il pas revoir le règlement des compétitions internationales et le scoring, avant d'avoir un autre gros carton avec des conséquences plus graves , a moins qu'on ne souhaite en faire une sorte de course cycliste des airs où une escapade individuelle sera le plus souvent vouée à l'échec face au peloton, ce qui finira par dégoûter bon nombre d'amoureux de la compétition vélivole.

     

     

    Bonne soirée

     

    Olivier Brialmont

    Belgique

  10. Bonsoir,

     

    Tout le monde n'a pas la possibilité d'adhérer à un grand club avec un parc machine étendu, Robert !

     

    J'en suis à mon 3 ème planeur en 25 ans (1 occase et 2 neufs) en copropriété, ne suis pas né riche et ne vois pas la propriété comme un caprice (c'est presque insultant) , mais comme un moyen d'assouvir cette passion qui est "presque" un projet de vie!

     

    Quant à l'aspect économique "absurde" de la propriété, on peut comparer ce que m'aurait coûté la location d'une machine équivalente (D2 puis ASG 29E) pour effectuer les 1400 h des 15 dernières années, avec le différentiel achat/vente et les frais annuels (partiels car coprop) du planeur en propriété. Et je ne parle pas de l'état d'une machine perso par rapport à certaines machines de clubs.

     

    De toutes les façons faire du vol à voile n'est pas gratuit, mais la vraie richesse c'est d'avoir du temps libre !

     

    Bonne soirée

     

    O Brialmont

  11. Bonsoir,

     

    Je tente depuis début 2015 de faire communiquer mon 7007 avec mon oudie1 à travers un câble spécial vendu par un des fournisseurs du marche, sans succès!

    Je pense avoir tout tenté, du paramétrage du 7007 au set-up de l'oudie et au Feed back du vendeur mais sans résultat.

    Donc si quelqu'un a une solution,je suis également intéressé.

    Merci et bonne soirée

     

    Olivier Brialmont

  12. Bonsoir Jean-Marie,

    Comme précise dans mon second post, je parlais de l'intérêt purement sportif de ce championnat du monde, et je maintiens mon propos.

    L'intérêt expérimental est évident, et, pour répondre à tes interrogations, je n'ai aucune gène vis à vis de tous ces vélivoles qui font avancer notre sport, que du contraire, et j'ai autant de plaisir à voler, que ce soit en 29 ou en backseat d'un k13!

    Mais ce championnat, à ce stade de developpement de la classe, crée une confusion : c est quoi exactement la classe 13,5M ?

    Des planeurs ULM existants?, des planeurs 15M raccourcis?, des nouveaux proto conçus exclusivement pour cette classe, ...car il s'agit tout de même d'un WGC officiel, et non d'une rencontre amicale.

     

    Bons vols également

     

    olivier brialmont

  13. Jacques Brocart est décédé ce 2 juillet à Saint-Hubert.

    Ancien directeur du centre national de vol à voile de St. Hubert, il a marqué durablement le vol à voile belge de son empreinte, et laissera un grand souvenir a plusieurs générations de pilotes.

    Il était titulaire de la médaille d'or des instructeurs de vol à voile de la FFVV.

  14. Bonsoir,

     

    Effectivement après 1 ou 2 ans on voit et on sent une legere ondulation au niveau du longeron, sur l'extrado du plan principal.

    Notre 29e est repassé en usine après 2 ans et demi ( après échéance de la garantie) aux frais du constructeur.

    La manip consiste à refaire un finish de l extrado et injecter un produit hydrofuge dans le ballast structurel afin d améliorer son étanchéité.

    Depuis ce refinish, l'aile est nickel et n a plus bougé. Le planeur totalise maintenant environ 1300 heures depuis l'achat neuf en 2008.

     

    A noter le service impeccable de Schleicher.

     

    Bons vols

     

    Olivier Brialmont

    Belgique

  15. Bonsoir à tous,

     

    j'ai acheté les Clouddancer en 2008 pour équiper un asg- 29e tout neuf. Elles sont beaucoup plus fines, et donc légères que des Jaxida, mais aussi 3 fois moins chères (prix de lancement 720 eur à l'époque).

     

    Après 7 années d'utilisation, mes commentaires :

     

    - elles sont toujours étanches, malgré quelques bonnes draches notamment l'été dernier en Pologne.

    - elles ne protègent pas de la grêle, mais nous ne prenons jamais de risque et démontons en cas de doute.

    - il faut les manipuler prudemment car elles sont fines : j'ai noté deux petites déchirures (<2 cm) pour une utilisation relativement intensive.

    - j'ai dû recoudre une trentaine de cm de velcro, défaut constaté à la livraison (erreur de jeunesse??)

    - elles ne sont pas volumineuses et le stockage dans la remorque est aisé.

     

    Avec le recul nous sommes satisfaits du choix. Elles ont maintenant 7 ans et sont toujours opérationnelles.

     

    Bonne soirée

     

    Olivier Brialmont

×
×
  • Créer...