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Stéphane

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Messages posté(e)s par Stéphane

  1. J'ai déjà mentionné dans d'autres discussions les études statistiques faites en Angleterre (les seules ayant une base plus ou moins scientifique, à ma connaissance).

     

    Pour les bandes fluo, ils n'ont constaté aucune différence significative par rapport à un planeur blanc: bien sûr, quand on voit le planeur, on le voit bien, mais ils ont constaté qu'on ne voyait pas les planeurs équipés plus tôt ou de plus loin, même en connaissant leur gisement approximatif! Evidemment, en montagne, il y a le facteur contraste par rapport à la neige qui joue. Ils n'ont pas testé ça.

     

    Par contre, ils ont constaté une certaine dégradation de la visibilité si les couleurs brisent la forme du planeur (principe n° 1 du camouflage), bien que la différence ait été jugée peu significative.

     

    Pour les films miroirs, il y a eu amélioration de la visibilité quand les films étaient appliqués sur les surfaces mobiles et que le planeur évoluait au soleil.

     

    Bref, il reste à touver la solution miracle. Personnellement, je me méfie des bandes fluo qui "découpent" l'aile en tranches, ce n'est peut-être pas une bonne idée (effet "camouflage" + effet thermique). J'en mets sur le nez et les bouts d'ailes.

     

    Ah oui, pour le Flarm, j'ai bien aimé la réaction du président de la FFVV dans "Vol à voile": "d'accord s'il est modifié en accord avec la réglementation française" (du point de vue fréquence). Ce qui le rendrait bien sûr incompatible avec les Flarms d'autres pays!

  2. Il ne faut pas contrer au palonnier la rotation mais d'abord mettre le manche avant.
    Alors là, je ne comprends pas. Aussi bien le 17 que le 19 sont certifiés CS-22 (ex-JAR-22). Or cette norme définit très précisément la procédure standard de sortie de vrille:

     

    AMC 22.221©,(d),(e) and (f)

    Spinning

    General

    The standard procedure to recover from a spin is as follows:

    Where applicable, close throttle.

    Sequentially:

    (1) Check ailerons neutral.

    (2) Apply rudder opposite to the direction of the spin.

    (3) Ease the control column forward until rotation ceases.

    (4) Centralise rudder and ease out of the ensuing dive.

     

    Cela doit permettre de sortir de vrille en moins d'un tour, même après 5 tours complets.

     

    The sailplane must be able to recover from spins of at least five turns or such lesser number at which the spin changes into a spiral dive, by applying the controls in a manner normal for recovery and without exceeding either the limiting air-speed nor the limiting positive manoeuvring load factor for the sailplane.

     

    Donc, si tu as des problèmes en mettant d'abord du pied contre, il y a quelque chose qui cloche.

    1) centrage?

    2) ailerons au neutre?

     

    Il est bien sûr possible que dans certaines configurations, une autre technique que la procédure standard puisse sortir l'appareil de vrille un poil plus vite, mais en principe, la procédure standard marche toujours, et au moins, elle est la même pour tous les appareils (relativement) modernes. Il y a donc moins de risques de se mélanger les pinceaux.

     

    Ca, du moins, c'est la théorie. Commentaires?

  3. As-tu enregistré ton vol à partir de la page OLC France?

    OLC France

     

    Le concours international ne reconnaît que les loggers certifiés IGC.

     

    Sinon, si vraiment c'était le nom lui-même qui posait problème, les noms de fichier IGC ont la structure suivante:

    2.5.1 Short file name style: YMDCXXXF.IGC

     

    Y = Year; value 0 to 9, cycling every 10 years

    M = Month; value 1 to 9 then A for 10, B=11, C=12.

    D = Day; value 1 to 9 then A=10, B=11, C=12, D=13, E=14, F=15, G=16, H=17, I=18, J=19, K=20, L=21,

    M=22, N=23, O=24, P=25, Q=26, R=27, S=28, T=29, U=30, V=31.

    C = manufacturer's IGC code letter (see table below)

    XXX = unique FR Serial Number (S/N); 3 alphanumeric characters

    F = Flight number of the day; 1 to 9 then, if needed, A=10 through to Z=35

    Pour les loggers non homologués, le code du constructeur est remplacé par "X".

    Renomme ton fichier et réessaie.

  4. J'espere que quad on met des fichiers IGC en ligne ils ne sont pas transmis à l'administration afin de sanctionner une eventuelle infraction , si c'est le cas j'arrete de les joindre a mes circuits.

     

    L'administration française, je ne sais pas, mais il paraît que la belge connaît aussi les sites de l'OLC, Netcoupe, coupe Charron etc. Rien ne les empêche de procéder à un petit échantillonnage...

     

    Et puis, les fichiers IGC peuvent être employés pour négocier le maintien du peu d'espace aérien qui nous reste, en prouvant que nous l'utilisons intensivement. Alors, ça devrait être une raison de plus pour 1) respecter les espaces aériens, 2) mettre les fichiers en ligne pour que nos représentants aient le maximum de données.

  5. Un DVD professionnel est disponible chez la SSA, il regroupe les films "Wind Born" et "Champions of the Wave".

     

    Wind Born, c'est la version intégrale de l'histoire de Lucy (qui est décédée il y a un an ou deux, d'ailleurs), à ne pas confondre avec la cassette de promotion du vol à voile qui en a été tirée par l'IGC.

     

    Champions of the Wave, c'est le film des championnats du monde à Omarama, réalisé par la même équipe.

     

    Prix: 39,95 USD

     

    Voir ici.

  6. D'accord sur le principe, tant qu'on n'utilise pas de logger. Mais quand on met des fichiers igc en ligne, c'est leurs données (au mètre ou au pied près) qui risquent de compter en cas d'ennuis avec l'administration... Et je peux t'assurer que là où je vole, on est souvent fichtrement contents de pouvoir gratter les dix derniers mètres.
  7. Attention, la conversion de pieds en mètres est approximative, la conversion de FL en pieds QNH n'est correcte que si la pression QNH est de 1013,25 hPa.

     

    A titre indicatif, voici un tableau de conversion que nous utilisons en Belgique pour respecter des plafonds en FL tout en volant en mètres avec un calage QNH:

     

    QNH FL50 FL60 FL70 FL90

    980 1223 1527 1832 2442

    981 1232 1537 1841 2451

    982 1241 1546 1851 2460

    983 1250 1555 1860 2470

    984 1259 1564 1869 2479

    985 1268 1573 1878 2488

    986 1277 1582 1887 2497

    987 1287 1591 1896 2506

    988 1296 1601 1905 2515

    989 1305 1610 1915 2524

    990 1314 1619 1924 2534

    991 1323 1628 1933 2543

    992 1332 1637 1942 2552

    993 1341 1646 1951 2561

    994 1351 1655 1960 2570

    995 1360 1665 1970 2579

    996 1369 1674 1979 2588

    997 1378 1683 1988 2598

    998 1387 1692 1997 2607

    999 1396 1701 2006 2616

    1000 1405 1710 2015 2625

    1001 1415 1720 2024 2634

    1002 1424 1729 2034 2643

    1003 1433 1738 2043 2652

    1004 1442 1747 2052 2662

    1005 1451 1756 2061 2671

    1006 1460 1765 2070 2680

    1007 1470 1774 2079 2689

    1008 1479 1784 2088 2698

    1009 1488 1793 2098 2707

    1010 1497 1802 2107 2716

    1011 1506 1811 2116 2726

    1012 1515 1820 2125 2735

    1013 1524 1829 2134 2744

    1014 1534 1838 2143 2753

    1015 1543 1848 2152 2762

    1016 1552 1857 2162 2771

    1017 1561 1866 2171 2780

    1018 1570 1875 2180 2790

    1019 1579 1884 2189 2799

    1020 1588 1893 2198 2808

    1021 1598 1902 2207 2817

    1022 1607 1912 2216 2826

    1023 1616 1921 2226 2835

    1024 1625 1930 2235 2845

    1025 1634 1939 2244 2854

    1026 1643 1948 2253 2863

    1027 1652 1957 2262 2872

    1028 1662 1966 2271 2881

    1029 1671 1976 2280 2890

    1030 1680 1985 2290 2899

    1031 1689 1994 2299 2909

    1032 1698 2003 2308 2918

    1033 1707 2012 2317 2927

    1034 1716 2021 2326 2936

    1035 1726 2030 2335 2945

    1036 1735 2040 2345 2954

    1037 1744 2049 2354 2963

    1038 1753 2058 2363 2973

    1039 1762 2067 2372 2982

    1040 1771 2076 2381 2991

    1041 1780 2085 2390 3000

    1042 1790 2095 2399 3009

    1043 1799 2104 2409 3018

    1044 1808 2113 2418 3027

    Conversion Table - Flight Level to meters AMSL

    All altitudes are in metres Above Mean Sea Level

     

    Pour les copains qui volent dans le Nord et qui se risquent chez nous: ces niveaux sont ceux des zones dérogatoires qui s'ouvrent à la demande de jour et en dehors des heures d'activité militaire (en gros, les week-ends et jours fériés). L'activation de ces zones peut être vérifiée ici.

     

    Il peut paraître exagéré de calculer au mètre ou au pied près, mais si un ordinateur contrôle un vol, un mètre de trop, et c'est un beau zéro pour l'épreuve.

     

    Pour ceux qui utilisent un Volkslogger, il y a un truc pour les niveaux de vol: au démarrage, il est toujours calé à 1013.25 hPa. Quand on le configure en pieds, il peut servir d'indicateur de niveau de vol si on ne modifie pas ce calage (attention, si vous êtes sur la 2e page, celle qui donne l'altitude, il suffit de pousser sur le mauvais bouton pour tout dérégler). Je suppose que certains autres loggers ou GPS à capsule barométrique ont des fonctions analogues...

  8. Dans tous les pays "ex-de l'Est", il existe une qualification "dépannage air" dont la spécificité est qu'il faut être capable d'effectuer un remorqué avec un câble de 15 mètres environ. En Pologne, on m'a assuré que c'était pour pouvoir plus facilement décoller d'un champ non préparé sans personne en bout d'aile, le souffle de l'hélice étant alors suffisamment puissant pour soulever l'aile. Je ne garantis pas la véracité de cette explication, mais ça paraît assez logique. (Etant donné la taille des champs là-bas, ce n'est en tout cas pas une question de longueur de piste au décollage.)
  9. Voici ce que j'ai trouvé dans un chapitre sur les équipements d'oxygène (H + I Kohler, Fly High, Sauerstoffsysteme):

     

    25 000 pieds (7 600 m: limite de sécurité pour les masques non étanches et systèmes continus

    30 000 pieds (9 150 m): limite de sécurité pour les masques étanches et systèmes continus

    41 000 (12 300 m)pieds: limite physiologique absolue pour systèmes continus

    45 000 pieds (13 700 m): uniquement systèmes sous pression, temps limité

    63 000 pieds (19 200 m): limite physiologique absolue: le sang bout à température corporelle

     

    Les systèmes à dilution et les masques ouverts sont déconseillés par les auteurs, d'après les conseils des médecins aéronautiques d'Edwards Air Force Base, seuls les systèmes sous pression (pressure demand) offrant d'après eux les garanties nécessaires pour la haute altitude (ce livre date d'avant le système EDS, je ne sais pas ce qu'il faut penser de celui-ci, mais j'ai l'impression qu'il n'est pas vraiment prévu non plus pour les très hautes altitudes).

     

    Une combinaison étanche entièrement pressurisée permet d'éviter entre autres le problème d'ébullition. En effet, le point d'ébullition des liquides varie avec la pression. C'est une expérience de physique amusante qu'on fait parfois à l'école: faire bouillir de l'eau à température ambiante dans un récipient sous une cloche en faisant le vide. Par contre, quand il y a surpression, le point d'ébullition augmente, c'est pourquoi on utilise des autoclaves pour stériliser à plus de 100°C.

     

    Le record officiel actuel de Bob Harris (14 938 m) a été réalisé sans combinaison pressurisée, mais avec un double système pressure demand plus bouteille d'urgence, et il a abandonné la montée dès qu'un de ses systèmes montrait des signes de faiblesse. Toutes les tentatives sérieuses actuelles ont été effectuées avec des combinaisons d'astronautes.

  10. Comme le Fox est un peu juste pour les "grands", Dietmar Poll a décidé d'en faire une version étirée, le LongFox Pinocchio. Le planeur modifié vient de sortir de l'atelier chez EWMS, société suisse spécialisée entre autre dans la remise à neuf de Pilatus B4:

     

    http://www.ewms.ch/PollBilder/pic15-010.jpg

     

    http://www.ewms.ch/PollBilder/fox39.jpg

     

    D'autres images sont visibles ici

  11. un fichier IGC coupé en 2 en concours = vache lors de la coupure de courant
    Pourtant, d'après le code sportif (octobre 2004):
    4.3.5 Flight continuity

    There must be evidence that the glider did not land or a means of propulsion

    was not used during the claimed soaring performance. An interruption in the

    barogram data will not compromise proof of flight continuity provided that

    the OO and NAC are convinced no critical data is missing and that the evidence

    for flight continuity remains indisputable.

     

    et d'après l'annexe a:

    5.4 CONTROL PROCEDURES Flights shall be controlled by GNSS flight

    recorders (FR).

    [...]e. If both recorders fail and the flight record is interrupted for a period longer

    than one minute, then the glider shall be considered as having outlanded

    unless satisfactory evidence can be provided that the glider did not, during

    the interruption of the FR record, violate airspace or, in the case of a motor

    glider, use the MoP.

    [...]

     

    (C'est moi qui ai mis en grasses les passages cruciaux)

     

    Aux championnats de Leszno, un pilote belge a eu 6 coupures de quelques secondes (problème câblage d'usine), ce qui donnait 7 fichiers igc pour un seul vol. Conformément aux articles susmentionnés (ou leurs équivalents de l'époque), son vol a été accepté.

     

    C'est une autre histoire quand il s'agit de télécharger un vol sur l'OLC. Le logiciel d'évaluation n'est pas prévu pour ce genre de problèmes.

  12. Excellent poisson d'avril aussi dans Aerokurier: tout un article consacré à l'amélioration des performances en "godillant" avec la direction. Quelle fréquence de battement adopter, etc. Ca fait "nageoire caudale", non?

     

     

    En ce qui concerne le "planeur tueur de bombardiers", plusieurs protos ont été conçus, construits et testés (à ma connaissance, aucun n'a été utilisé en combat). Généralement, ces appareils étaient remorqués au départ, puis ils utilisaient un propulseur à réaction pendant l'attaque, et se posaient en vol plané.

     

    A part le Blohm und Voss BV40 décrit dans le "Fana", il y a eu:

     

    - le Zeppelin "Fliegende Panzerfaust" (Bazooka Volant) avec 6 fusées, 4,5 m d'envergure, 6 m de long, 316 kg/m²!

    - le Messerschmidt 328 avec deux ou quatre pulsoréacteurs

    - l'Arado ArE-381 avec un moteur-fusée

     

    Et peut-être d'autres! Mais pas de poisson d'avril parmi eux...

  13. Le remorquage est appelé à devenir silencieux ou à disparaître.

     

    Attention, le fait d'équiper un remorqueur d'un pot spécial et d'une quadripale, réduisant notablement le bruit, risque de ne rien changer en ce qui concerne les plaintes pour les nuisances. Nous avons vécu ça à Courtrai (Belgique). Il y avait même un gars qui se plaignait du sifflement affreux causé par les planeurs à l'atterrissage.

     

    En Allemagne, il y a même eu des problèmes il y a quelques années pour un club qui treuillait: le sifflement du câble aurait dérangé des oiseaux qui couvaient dans la réserve naturelle attenante.

     

    Alors, prenez des mesures anti-bruit, c'est sûrement nécessaire, mais n'en espérez pas de miracles!

  14. les pilotes etrangers sont tenu de prendre cette license si ils utilisent le remorqueur du club

    ils ne la prennent pas si ils sont motorisés, on leur remorqueur, ou leur treuil !!

    Ben, pourquoi je la paie chaque année à la Motte du Caire, alors? Il n'y a pas de remorqueur sur une vélisurface! J'ai un peu farfouillé sur le site ffvv, je n'ai rien trouvé à ce sujet. Le petit guide de l'assurance ne dit pas un mot de la "licence sans assurance" qu'on souscrit pourtant par le même formulaire. Quelqu'un pourrait-il me procurer la norme ffvv officielle en la matière?

     

    Il est vrai par ailleurs que les associations d'autres pays n'ont pas de telles politiques pour les visiteurs, mais peu de pays ont des structures d'accueil comparables à ce qu'on retrouve en France.

     

    Pour le CNVV, d'accord, mais pour le reste? Je connais pas mal de clubs un peu partout qui sont tout aussi bien équipés. Ce n'est pas pour les structures d'accueil qu'on vient en France, d'ailleurs. De plus, quand les infrastructures sont payées par les collectivités locales, je ne vois pas le rapport avec "l'impôt" FFVV.

  15. Sympa, je suis pour, mais il faut être réaliste: les étrangers (dont je suis) viennent (venaient) en France pour 3 raisons principales:

     

    - une météo plus favorable que chez eux (Alpes principalement)

    - un espace aérien beaucoup plus libre (Qu'en reste-t-il?)

    - les circuiteurs moins expérimentés, pour les vastes champs de la région centre, facilitant les vaches

     

    Si tu désires attirer les vélivoles étrangers, tu devrais donc:

     

    - recenser les avantages de ta plate-forme du point de vue météo

    - idem du point de vue espace aérien

    - recenser les possibilités de vol sur la campagne

    - évaluer le degré de facilité de vaches

    - prévoir des possibilités de logement sur place (camping, dortoir,...)

    - avoir des tarifs attractifs; en passant, convaincre la ffvv de laisser tomber sa fameuse "licence-assurance" sans assurance qui ne sert qu'à augmenter la facture (dans les autres pays aussi, les clubs sont des associations comparables au système "loi de 1901", et il n'y a rien de tel). On accepte d'y passer pour voler dans les Alpes, où il y a des chances de voler chaque jour. Mais ailleurs, c'est plus pénalisant. A défaut, leur suggérer une formule meilleur marché pour 3 semaines au lieu des 10 jours consécutifs actuels.

    - présenter son association sur les forums des pays visés. Pour la Belgique, il y a le forum francophone Forum FCFVV et le forum néerlandophone Forum LVZC.

     

    Bonne chance!

  16. Avant le Puchacz, l'Angleterre employait beaucoup le Bocian. Si mes souvenirs sont bons, le problème des accidents mortels en exercices de vrille existait à l'époque aussi avec ce planeur-là.

     

    ...concentrons-nous sur un pays où il y a :

     

    - plusieurs ASK13 ;

    - plusieurs ASK21 ;

    - plusieurs Grob 103 (les Cadets je crois) ;

    - plusieurs Puchacz (mais pas en plus grand nombre que les précédents) et,

    - il doit bien rester quelques sympathiques vieux Slingby à cockpit ouvert.

     

    Ce pays a vissé cinq Puchacz dans le tapis mais on n'a jamais entendu dire qu'il en avait fait autant avec les autres biplaces.

     

    Ben voyons! L'ASK-21 ne vrille pas (sauf en lestant la queue, modification approuvée tout récemment), le Twin peu ou pas (sauf avec ses "moustaches" amovibles, mais combien en sont équipés?), l'ASK-13... ça dépend (patin ou roulette de nez, etc.). C'est clair que l'écolage vrille se faisant quasi exclusivement sur Puchacz, il n'y a pas grand risque de voir des accidents de ce genre arriver sur les autres types de planeur. Pour faire des statistiques valables, il faudrait des chiffres indiquant la fréquence des exercices de vrilles par type, pour pouvoir faire une moyenne x accidents/1000 vrilles par type. Tant que ça n'existe pas, je ne vois pas ce qu'il y a de malsain à "garder" les Puchacz.

     

    Quant aux vrilles commencées vers 800 pieds/sol, la BGA a décidé de les supprimer du programme de formation. Elle n'a pas décidé de déconseiller le Puchacz.

  17. 1) C'est pas un GPF (Grand Prix de France?), c'est un GPM (Grand Prix Mondial).

     

    2) Pas étonnant qu'il n'y ait pas encore d'inscrits, les fédérations nationales viennent de recevoir les détails, elles doivent encore sélectionner leurs candidats.

     

    3) Si les vélivoles eux-mêmes sont aussi négatifs vis-à-vis de cette compétition, on est mal partis pour nous faire connaître par un plus large public. Or, le GPM est effectivement beaucoup plus compréhensible pour un non-compétiteur.

     

    4) Je ne vois pas en quoi cette compétition devrait être plus chère qu'une compétition classique. Au contraire même, puisqu'il n'y a que 20 participants maximum, ce qui limite le nombre de remorqueurs nécessaires. Le seul point qui pourrait amener un surcoût est le système de "tracking". Il n'est pas fondamentalement nécessaire, mais c'est un plus pour les spectateurs. Ca a été fait lors de compétitions classiques aussi. Et ça permet aussi de diffuser la compétition en direct sur l'Internet.

  18. C'est une mousse (assez dure, d'ailleurs) qui ne reprend sa forme que très lentement après avoir été comprimée. Ca réduit sérieusement les contraintes sur la colonne vertébrale en cas d'atterrissage dur, par exemple. Un coussin "normal" a un effet de ressort qui amplifie l'effet du choc au lieu de l'amortir.
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