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Dérogations Pour Nos Licences Cause Covid-19


THEO

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Il était légitime d'être inquiets pour le maintien de nos licences et qualifs, dans ce contexte épidémiologique.

 

Voici une petite note d'optimisme, dans la perspective (peut-être lointaine) de la reprise de nos vols.

 

http://fotoforum.fr/photos/2020/03/19.29.jpg

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Mouais ...

Un communiqué de presse du 21 mars a été publié par la DGAC ... je cite :

 

Covid-19 : Interdiction de réaliser un vol de loisir ou sportif
Dans la lutte contre la propagation du virus covid-19, et en application du décret du 16 mars 2020, les contacts et les déplacements doivent être réduits à leur plus strict minimum.

 

Le décret précise les seuls déplacements autorisés :
• déplacements entre le domicile et le lieu d’exercice de l’activité professionnelle, lorsqu’ils sont indispensables à l’exercice d’activités ne pouvant être organisées sous forme de télétravail (sur justificatif permanent) ou déplacements professionnels ne pouvant être différés;
• déplacements pour effectuer des achats de première nécessité dans des établissements autorisés (liste sur gouvernement.fr) ;
• déplacements pour motif de santé ;
• déplacements pour motif familial impérieux, pour l’assistance aux personnes vulnérables ou la garde d’enfants ;
• déplacements brefs, à proximité du domicile, liés à l’activité physique individuelle des personnes, à l’exclusion de toute pratique sportive collective, et aux besoins des animaux de compagnie.

 

Il découle de ce qui précède que tout déplacement en vue de réaliser un vol de loisir ou d’activité sportive est interdit. Ainsi les vols en question sont de facto impossibles, notamment, les vols solo, d’instruction, d’entrainement, de baptême ou de découverte.
La DGAC est consciente des conséquences possibles concernant des licences, qualifications et certificats qui arriveraient prochainement à échéance. La diffusion de mesures pour les professionnels est la première priorité et des solutions ont été trouvées. La recherche de solutions pour l’aviation de loisir est à l’étude dans le respect des règles de l’Agence européenne de Sécurité Aérienne.

 

De nombreux pilotes sont pleinement respectueux des règles ci-dessus mais des cas de vols de loisirs ont été constatés. L’exemplarité de l’aviation légère et sportive est attendue dans cette crise sanitaire avec un respect rigoureux de l’interdiction rappelée ci-dessus dont tout manquement est punissable et négatif pour toute la communauté aéronautique.

 

Fermez le ban ... et les hangars :crying:

 

Désolé !

Laurent

BN powered !
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Le sujet ne porte pas sur d'éventuelles dérogations permettant d'effectuer des vols de loisir maintenant, à l'heure du confinement. C'est clair, il n'y en a pas, et c'est sûrement mieux comme ça.

On reste au chaud et on attend.

 

Mon propos porte sur les conditions qui nous permettront de reprendre les vols lorsque nos libertés nous seront rendues, (disons dans quelque mois, pour le moins, en restant optimiste), alors que nos licences et qualifications seront périmées parce que nous n'auront pas pu remplir les conditions de prorogations, en terme d'entraînement, de vols avec instructeurs et de visites médicales.

 

Evidemment, on pourrait dire que les conditions de remise en vigueur de nos licences sont déjà prévues par les textes, sauf que les instructeurs eux aussi auront des problèmes de remise en vigueur de leurs licences, et que par ailleurs, il risque alors d'y avoir affluence chez les médecins aéro pour passer la visite, à un moment où ils voudront peut-être prendre quelque repos mérité ...

Et pour les licences avion, ce sera plus délicat, car la remise en vigueur de licence prévoit un cursus de remise à niveau, pas évident pour tout le monde.

 

C'est peut-être tôt pour en parler aujourd'hui, mais certains se retrouvent déjà dans ce cas, au moins pour la visite médicale. En tout cas, la DGAC s'est d'ores et déjà posé la question, puisqu'elle indique "qu'elle y travaille"

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Je ne partage pas autant d'inquiétude :

* pour l'emport de passager (VI), trois vols dans les 90 jours, ça peut facilement être un problème chaque hiver. Et bien, on fait 3 vols en solo quand on reprend pour régler le problème.

* pour la SPL, c'est une validité glissante, 5 h sur 24 mois en 15 vols sur les 2 derniers mois. Si on ne les avaient pas en février, c'est un peu inquiétant. Du coup ça ne change pas grand chose...

* pour les lancements, idem : ils sont inclus dans les 1 au dessus (sauf cas particulier d'un pilote qui n'aurait que 4 remorqués + 4 treuillées + 4 élastiques et 4 derrière voiture...)

 

Il y aura peut-être engorgement pour les vols de "relâché" en début de saison. Pour les pilotes ayant une expérience significative, à part un chef-pilote psychorigide qui ne connaît que "la" règle, rien n'empêche de les laisser voler en reportant le vol de contrôle (s'il y en a bien 2 en 24 mois glissants) !

 

* Le CM : là il peut y avoir engorgement en sortie de confinement.

 

Par contre, tu l'as dit, pour un PPL, sauf modif officielle, si on a passé la date, c'est beaucoup plus compliqué.

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Tout dépend de la durée de l'interdiction de nos activités.

 

Si c'est l'affaire de quelques semaines ( ce que me parait trop optimiste), la remise en route devrait être assez rapide.

 

Si c'est plutôt quelque chose comme six mois, la plus belle saison aura été gâchée, et la remobilisation des pilotes sera bien plus difficile à l'automne, alors que beaucoup d'entre eux volent habituellement très peu, voire pas du tout en basse saison. D'ailleurs, beaucoup de nos clubs auraient d'abord à effectuer une assemblée générale permettant de se mettre en règle avec les statuts, ce qui serait l'occasion de mobiliser les troupes.

 

Dans l'hypothèse d'une rupture d'activité longue, un bon nombre d'instructeurs devraient d'abord commencer par remettre en route leurs licences et qualifs.

 

Je pense que plus la cessation d'activité sera longue, plus la remise en route sera laborieuse. Et c'est là que des mesures dérogatoires pourraient nous rendre la vie plus facile pour remettre en route nos précieux césames.

 

Pour compliquer encore la situation, certains pensent qu'on s'achemine vers des périodes alternant confinement, déconfinement et reconfinement, parce que des vagues de répliques risquent fort d'arriver à l'avenir avec les bombes de retardement que constituent des régions du globe encore relativement peu touchées.

 

Evidemment, comme chacun le sait et l'espère, l'arrivée de vaccins ou de médicaments traitants serait la véritable libération. Mais çà ...

 

En attendant, la DGAC et l'EASA ont beaucoup de temps devant elles pour peaufiner les mesures dérogatoires. Wait and see.

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